Imbroglio

Partie 26 : Tout est bien qui finit bien

Hello alors prêts pour la finale?? 

Here we go

Bonne lecture guys 

*******

•••Ibrahima Sène•••

Je descendais de la voiture accompagné des parents de mon épouse.

Elle ne sait pas qu'on est là et c'est mieux ainsi.

On tapa à la porte et c'est sa cousine qui vint nous ouvrir.

Elle : Bonsoir... Ibrahima toi ici?

Moi: Oui Mame Diarra et je suis venu pour ramener mon épouse chez nous.

Elle s'exclame de plus bel quand elle voit son oncle et sa tante derrière moi.

Elle : Tonton, tata ?!

Mon beau-père : Est-ce-qu'on peut entrer Mame Diarra?

-Diarra t'as ouvert la porte ? C'est qui ?

Demanda Safia qui visiblement venait de la cuisine avec ce torchon qu'elle avait en main, elle s'arrêta quand elle nous vit et laissa tomber le torchon puis mit ses mains sur sa bouche.

Moi : Safia !

Ses parents : Safiétou !!

Nous exclamions nous très heureux de l'a revoir enfin.

Mais elle changea de mine et devint très froide.

Elle : Diarra fallait demander qui c'était avant d'ouvrir. Je ne veux voir personne.

Diarra : Je suis désolée cousine.

Safia repart dans la cuisine et j'entrais dans la maison sans qu'on ne m'y invite, et ses parents me suivirent.

Moi : Safia mon amour attends.

Elle se retourna brusquement

Elle : NE M'APPELLE PLUS MON AMOUR IBRAHIMA SENE TU M'ENTENDS .

Moi : Je ne peux pas parce que tu es celle que j'aime.

Elle : Tu l'auras voulu.

Son père : Mais qu'est-ce-que tu vas faire ?

Elle : Appeler la police car il y a des intrus chez moi.

Sa mère : Police !

Elle n'en fit pas cas et entra dans une chambre, je courais de justesse derrière elle, fermais la porte à double tour et lui arrachais le téléphone qu'elle venait de prendre sur la table de chevet.

Elle : LACHE-MOI !

Moi : Non je ne te lacherai pas

Dis-je en tentant de la retenir

Je me mettais derrière elle et croisais ses bras histoire de la maintenir calme.

Elle était stérique.

-MAIS TU ES DEVENU FOU IBRAHIMA LACHE-MOI.

Dit-elle en se débattant.

Moi : Je veux que tu m'écoutes d'abord.

Elle : NON JE NE LE FERAI PAS.

Moi : Donc je ne te lacherai pas.

Elle continua à se débattre en vain mais finit par se calmer en haletant.

Elle : Ibrahima-bayima (lache-moi)

Dit-elle plus calmement

Moi : Calme-toi déjà