Partie 17 : LE DRAME

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Hello bonne lecture🙋🏽‍♀️🙋🏽‍♀️🙋🏽‍♀️

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•••Malick••

C'est en courant que je me rendai à l'immeuble où vivait mon frère et sa femme.

Le message de cette dernière a été comme une douche froide pour moi.

Quand est-ce-que Balla arrêtera de s'acharner sur elle ? Quand est-ce ?

Déjà je cherche à savoir comment régler mon problème avec mon épouse et voilà que je règle ses problèmes de couple à lui aussi.

J'entrai dans l'immeuble sans hésiter. Il n'y avait personne à la devanture, c'était déserte.

Je montai alors les escaliers en pressant le pas.

C'est arrivé à l'étage où vivait mon frère que je vis tout un tas de monde devant son appartement.

Moi: Que se passe t'il ici ?

Un voisin: Le monsieur qui habite ici frappe tout le temps son épouse. On a entendu un cri strident c'est pour cela que nous sommes tous montés. Mais il refuse d'ouvrir la porte.

Moi: Laissez-moi passer.

Fis-je en me frayant un chemin entre eux.

Moi: Je suis de la famille.

Il me laissèrent y aller et je me mis à taper à la porte.

-Balla ouvre cette porte, c'est moi Malick...

-Je l'ai tué, j'ai tué ma douce Maïna.

Me disait il depuis l'intérieur de l'appartement.

Moi: BALLA OUVRE CETTE PORTE.

Hurlais-je alors que les voisins commençaient à s'indigner.

-J'ai tué ma douce Maïna.

Me répéta t'il encore.

Alors sans plus réfléchir je défonçai la porte et accédai à l'appartement.

Tous les gens derrière moi me suivirent.

Il n'y avait personne dans le salon et encore moins dans la véranda.

Je courai alors vers la chambre et c'est là que j'ai vu cette scène affreuse.

Maïna tenant son enfant entre les bras et saignant de la tête.

Elle étaient toutes les deux inerte.

Mon Dieu pourvu que ça ne soit pas ce que je crois. Mon Dieu!

Balla était là assis en face d'eux, le regard vide et répétant une phrase en boucle: "Je les ai tué".

Je m'empressais d'aller toucher le poul des deux êtres à terre.

Elles avaient toutes un pouls faible. Mais alhamndoulillah cela stipule qu'elles sont toujours en vie.

-Je vais appeler les secours.

Disait un des voisins.

-Moi c'est la police que je vais appeler.

En lança un autre.

La vie de deux être étaient en danger. Il me fallait agir avant qu'il ne soit trop tard.

-Aidez-moi à les sortir d'ici s'il-vous-plaît.

Disais-je en essayant de les soulever.

Certains étant partis appeler les secours tandis que d'autres m'aidaient à les soulever.

ImbroglioOù les histoires vivent. Découvrez maintenant