Noah
- Je ne suis pas Joyce, et je ne le serai jamais.
- Oui, je le sais.
- Alors, pourquoi tu agis comme si j'étais elle.
- Arrête un peu ta paranoïa Jo.
- Non, tu m'as offert son parfum, tu m'offres des vêtements qu'elle aurait pu porter.
- J'aime l'odeur, et les vêtements je ne les pas choisis. J'ai demandé Mia et Morgane.
- Il n'y pas que ça, ta mère.
- Quoi ma mère ?
- Elle ne fait que parlais d'elle, "Joyce le faisait comme ça", "Joyce elle au moins... ", "Joyce respirer mieux que toi" j'en ai marre.
J'ai ri à cette dernière, j'avoue que c'est drôle.
- Je ne peux pas rien y faire, je ne peux pas contrôler ma mère.
- Tes amis sont vos amis, eux, c'est tout le contraire. Ils font comme si j'étais en sucre sauf qu'à l'instar de ta mère, il me compare là encore elle.
- Jo...
- Non, laisse moi finir pour une fois.
Nous sommes ensemble depuis le 1 er octobre, au début, je laissais passé parce que tu l'aimais vraiment.
Tu l'avais dans la peau donc quand tu m'as trompée avec elle aux débuts, j'ai laissé coulé, car nous deux ce n'était pas si sérieux, de plus savait que j'étais juste un pansement de passage.
J'ai subi parce que tu étais cool, comme petit ami et que j'étais flattée d'être la copine de Monsieur Andres.
J'en peux plus d'être la troisième personne dans notre relation, ça fait 5 mois, si tu ne changes pas d'attitude, nous deux s'est fini.
Je suis choqué par tout ce qu'elle venait de dire, elle le savait pendant tout ce temps. Purée.
Je me sens coupable parce que je lui fais subir ce que Joy m'a fait subir sans le vouloir, je dois m'améliorer pour elle.
Je lui dois bien ça.
- Je vais changer, car je t'aime Johanna, je veux que ça marche entre nous. Tu es la femme qu'il me faut.
- Noah, c'est ta dernière chance, je te préviens.
- Je n'en ai besoin d'une seule.
- Je l'espère pour toi.
Je lui fais un bisou, sur le front. Je suis resté avec elle jusqu'à 20 H, puis je suis allé voir Ryan et Alex.
On se rejoint tous chez Alex.
- T'as apporté les bières ?
- Bien sûr. T'as commandé les pizzas ?
- J'attendais l'arrivée de Ryan.
- OK, je commande, comme d'habitude.
- OK.
- C'était bien la Suisse ?
- Ne commence même pas.
- J'ai rien dit mec, tu pars voir ton "amie" "Myriam", et en tant que bon ami, je te demande comment c'était.
- Si tu veux parler de Myriam, pas de soucis, tous ces biens passés, on a même dérapé le dernier soir, et putain cette meuf au lit.
Elle envoie, le meilleur coup de ma vie.
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Biologie de Noah (En Cours)
ChickLitChoisir, c'était renoncer pour toujours, pour jamais, à tout le reste, et la quantité nombreuse de ce reste demeurait préférable à n'importe quelle unité de André Gide. Choisir c'est difficile plus encore quand on pense à ce que l'on va perdre. Joyc...