46. Break or end ?

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Joyce

J'ai 26 ans et ça fait plus de 5 ans que je vis sans lui, je ne pensais plus à nous. J'avais tourné la page et cela pour toujours.

Putain de merde, j'étais à deux doigts de coucher avec un homme en couple. Je ne sais plus où j'en suis, je suis totalement perdu.

Je ne peux même pas partir dans un autre payer pour fuir tous cela, il dois être 4 heures du matin mais je m'en fous.

Je ne peux même pas partir dans un autre payer pour fuir tous cela, il dois être 4 heures du matin mais je m'en fous

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Je l'appelle, lui ne se gène pas pour venir me voir en pleine nuit.

- T'es un putain de connard.

- Bonjours d'abord non ?

- Tu ne mérites pas un "Bon" jours mais plutôt un mauvais jours NOAH.

- Oh tant d'animosité de si bon matin.

- Noah, pourquoi ?

- Je t'aime Joyce, et c'est tous donc, je vais tous faire pour que nous deux ça recommence.

- Moi aussi je t'aime Noah, mais plus comme avant. Je ne me vois plus finir mes jours avec toi malheureusement.

Je ne te vois plus comme le père de mes enfants, tu n'es plus l'homme de ma vie Noah, donc tous ça ne sert plus à rien. Ne laisse pas passer ta fiancée, ne la fais pas souffrir comme moi, Johanna, ou Sophie.

Il ne parle plus, cependant je ressens sa présence à travers mon téléphone.

- Mexique

- NON, je te l'interdit.

- Tu mavais fait une promesse, tu l'as aussi fait à cette petite fille,

- C'était il y a plus de 6 ans Noah, elle doit même plus s'en souvenir et tu ne m'auras pas avec la nostalgie.

- OK Joy, tu as déjà été plus heureuse que quand on était aux Mexique ?

Je réfléchis, et avers dire oui, durant ces 5 ans derniers années, je me suis retrouvé, je me suis construire et reconstruite de mille et une façon. J'ai appris à être indépendante pour de vrai, de plus dépendre de personne.

Un jours j'étais en Suède, seule dans le froid avec juste mon sac à dos devant une auberge de jeunesse délabré. J'ai trébuché en rentrant dans l'établissement et une jeune polonaise Ines m'a aidée à me relever.

On a passé toute la nuit à parler de tout et de rien. A cet instant précis à l'autre bout du monde je me suis rendu compte que je n'avais pas passé à Noah pendant une journée, j'étais bien.

Aujourd'hui j'ai un souvenir merveilleux de ce moment, à partir de ce jours là. J'ai su que je pouvais vivre sans lui et de surcroit être heureuse.

- Oui Noah.

Biologie de Noah (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant