Séries de one-shot comme la série Esprit Criminel, seulement un lien apparaît entre les épisodes petit à petit.
N'hésitez pas à me donner des idées ou des avis.
Bonne lecture!
(Le résumé est amené à changer)
-> 1 nouveau chapitre par mois
•Fin d'écr...
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•Épisode 15• Les agents du FBI restèrent sans un mot dans la chambre, stupéfaits par ce qu'ils venaient de voir. Hermione et Doyle venaient de disparaître devant leur yeux. Comme de par magie. Tous se regardaient, essayant de se rendre compte qu'ils n'avaient pas rêvés. Comment allaient-ils expliqués ça à leurs collègues? -Viennent-ils de disparaître?, demanda finalement Derek. -On dirait bien..., répondit David. Alors que tous se regardaient, Emily se saisit de son portable. Si une personne pouvait leur expliquer ce qu'il venait de se passer, il n'y en avait qu'une qui lui venait en tête. -J'ai besoin que tu viennes le plus vite possible dans la chambre d'Hermione...
-.- Hermione et Ian Doyle venaient de réapparaître dans le Londres sorcier. La sorcière découvrit rapidement, que du mouvement se créait au bout de la ruelle. Beaucoup avaient de longues capes noires. Il devait s'agir des alliés de l'homme. Hermione sentit son cœur battre à tout allure. -Je ne te laisserais pas sans un souvenir. Elle s'avança vers l'homme, puis sauta sur lui, enfonçant rapidement son pouce dans l'œil gauche de l'homme. Elle appuyait avec violence, tandis qu'elle entendait l'homme hurler, alors qu'il se débattait. Elle appuya plus profondément, sachant qu'il ne pourrait plus y voir clair. Une baguette fut tendue vers elle, au loin. Avec brutalité, elle disparut, alors qu'un jet violet fit sa course jusqu'à elle.
La sorcière réapparut dans le salon d'une planque du Phoenix, en Russie. Là où se trouvaient, en ce moment même, quelques uns de ses alliés membre de l'organisation. Alors qu'elle réapparaissait, elle se mit à hurler, tout en convulsant. Un doloris amélioré l'avait touchée. -Hermione!, hurla Dean. La sorcière sentit un sort arrêter brusquement celui qui venait de la toucher, tandis qu'elle se mit à respirer lentement. -Merci..., chuchota-t-elle alors que ses yeux se fermaient lentement.
-.- Un homme à la carrure élancée, habillé d'un costume chic, marchait dans l'un des couloirs de l'hôpital. Il avait expliqué à Emily au téléphone, qu'il n'était pas très loin, seulement il avait transplané afin de venir ici. Alors qu'il arrivait face à la chambre, il remarqua le numéro de celle-ci. Avec surprise il découvrit qu'il s'agissait de celle où Hermione devait être hospitalisée. Sa main se posa sur la poignée, et il découvrit les membres de l'équipe du FBI au complet, seule JJ avait dû retourner auprès d'Henry, car ce dernier était malade. -Que se passe-t-il?, demanda Draco alors qu'il fermait la porte derrière lui. -Hermione et Ian Doyle ont disparus devant nos yeux, déclara Tara. Draco fronça les sourcils et leur demanda d'expliquer ce qu'il s'était passé. Alors que Pénélope lui racontait la scène avec beaucoup de vivacité, Draco se racla la gorge. Ses yeux se fermèrent, tandis qu'il se grattait le menton d'un air pensif. -Il me faut appeler quelqu'un. Et, je vous expliquerai tout. L'homme aux cheveux blonds sortit alors son portable et s'éloigna hors de la chambre. Seulement il se dirigea vers les toilettes des hommes, et se cacha dans une cabine après avoir vérifié qu'il n'y avait personne. Sortant sa baguette, il fit apparaître son patronus. -J'ai besoin que tu viennes ici tout de suite, au numéro... de l'hôpital.... Alors que l'homme sortait des toilettes, comme si de rien n'était, il se dirigea de nouveau vers la chambre. Expliquant ainsi que quelqu'un allait venir, car il s'apprêtait à leur expliquer ce qu'il s'était passé.
Un quart d'heure plus tard, des coups se firent entendre à la porte. -Entre, répondit Draco. Ce dernier regarda sa mère rentrer dans la pièce, seulement il ne s'attendait pas à voir deux hommes rentrer à ses côtés dans la pièce. -J'ai préféré les amener, de toute façon dès qu'ils ont su que ça concernait Hermione, ils ont souhaités venir. Draco ne savait pas que le trio savait où se trouvait Hermione, seulement, il savait qu'ils leur diraient la vérité après avoir découvert qui ils étaient. Seulement, dans un premier temps, leurs intentions étaient d'effacer la mémoire de ces personnes. -Qui sont ces personnes Draco?, demanda Emily. -Laissez-moi faire les présentations. Voici les agents du FBI qui travaillent aux côtés d'Hermione sur des affaires pour la majorité très compliquées. Il laissa chaque agent de présenter, puis s'adressa aux moldus. -Voici ma mère Narcissa Malfoy. Et voici Sirius Black et Remus Lupin. À présent, il serait bien de tous s'asseoir et de faire taire toutes sources qui pourraient nous compromettre. D'un sort discret Remus lança un sort de silence sur la pièce, ainsi que sur tous les appareils électroniques des agents. -Bien. Pour comprendre ce que vous avez vu... Il faut d'abord que vous sachiez une chose. Nous ne sommes pas des humains ordinaires, tous les trois, ni Hermione, et encore moins Ian Doyle. Nous sommes des sorciers, et nous formons des petites ou grosses communautés autour du monde.
Ses dires firent taire les agents. Ils devaient avoir des hallucinations. À quel moment des personnes pouvaient être dotées de pouvoirs magiques? -Comme dans ma sorcière bien-aimée?, demanda Pénélope. Nos quatre comparses se regardaient sans comprendre, alors Derek leur fit un rapide résumé du feuilleton. -On peut dire ça. Même si elle ne se cache pas des moldus, nous si. Pour le bien de notre espèce. -Afin de ne pas reproduire le schéma qui s'est déroulé à Salem il y a des siècles. -Lorsque cet événement s'est déroulé, nous avons sut, encore plus qu'avant, qu'il nous fallait nous cacher. Notre communauté a donc fait le nécessaire afin que ça n'arrive plus jamais.
Un silence prit place. Tandis que tous essayaient de rassembler leurs pensées. Spencer, qui était le plus septique se frottait les tempes. -Il a était prouvé que ce qui était arrivé à Salem n'était pas réel. Que c'était un conte écrit afin d'effrayer les enfants. -On peut dire que c'est ce qu'il a été convenu de répéter de génération en génération, répondit Sirius. Pourquoi avez-vous été aussi surpris en apprenant notre existence? Car ça ne fait plus partit du commun des mortels.
Un silence prit place, tandis que la phrase de Sirius avait jeté un froid dans la pièce. Seraient-ils capables d'écouter, et peut-être même de croire, à ce qu'ils allaient entendre?
