⊰᯽⊱┈Chapitre 16┈⊰᯽⊱

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-Oi~ Kunikida-san! Tu m'as retrouvé~~

* Cette voix... Je la connais! *

Je cours dans la pièce et trouve facilement l'interrupteur pour y découvrir notre chers Dazai; sur une chaise, dans un bassin qui se remplit au fur et à mesure. L'eau avait déjà montée jusqu'à son coup et continue encore.

-Mais?! Comment tu en es encore arrivé là ?

-Ho ! Ça ? Bas enfaîte c'est complètement pas hasard que je me suis retrouvé ici. Pour commencer j'ai blbblblbblllblblblblb

L'eau est déjà arrivé au niveau de sa bouche et il commence à se noyer. Tous le regardent, ne comprenant pas le pourquoi du comment puis je commence à chercher un moyen de sauver Dazai. Les autres font pareil et l'intéressé en question chante, sous l'eau désormais, nous regardant nous activer d'un regard amusé. Kunikida le regard désespérément. Finalement, à court de temps, il tire dans la vitre qui se brise pour faire jaillir un jet d'eau dans toute la pièce.
Une fois le niveau d'eau au plus bas, il ordonne à Kenji et Kyoka d'aller sortir le suicidaire. Quand il est enfin hors de danger, il crache une telle quantité d'eau qu'on aurait dit une fontaine.

-En même temps, il se met à chanter sous l'eau...

Kunikida remonte ses lunettes dans un long soupir. Lorsque la fontaine à fini de couler, Dazai se relève comme un mort vivant et prend une grande inspiration avant de bouder comme à son habithude.

-Bon tu nous explique ? Ou tu boudes encore longtemps de pas avoir caner. Ce qui est très dommage...

Il croise les bras mais ne renonce pas à nous raconter son histoire.

-Figurez-vous que, lorsque j'étais sur le chemin de la mafia. J'avais trouvé se port assez séduisant pour ma nouvelle technique de suicide. Alors que je cherchais...

-TU TE FOU DE MOI ?! Tu es encore avec tes suicides stupides lors d'une tel mission !

Voyant Kunikida s'approcher furieusement de Dazai pour l'étrangler, je viens l'interrompre d'une main pour laisser à Dazai la suite de son histoire.

-Bref. Et que c'est-il passé ensuite, Dazai-san ?

-Merci Atsushi. Je disait, je cherchais l'endroit parfait quand je me suis fait kidnappé. Ils ont essayé de me soutirer des informations sous la torture mais je n'ai rien dit, évidement.

-Il n'aurait maqué plus que ça...

Il vient passer un bras sur les épaules de notre chef de groupe.

-Ce que tu ne sais pas mon cher Kunikida, c'est que j'ai récupéré ceci !

L'homme à lunettes lève un sourcil et il nous sort une petite clé de ses bandages, d'un air triomphant.

-Et ?

-Haha ! Grâce à cette clé, nous allons retrouver l'argent sacré du gouvernement !

Il se dirige vers le fond de la pièce où se situe une porte un peut cachée par un rideau poussièreux. Il insère la clé tandis que nous le rejoignons, curieux. La porte s'ouvre et dans une salle blindée, se trouve une mallette. Notre suicidaire court la chercher et reviens avec de nouveaux un grand sourire aux lèvres. Nous le regardons, abasourdis .

* C'est vraiment un autre niveau celui-ci *

Dazai attrape le poignet de son coéquipier pour la montre.

-Houla ! Il ne faudrait pas rentrer à l'agence ? Il commence à se faire tard.

-Heu... oui tu as raison. Bravo à tous. Vous avez bien travaillé aujourd'hui.

Nous sautons de joie, ravi que cette mission soit enfin fini et nous rentrons.

-D'ailleurs belle esquive à mon interrogatoire mais tu n'y échapperas pas ce soir.

-Ho noooooooooooon~~ Ne me laisse pas mourir sous ta torture.

~~~

A l'agence, je cours du côté de l'infirmerie. En chemin, je croise Akiko.

-Akiko-san ! Comment va-t-il ?

Elle me regarde surprise de ma rapidité.

-Et bien... il dort encore. Je te conseil de le laisser se repo...

-Merci !

Je lui sers la main avec énergie et la contourne pour foncer voir Akutagawa. Je ne tarde pas à trouver son lit rapidement et je le rejoins immédiatement. En arrivant, je constate qu'il dort paisiblement. Son torse, bandé comme une momie, se lève et s'abaisse dans un rythme régulier. Le voir dans cet état me rend plus que coupable. Je sers les draps et baisse le regard.

-Désolé pour tout Akutagawa...

Je n'ai pas le temps de faire mes excuses correctement que quelqu'un frappe à la porte.

-Atsushi... Tu peux venir au bureau ?

J'essuie les quelques larmes qui commençaient à couler et reprend un sourire.

-Oui, bien sûr.

Je regarde une dernière fois mon amour puis je rejoins les autres.

Nous trinquons à la victoire. Je remarque aussi que Ranpo est de retour. Il parle avec Tanizaki, le torse bombé de fierté. Ça fait plaisir de le revoir aussi heureux et arrogant, comme à son habitude.

-Qu'est ce que je t'avais dit. Mon pouvoir ne se trompe jamais !

Tous rigolent et on respire la joie de vivre dans les bureaux. Je prend 2 parts de gâteau et m'éclipse doucement vers la salle de repos.

* Je serais seulement heureux à partir du moment où je verrais Akutagawa réveillé. *

En revenant... Je vois que les draps son défaits et qu'il n'y a plus personne. Je laisse tomber les gâteaux, pensant au pire mais je l'aperçois un peu plus loin. Debout... en vie ! Je me précipite pour l'enlacer. Sa douce chaleur me confirme qu'il est bien en vie et que ce n'est pas un rêve. Il se met à grogner, preuve qu'il se sent mieux.

-Grr ! Atsu dou doucement.

Je l'enlace encore plus fort contre moi jusqu'à ressentir son cur battre contre mon oreille.

-He ! AIE !

Le stalkeur ( Shinsoukoku) [fini]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant