DRAGON

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Dans la forêt perdu, l'hymne remémoré avait un goût de miel.
Ravageant mon cœur comme l'hymen des nuées fertiles du ciel,
Abhorrant la trop intense lumière d'un été caniculaire,
Gagne les pics enneigés aux plus calmes airs,
Ombre de mon être, au dessus des chênes, il me survole,
Nonobstant les intarissables vents du farouche col.

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