chapitres 18

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Une foie que nous avions tous finis les bagages, nous partîmes pour l'aéroport. Ce premier vol fût court mais la renommée de Tom donné quelques avantages qui m'amusait, comme la salle de pres embarquement privé. Et les coupes files étaient aussi appréciable. Une foire installait dans le petit avion je m'endormis. Tom me réveilla à l'arrivée. Nous fûmes les premiers à descendre de l'avion et l'on nous conduisit vers l'hôtel de l'aéroport. Ce dernier était à l'extérieur de la ville, ce qui me chagrinais, j'aurais aimé me balader une dernière foie dans la ville.
Ces derniers instants tous les quatres me fendait le cœur mais malgré tout nous passâmes un bon repas. Harrison avait un dont pour mettre tout le monde de bonne humeur et dans ce moment j'appréciais beaucoup sa joie de vivre et la complicité qu'il avait avec Tom.
Tom lui c'était refermé et ne m'avais presque pas adressé la parole. Pourtant j'avais essayé plusieur fois de lui parler mais rien à faire.
Vers une heure du matin, et après une soirée arrosée, nous regagnions notre chambre. Tom chancelait plus que moi et l'alcool l'avait transformé en vrai moulin à parole. Les japonais le dévisageait ce qui me faisait rigoler de plus belle. Une foie dans la chambre, il s'effondra sur le lit.

Tom: viens là darling!

Le ton du jeune homme me faisait rire, je m'avanca avant de lui tombait dessus. Nous savions comment profiter de nos derniers moments ensemble. Et malgré son état Tom devint très habile. Je le déshabillais, ma bouche sur son torse lui faisait des chatouilles ce qui lui faisait contracter ces beaux abdos. Mais lorsque cette dernière atteignit son sexe, il changea d'attitude, ses respirations devenaient plus grandes et je sentais la tension dans son corps, le plaisir que je lui produisait. Je ne savais pas si c'était son état, ou bien moi, mais il n'était pas très entreprenant.
Je me levas pour me mettre sur lui et je vu une lueur dans ses yeux.

Tom: j'ai une idée et tu ne vas pas regretter.

Il ne me laissa pas continuer et me pris dans ses bras. Il ne marchait pas tout à fait droit mais me portait avec une essences impressionnantes. Il me déposa sur le dossier du canapé.

Moi: tu fais quoi?

Tom: je sais pas

Tout d'un coup toute la tension redescendu. Je me levas attendant une explication.

Tom: je voulais que cette nuit soit exceptionnel, mais je fais n'importent quoi...

Il était réellement navré, je le voyais. Je voulais le rassuré, mais lui mentir n'étais pas une solution.
Je m'asseyais sur le lit prenant ma tête entre mes mains.

Tom: je suis désolé...

Moi: mais c'est pas à toi de t'excuser, je je fais n'importent quoi...

Tom: tu as pris ta décision et aussi dure que ce soit c'est la bonne, je ne veux pas l'accepter mais je le sais

Moi: et si ça ne l'était pas?

Tom: je serais près à faire des efforts, mais si tu n'es pas prête, ça ne nous mènera à rien...

Moi: je sais Tom...

Nous avions les yeux rouges, se retenir de pleurer devenais très dur.
Il vint s'assoir à côté de moi et je lui pris la main.

Tom: mais on deviendra quoi tout les deux

Tom jusque la s'était accrochée à l'idée que je voudrais peut-être le revoir un jour comme ami.

Moi: je sais pas, si on a de la chance nous serons amis

Tom: si on a de la chance...

Moi: pour moi le futur fera lui-même les chose...

Tom: écoute Romane des foies il faut l'aider...

Moi: oui

Tom: si tu penses, dans les jour, les semaines où meme les mois que nous avons une chance, dit le moi car je ne pense pas que je pourrais t'oublier rapidement.

Moi: tom...

Ces mots me firent pleurer.

Tom: on devrait dormir

J'acquiescais et je remontais dans le lit. Il vint me serrer contre lui, je me retourna pour lui faire face et lui massa la tête. Avant de dormir je chuchota

Moi: tu n'as pas dutout gâché la soirée

Il me serra un peu plus fort avant de s'endormir à sont tour.
Dans la nuit je me réveilla en sursaut. Je sentais bien que je ne pourrais pas me rendormir alors j'essaya de me libérer de l'emprise de Tom. Je força un peu mais je ne pouvais pas bouger.

Tom: arrête de bouger je vais pas te laisser partir

Moi: je t'es réveillé?

Tom: non t'en fait pas

Il me tenait comme la chose la plus importante au monde. Il m'apportait tant de réconfort, plus que je ne voulais bien l'admettre. Je me rapprocha de lui et enroula ma jambe autour de son corps pour être au plus proche de lui. Vos corps nu aurais aimé pouvoir fusionner en cet instant. Je sentais bien que ce rapprochement ne le laissait pas indifférent, son corps entier était entrai de se contracter et je sentis sont cinquièmes membres se durcir.
Je rigolais, comprenant tout d'un coup son malaise.

Tom: désolé

Moi: de ca, oh le sois pas

Je glissa ma main et commença à le caressé puis je le força à changer de position et me mis sur lui.

Moi: je vais te faire crier mon nom

Il sourit puis il me retourna avec une essences déstabilisantes.

Tom: pas si je le fais avant

Il descendit entre mes jambes, sachant très bien que c'est ce que je préfère. Je lui tenais les mains ne pouvant m'empêcher de les serrer par moment. Il remonta sur moi, sa tête enface de la mienne il m'embrassa avant de me pénétrer. Il maintenait fermement mes deux mains contre le lit. Mes jambes entourées sont juste pour accompagner ses mouvements. Lorsque le plaisir fût trop intense, je commença à dire son nom. Je le disais car il le voulait, je le voyais bien, il était satisfait et commença à m'embrasser dans le cou.
Le reste de la nuit fit plus platonique, pourtant nous étions restés éveillés à parler.
Dans l'avion je ne fut que peu surprise qu'il est fait en sorte de me surclassé. Nous passâmes aussi le vole à parler. J'avais déjà dû dire au revoir à Harrison et Chriss qui avait pris des vols directs pour Londres.
Je ne fit même pas de remarque à Tom pour le surclassement trop heureuse de pouvoir passer un peu plus de temps avec lui.
Mais une foie a Paris, la séparation était inévitable. Nous avions tous deux quitté le sourire qui nous avait accompagné tout le trajet.
Trop vite arrivas le moment de la séparation. Je devais passer les douanes et lui continuer sont trajets.
Le temps le presser alors nôtre séparation ne pût s'éterniser. Mais nous nous étions déjà dit le plus important. Nous savions tous deux à qu'elle point elle allait être dure, nous nous étions préparés. Pourtant le moment du dernier baiser fût baigné de larme. Je ne voulais pas croire que c'était la dernière foie que je le verrais.

Pourtant il était entrain de s'éloigner, il me quittait et au fur et à mesure que la distance se creusait, le creu dans mon cœur en faisait de même. Avant de ne plus pouvoir me voir, il se retournas une dernière foie. J'appercevais à peine son visage, et mes yeux embrumé ne me permettait pas de voir le monde clairement. Pourtant lorsque ses lèvres bougèrent, je compris ce qu'il me disait. Peut-être que c'était un mirage, mais je le compris comme une promesse, une belle promesse. Celle qui permit à mon coeur de ne pas se déchirer entièrement. La promesse de la réalité de ces vacances, de sa réalité. Elle me guida malgré mes larmes, et mon malheur les mois suivant. Me donnant le seul espoir, la seule raison de continuer à vivre. Des mois après cette image n'avais toujours pas quitté mon esprit, de même que Tom.

comme un rêve Où les histoires vivent. Découvrez maintenant