chapitres 9

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Notre épuisement nous força à nous jetai sur le lit et à nous endormir immédiatement. Nous nous fîmes réveiller par Harrison et Zendaya qui déroulèrent comme des fous dans nôtre. Seul le draps couvrait mon corps et quand ils mirent les enceintes à fond ma surprise me fit me relever me dénudant entièrement. Harrison et zendaya se couvrirent les yeux et s'enfuirent de la chambre laissant les aboiements qu'ils avaient mis pour nous réveiller. Tom et moi étions entre énervements et hilarité.
Il était 12h30 lorsqu'il nous avez réveillé ce qui nous avait permis de dormir 4h30, fatiguée nous descendimes manger un bout.
A la cuisine était réunis un grand nombre de personne qui étaient eux bien réveillés et venais me parler ne comprenant apparemment pas mon état. J'essayais comme je le pouvais de rester poli et avenante mais dès que je pus m'éclipser je me dirigea vers un des fauteuil isolé du séjour. Je fit rejointe rapidement par Harrison.

Moi: salut

Harrison: ouais, heuu...

Il avait l'aire gêné, sûrement à cause de ce qui était arrivé ce matin. J'etais étonné d'une soudaine timidité et j'en profitais.

Moi: c'est ma poitrine qui te rends timide?

Harrison: bah, un peu... je suis venue m'excuser pour ça, on aurait pas dû et...

Moi: et tu as vu mes seins!
Je pris un ton légèrement agacé pour le faire se ranger dans ses petits souliers.

Harrison: oui..

Je me levas et lui dit "ah t'en fait pas c'est que des seins, attendant toi juste a ce que je te chari un moment" puis je lui tapotas l'épaule et alla vers Tom lui racontais l'état de son ami.

La journée passa rapidement puisque je passais la majeur partie de mon temps entrain de dormir. Le lendemain le mauvais temps nous empêchait de sortir, nous nous occupames donc avec jeu de société et vidéo. Pour ma part je passa la majeur parti de l'après midi à dessiner dans ma chambre.
Tom voulais que je le dessine nu mais je voulais avant m'entraîner sur un autre tableau grand format. J'alla donc en début d'après-midi acheter quelques fournitures puis je me mis au travail. Après avoir finis mon tableau expéditif j'allais me dégourdir les mains dans la salle de cinéma à jouer avec les gars.
Le soir nous mangions fondu ce qui m'aida à m'endormir relativement tôt.
Le lendemain nous nous contentames d'aller au ski toute la journée, le soir la descente au flambeau nous occupais.
Une foie rentré je me dirigea vers la douche. Rapidement rejointe par mon apollon qui était timide par rapport a ma réaction. Je m'étonnais moi-même en le priant de venir partager ma douche préférant habituellement la prendre seule. Mais ce soir, l'eau chaude et ses mains sur mon corps m'attirait plus que ce que je le montrais. Je savais pourtant que Tom sentais mon excitation et calculait chacun de ces mouvements pour l'augmenter. Sa manière de faire glisser ses mains sur mon corps qu'il connaissait si bien me procurait frisson sur frisson. Je me sentais m'abandonner à lui petit à petit quand sans que je comprennes je me retrouvais pliée en deux les mains sur le mur et lui derrière moi frottant son bassin contre mes fesses. Il ne disait rien et se contenter par je ne sais qu'elle magie de me contrôler. Ce n'était pourtant pas une chose facile à faire, mais au final se côté soumis qu'il avait lors de notre première rencontre s'était transformé en réel animalité. Il attrapa un préservatif, puis me pénétra lentement les premières foies avant de devenir très violent, ne m'empêchant pas de prendre du plaisir. Il exerçait une telle pression sur mes hanches que je croyais les sentir rétrécir alors que la sensation de bien-être montée. Il attrapa d'une main mes cheveux et me fit cambrer. J'aurais voulu répliquer, me tourner, reprendre les devants mais je ne pouvais exercer un mouvement, trop dépendante des siens. Nous atteignimes enfin l'orgasme et il redevint tout à coup adorable comme a son attitude. Malgré son essoufflement il me portait casiment m'aidant à reprendre ma respiration sur des jambes qui ne me soutenais presque plus.

Tom: ça va?

Moi: oui

Tom: vraiment? Je je ne t'es pas fait mal j'espère, je ne voulais pas être si violent...

Moi: ça va, je ne soupçonnais juste pas cette partie de toi, disais-je tout en plantant un regard malicieux dans le sien. Je voyais qu'il n'était pas convaincu, j'ajoutais alors: tu ne peux pas savoir comme ça m'a plu

Tom: ce n'est pas ce que tu as montré...

Je m'ecarta de lui pouvant enfin reprendre le contrôle de mon corps. Je l'attirais vers moi et lui caressais les fesses.

Moi: j'étais juste surprises, je n'est pas l'habitude que tu sois comme ça... c'est tout

Tom: vraiment?

Moi: mais oui! Je ne demande qu'à recommencer tu sais

Ma voix était intentionnellement suave, et il ne pu s'empêcher de se rapprocher de moi. Je lui claqua ces jolies petites fesses avant de sortir de la douche.
Je m'habillais et avant de sortir je lui dit "c'est ce soir ou je peins ton corps tu te souviens?" Cette voix se voulais légèrement autoritaire, il acquiesça non sans poser son regard sur mon corps.
Quelques minutes plus tard nous descendimes dans le séjour plongé dans la pénombre de la nuit. Nous prîmes un sofa pour le monter dans la chambre sauf que le pied de ce dernier ne nous facilitait pas la tâche. Alors que nous le montions nous nous engueulions à coup de "c'est moi qui porte tout" "fais un effort" ou encore "on fait une pause". Si bien que certains de nos colocataires criaient. Agacé par notre cinéma l'un d'eux vint me remplacer.
Une foie le sofa disposais à notre convenance, je peignit pendant des heures le corps de Tom qui agaçait ne pouvais s'empêcher de remuer.
A 3h du matin mon œuvre était assez complète pour que je n'est plus besoin de mon modèle. Je le pris quand même en photo mais c'était plus pour mon plaisir personnel qu'une réelle nécessité artistique.

comme un rêve Où les histoires vivent. Découvrez maintenant