Chapitres 16

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Tu le laissa entrer, tu étais honteuse et tu n'osait rien regarder. Tu étais assise sur le lit et il vint à côté de toi.

Tom: écoute Romane je ne t'en veux pas, ta réaction m'a fait bizarre je dois dire mais si c'est ce que tu veux je ne vois pas pourquoi je m'y opposerai

Tu n'osais pas répondre, il te prit la main puis se leva et se dirigea vers la porte.

Toi: Tom, ta voix était à un si faible volume que Tom ne l'entendit pas et ouvra la porte.

Toi: Tom, ta voix était triste mais audible

Il se retourna vers toi.

Toi: Tom je suis désolé, j'ai étais idiote

Tom: je pensais juste qu'être romantique serais bien.

Toi: c'est pas ça le problème, et tu peux être romantique sans m'acheter des chose.

Tom: je pourrais, dis moi pourquoi tu fais ça? J'espère que tu le fais pas pour que je pense que tu es la pour mon argent.

Tu rougis en guise de réponse.

Tom: mais t'as pas à faire ca et je pense pas dutout ça de toi

Toi: c'est pas seulement ça, j'aime pas me sentir redevable c'est tout.

Tom: c'était ton anniversaire y a pas longtemps?

Toi: 2 semaines

Tom: ce sera ton cadeau d'anniversaire alors

Tu lui sourit, il avait toujours les mots pour te réconforter, les bons mots.
Tu commença à pleurer dépassée par les événements. Tu sentais la présence du brun essentiel à ta vie mais tu ne voulais pas te l'admettre.

Tom: oh Romane pleure pas pour ca...

Toi: arrête de me dire de pas pleurer idiot ca me fait pleurer!

Il sourit ravis de voir que tu avais retrouvé ta délicatesse naturelle.
Il te serrais la main.

Toi: et si je faisais un plat français pour ce soir

Tom: tu as envie de cuisiner

Toi: et de vous faire découvrir la choucroute!

Tom: la quoi?

Toi: tu verras c'est excellent mais il va falloir aller faire des course.

Tom: allons y

Ton changement soudain d'humeur était du à ton besoin de chasser le flot d'émotions qui t'envahissait. Il fallait rester pragmatique à tout prix. Plusieurs foies pendant les achats lorsque tu regardais vers Tom tu sentais les larmes monter. Il ne rester que deux jours ici et la séparation aller être dure pour tous les deux.
Tom lui espérait, il espérait qu'il te suffirait, il espérait que tu l'aimais mais il préférait que tu sois honnête malgré tout.
Pour préparer le plat, vous vous mirent tous les quatre à cuisiner. Tu prenais le rôle de chef de qui te convenait parfaitement.
Il était relativement tôt dans la soirée quand vous finirent de cuisiner.
Pendant que le plats cuisait, vous regardiez un film. Il y avait quelques scene chose qui fesais monter la tension entre vous.
Tu ne comprenais pas pourquoi mais l'un comme l'autre vous étiez incapable de rester fâchée plus de quelques heures et pourtant cette semaine avait été plutôt mouvementée.
Le four sonna et tu alla voir Tom sur tes talons. A peine arrivé il commença à t'embrasser.

Toi: c'est le film qui te fait cet effet?

Tom: peut-être

Il continuais mais tu savais que ce n'étais pas le moment. Tu l'embrassa te dirigeant doucement vers son oreil. Tu le sentais satisfait de la tournure que prenais les chose mais arriver au niveau du lobe tu lui chuchota

Toi: monsieur Holland il va falloir attendre un peu

Tu te sépara assez brusquement de lui et il resta à te regardais sans bouger.
Vous aviez décidé de manger dans le salon. Tu appela les autres pour qu'ils viennent vous aider.

Harrison: bah alors Tom ça a été rapide

Toi: ferme la espèce d'obsédé

Il rigola légèrement puis pris un air satisfait.

Harrison: désolé madame mais ce n'est pas moi que l'on entend dans toute la maison.

Tu rougis, mais une réponse te vint à l'esprit.

Toi: c'est sur et tu sais pourquoi? Car tu n'as personne pour le faire je me trompe

A ces mots ils se tu pendant que Chriss et Tom rigolaient.
Le repas ce passa bien, vous vous amusiez bien.
Apres avoir parler un peu, Tom et toi allèrent dans votre chambre.
Tu te mis sur le lit entrain de parler avec tes amies lorsqu'il vint sur toi.
Tu savais ce dont il avait envie, et il ne tarda pas à te le montrer.
Ses mains glissaient le long de ton corps jusqu'à qu'elle arrive à tes hanches. Il te retourna essaiment pour te mettre fasse a lui. Mais tu t'enfuis, il couru pour te rattraper, s'en suivis une course poursuite dans toute la maison. Il finit par t'attraper et il te chargea comme un sac à patate sur son épaule.

Toi: je te permet pas de me manipuler si facilement

Tom: je le permet seul t'en fait pas

Il te jeta sur le lit et te bloqua sur le lit. Il t'était impossible de bouger. Tu souriais comme une idiote et lui venais de plus en plus proche. Quand il fut assez proche tu le sentis lâchait un peu la prise. Assez pour que tu te libère et que tu te mettes sur lui. Tu le déshabillait lentement et lorsqu'il fut en caleçon tu te levas et te mis à côté du lit. Il te regardait bêtement.

Toi: tu crois vraiment que je vais te rendre la tâche si facile?

Tom: tu arrêteras un jour de me compliqué la vie?

Toi: le jour de ma mort

Il se planta devant toi un air que tu ne lui connaissait pas sur le visage.

Tom: très bien alors....

Toi: alors quoi?
Tu pris une voie aigu et tu ne compris pas la raison. Pourtant vous étiez entrain de vous défiez. Vous vous regardiez intensément et sans se détourner il te dit avec un air plein de malice.

Tom: que veux tu que je fasse?

Tu ne pouvais détourner le regard, pourtant à ces mots tu n'avais qu'une seule envie, baissée la tête et rire. Mais cette force en toi, cette envie te dit d'agir tout autrement.

Toi: déshabille moi

Il sourit et s'exécuta sans sourciller. Il était lent, mais ça ne te dérangeait pas, cela faisait monter la tension.
Tu étais désormais nu et il se remit devant toi. Tu ne ressentais aucun malaise, ce qui t'étonnais. Il attendait que tu décide ce qu'il allait faire ensuite. Tu fit mine de réfléchir avant de parler.

Toi: je crois que tu es encore un peu trop habillé?

En même temps que tu parlais tu t'installais sur l'unique fauteuil de la chambre. Tom s'exécuta, et tu te rendis compte que tu ne l'avais jamais regarder, du moins jamais vu de cette manière. Le corps qui se tenait devant toi ne pouvais qu'être divin. La suite des événements est très embrouillée pour toi. Mais ce n'etais pas son cas. Il se souvenait très bien que tu lui est montré ton entrejambe n'osant plus dire mot, de ton regard lorsqu'il s'est agenouillé devant toi pour être la bonne hauteur. De la tension qu'il sentait dans ton corps, de ta main dans ses cheveux, de tes cris que tu étouffais comme tu le pouvais. Il se souvient que tu lui a demandé de s'allonger sur le lit en lui interdisant de bouger et qu'il du se faire violence pour ne pas accompagné tes mouvements lorsque tu étais sur lui.    Et il se souvenait de ton regard, un regard perçant mais qui n'en étais pas moins angélique, tu l'envoutais. Il t'obeissait mais il te contrôlait, toi ton corps et a ce moment ton esprit. Pourtant il ne ressentais plus la gravité, les simples gestes de ton corps sur le sien étais sur réel. Le jeune homme avait les moindres détails en-tête, le moindre de tes gestes, de tes regards, de tes sourires. Toi tu ne revint à la réalité que le lendemain matin, en te réveillant.

comme un rêve Où les histoires vivent. Découvrez maintenant