-ON DETESTE CE QUI NOUS ATTIRE LE PLUS - DRACO MALFOY-

5EME ANNEE - CHAP 14

Je finis ma course dans mon dortoir où je m'affala sur mon lit. Toutes sortes de pensées fusaient dans ma tête en commençant par la lettre de ma mère. Pourquoi le seigneur des Ténèbres ne connaissait pas mon existence ? Pourquoi si il était au courant, je serais forcément en danger ? Pourquoi je ne dois plus m'approcher des Malfoy ? 

Tout ça voulait dire que je ne pourrais plus voir ma mère, et que c'était reparti pour passer toutes les vacances scolaire au château sans pouvoir le quitter une seule fois dans l'année.
Puis vient Malfoy, notre attirance mutuelle s'était fais ressentir dés le premier jour, dés qu'il m'avait adresser la parole lorsque je parlais avec Nott. Au fond, moi et lui sommes les mêmes, nous cachons nos sentiments par la méchanceté et l'indifférence, mais en réalité Draco Malfoy me rendait folle. Son visage, ses yeux, sa bouche, ses cheveux, sa démarche et ses mimiques me rendaient littéralement plus attiré par lui chaque jours. Mais à peine on venait de s'avouer indirectement notre attirance, que nous devions déjà arrêter ce petit jeu. Mais au fond, ce n'était pas plus mal, je sais que Malfoy aurait fini par me faire du mal un jour ou l'autre, qu'il n'est peut-être pas prêt et assez mature pour une relation sérieuse et saine... Je devais me faire une raison et oublier ce garçon.

Quelques heures plus tard à cogiter, un toquement se fit entendre de l'autre côté de ma porte. « Oui ? » m'exclamai-je

Puis la porte s'ouvrit brusquement alors que Fred et George déboula en furie dans ma chambre complétement défoncé en train de rigoler comme jamais.
« Putain Bella, tu aurais du voir la tête de Nott avec le sort du bloque-jambe » dit Fred en se tordant de rire se tenant fermement le ventre tandis que George était étalé par terre. Je les regarda et un sourire se dessina automatiquement sur mon visage comme à chaque fois que je les voyais.
« Qu'est-ce que vous foutez ici ? Comment êtes-vous rentré chez les Serpentard ? » les questionnai-je
« Veritaserum sur la grosse Millicent, elle nous a filé le mot de passe » dit George amusé toujours par terre.
« Arrêtez de la traiter de grosse bande d'abrutis » gloussai-je en m'asseyant sur mon lit.

Fred se releva et vient s'asseoir à côté de moi tandis que George resta par terre allongé juste à coude le soutenant. « Bon tu viens ?» dit Fred

« Où ça ? » les interrogeai-je en passant mon regard de Fred à Georges et vice-versa.

« Faire des conneries » dit George en arborant un grand sourire joueur et enfantin.
Je souris grandement en balançant ma tête en arrière et fit un oui de la tête.

George et Fred se levèrent d'un coup et se dirigèrent vers la porte pour me l'ouvrir.
« Après vous beauté fatale » dit George ce à quoi je levais les yeux aux ciels en passant la porte.

Fred et George me trainèrent jusqu'à la cours et je sortis ma baguette. « Quels sont ces conneries ? » questionnai-je d'un air dédaigneux.
« Pas cette air avec nous mademoiselle Blackburn » plaisanta Fred ce qui me fit glousser. « Tu vois tout ces élèves qui sont tranquille en train de chiller ? » continua-t-il en me faisant regarder tout les élèves présent dans la cours. « Eh bien, nous allons les emmerder... » dit-il alors que je le regardai interrogatrice « Juste un peu » rigola-t-il. 

Nous avons donc pendant 1h, fait léviter des petits objets afin de les balancer dans la tête des élèves avec notre baguette légèrement camouflé par un mur. Les personnes criaient et s'énervaient, ne voyant pas qui leur jeté des objets ce qui nous pliaient littéralement de rire à chaque fois. Les jumeaux savaient comment me changer les idées. 

Georges frappa Dean Thomas à l'arrière de la tête avec un pot d'encre vide, Fred jeta une pomme verte dans le front de Seamus Finnegan et je lança un mascara vide dans la tête de Cho Chang. Et puis nous enchainions les personnes, faisant qu'amplifier notre fou-rires à chaque fois. Jusqu'à ce que George fasse un mauvais mouvement et envoie l'autre pomme qu'il avait dans les mains en pleins dans ma face et avec la vitesse, celle-ci m'a littéralement sectionner la lèvres.