Chapitre 11

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PDV de Gaëtane

Actuellement je suis dans le bus, essoufflée, par la course que je venais de faire pour le rattraper. En regardant par la vitre de celui-ci me menant au lycée, je me rappela alors de ce court baisers que Stefan ma donné. Pourquoi m'avait-il embrassée ? Essayerais-t-il de se moquée de moi ? Ou au contraire le voulait-il vraiment ? D'autant plus qu'il a dit que je lui plaisait que quelque chose l'attirais vers moi. Mais le pense-t-il vraiment ? Et qu'elle est la chose l'attire vers moi ? Est-ce de la pitié parce que je suis grosse ?

Je ne comprends plus rien ! Tout se bouscule dans ma tête. Je suis perdue. Mais je sais une chose qu'il faut que je l'évite a tout pris au lycée. D'ailleurs je ne sais même pas comment va se passer cette après-midi. Rien qu'en y repensant j'ai une boule au ventre qui se forme.

Le bus arrive à l'arrêt du lycée, j'inspire un grand coup et je sort de celui-ci.

Je baisse la tête, j'essaye de faire petite et je vais jusqu'à mon casier. Arrivé à celui-ci je remarque que qu'une photos de cachalot est collée avec écris " c'est toi actuellement". C'est à ce moment là que j'entends toute ceux qui m'entoure ce mettent à rires. Je les bouscules et court jusqu'au toilette pour y rester enfermée jusqu'à la sonnerie.

Le reste de l'après-midi et de la fin de semaine c'était passée comme toutes les autres, des rires, des insultes, des gens qui te montre du doigts ou encore ceux qui parle derrière ton dos mais qui sont pas discret. Bref aujourd'hui nous sommes dimanche et ne n'ai pas reçue de massege ou revue Stefan. Peut-être qu'il m'évite ? Mais c'est mieux. Demain commence la semaine de la Saint-Valentin, oui, dans notre lycée pendant cinq jour nous pouvons faire ou recevoir des cadeaux. Bien évidement je ne reçoit jamais rien mais un jour l'imbécile que je suis, a écrit une lettre d'amour à quelqu'un et vous savez qui c'était : Erik mais je me suis fais à voir, je l'ai vue lire la lettre avec tous ces potes et après vous imaginez que ça n'a pas était tout rose. Je sais que cette semaine seras dur pour moi mais on feras avec comme les autres année, je m'endort sur cette pensée.

Ca y est ! C'est lundi, je descend de mon bus et ce que je vois me choque. Adela parle aux populaires, elle rigole même avec eux, je comprends que je viens de me faire à voir mais je me demande pourquoi qu'est-ce qui a changer ? Je prends alors mon courage à deux mains et je fonce la voir pour à voir des explications.

-Adela je peux te parler ?

-Si tu veux. Me répond t-elle froidement.

On s'éloigne un peu de ce maudit groupe puis je me lance :

-Pourquoi tu reste avec eux ?

-C'est pourtant simple, tu ma abandonnée pour un mec, de plus le mec que je voulais ! Me dit-elle en osant le temps.

-Pardon si tu parle de Stefan, c'est lui qui me suit partout et qui y est venu me parler.

-Et alors je m'en fou, tu ma quand même trahi compare à eux qui me l'on dis. Donc maintenant se sont mes potes et toi tu n'es plus la mienne la Baleine.

Suite à cela je part les larmes aux yeux, en comprenant que je viens de perdre ma seule amie dans ce lycée maudit.

Je suis dans le couloir des casiers et je vois plein de filles et garçons recevoir des cadeaux. Je passe outre cette situation qui durera jusqu'à vendredi le jour de la Saint-Valentin. J'ouvre mon casier et je remarque qu'un papier avec une rose sont dedans, je les prends et je regarde autour de moi pour voir si ceci n'est pas une blague. Je ouvre alors le mot et je lis : Pendant cette semaine je t'offrirais un cadeaux chaque jour de celle-ci. De la part de ton admirateur secret.

Je sais qu'au fond de moi je suis contente car c'est la première fois que je reçoit ce genre un cadeaux mais mon esprit me dis de me méfiée, d'une potentiel farce de la part des populaires.

Je met quand même dans mon sac et je part pour mon premier cours tout de même contrarié et triste d'avoir perdu ma seule amie.

Après ce premier cadeaux, chaque matin, avant ma première heure j'en recevais un. Mardi c'était un nounours qui tient un coeur où dessus il y avait marqué mon prénom. Mercredi c'était un petit gentille ou il y avait marqué : tu es belle même si tu le ne crois pas ♡.
Jeudi quand j'ai ouvert mon casier plein de pétales de roses rouge avait envahit mon casier. Vendredi, donc aujourd'hui j'arrive devant toute souriante, une chose que je ne faisais plus depuis, j'ouvris mon casier cette fois-ci c'était un mot qui me disait : Joyeux Saint Valentin. P. S : rejoint moi à 16h au parc à côté du lycée. Je serais assis sur le seul banc qu'il y a.

Au début j'avais peur que ça soit un piège alors toute la journée j'y ais réfléchir et à 16h comme convenu je suis sortie direction le parc. Arrivée à l'entrer de celui-ci je souffle un bon coup et marche jusqu'au seul banc. J'aperçois alors une silhouette d'un garçon assez bien fait et au plus je me rapprocher au plus cette silhouette me disait quelque chose.

- C'est toi qui m'a envoyé tous ces cadeaux ?

- Oui c'était moi.

Quand il c'est retourné en même temps qu'il parlait j'ai eu le souffle coupé.

- Mais pourquoi ? Je le questionne encore choquer par son identité.

- Parce que comme je te l'ai dis tu me plaît. Me répond Stefan.

Et oui c'est bien Stefan qui ma envoyé tous ces cadeaux. Franchement je reste sans voix. Alors je lui plaît vraiment ? Quand il me la dis Jeudi dernier il le pensait vraiment. Je suis perdue.

- Vrai de vrai ?

Il se rapproche et comble l'espace qui nous sépare. Il met sa main sur ma joue ,qui est toute rouge actuellement, puis il se rapproche encore pour que nos corps soit collés l'un à l'autre.

- Oui comme je te l'ai dis quelque chose chez toi m'attire et je veux essayer avec toi. Me dit-il dans un souffle en collant nos frond.

- Tu veux essayer quoi ? Demandais-je bêtement.

- Je veux sortir avec toi pour voir si ça marche entre nous. Quand dis-tu ?

-Et si ça marche pas ? Tu vas m'humiliée ?

- Non si ça marche pas on restera amis.

Tout se chamboule dans ma tête mon cœur me dis d'accepter mais ma tête me dis de me méfier. Voyant que je réfléchis Stefan me questionne :

- Alors ?

Pour une fois j'ai envie d'être aimer, de ressentir un autre amour que celui de ma famille et je veux pourvoir en redonner en retour alors je décide de lui dire :

- Je veux bien sortir avec toi.

Sa réponse ne s'attend pas. Il m'embrasse direct en me donnant mon vrai premier baisers celui que j'attends depuis toujours. Un baisers langoureux et doux à la fois. Je m'accroche à ses avant bras tandis qui me prends par la taille pour plus approfondir notre baisers.

On s'écarte en même pour reprendre notre respiration. Nous sommes pas des vampire quand-même ! On se regarde dans les yeux et c'est là que je comprends que pour la première fois de ma vie je suis en couple avec quelqu'un...

Une Bousculade InattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant