Une Bousculade Inattendu

Chapitre 20

Pdv de Stefan

Voilà 1 mois que je sors avec toi et c'est le bonheur même si tout le monde est contre notre couple à l'école pour l'instant on tient. Je sais que t'es a bout, que t'en a marre de toutes ces remarques mais je vois que tu te bats pour nous. Et ça j'adore ! Ça me prouve inconsciemment que tu tiens à moi. Et ça m'aide et me touche énormément. Depuis que je suis avec toi je fais presque plus de cauchemars la nuit.
J'ai appris à me canaliser en pensant a toi la nuit a contrario de mes cauchemars qui avant prenaient toute mes pensées. Mais comment ne pas penser à toi, c'est inévitable. Quand je m'endors je pense à toi, la nuit je rêve de toi. Le matin je me réveille et ma première pensée est pour toi. Je suis tomber tout bêtement amoureux de toi, de ton corps, de tes défauts mais aussi de tes qualités.

Le problème cette idylle c'est le regard des autres qui te fait extrêmement peur. Quand tu es avec moi ou quand on s'écrit je vois la vraie toi ! Mais quand nous sommes au lycée tu change radicalement. Tu ne devrais pas avoir à faire cela personne ne le devrais d'ailleurs. Les ados ne devraient juger, critiquer ou rabaisser personnes juste faire leurs routes et accepter les personnes qu'ils ont en face telle qu'ils sont.

Je fais tout pour que tu te sente belle. Je sais que tu as du mal a me croire, que quand je te regarde j'y vois, rien qu'un instant de la joie au fait de mes paroles mais cette joie est vite remplacé par de la méfiance, au doutes. Le pire c'est que je connais ce sentiment je me méfié avant de tout ce que mon père me disait je savais au plus profond de moi que quand il s'excuser c'était faux car il recommençait. Rien que dis penser ça me donne la chair de poule dire que ma mère a souffert encore plus quand je suis né pour me protéger. J'ai l'impression que je n'ai pas ma place dans ce monde comme Gaëtane. Nous avons pas la même cause de notre souffrance mais nous souffrons à la même intensité.

Comme aujourd'hui ça fait un mois que je suis avec elle et que c'est les vacances, j'ai décider de lui organiser une petite surprise. Normalement toutes personnes normal ne font un petit trucs lors du deuxième mois de leur relation. Mais nous ne sommes pas comme la plupart des couples, je dirais même que nous sommes un couple original. Ma surprise c'est de l'emmener dans une fête foraine. Ça nous détendra de toutes cette tension que nous avons accumulés de nos souffrances.

J'ai, sans le vouloir, un besoin constant de vouloir la protéger, de la rendre heureuse, de la choyée. Serais-je entrain de tomber amoureux d'elle ? Je ne connais pas ce sentiments et d'une autre part j'ai envie de le découvrir avec elle. Pour certain ça peut paraître bizarre de voir un garçon qui au premier à bord fait "Bad boy" mais au fond j'ai un besoin d'avoir de l'amour dans ma vie.

Ça y est il est 19h et je suis devant chez elle entrain de l'attendre à l'intérieur de sa maison tout en parlant avec sa mère qui est d'ailleurs très généreuse.

- Et du coups tu es nouveau au lycée ?

- Exactement avec ma mère on avait besoin de changer d'air. Dis-je en souriant.

- Ma fille ma parler beaucoup parler de toi et je voudrais juste une juste.

- Laquelle Madame ?

- Oh tu peux m'appeler par mon prénom et me tutoyer. Ne lui brise pas le cœur. Elle me raconte rien de ce qui se passe au lycée mais je vois toujours son regard, qui en rentrant tout les soirs, est remplis de tristesse. Mais je dois dire que pendant le mois qui vient de passer une joie, que je n'avais pas vus depuis longtemps, était de nouveau présente.

- Je sais et je ferais tout pour la rendre heureuse.

- Ça sens qu'il y a de l'amour dans l'air.

Je rougis à c'est dires.

Puis Gaëtane apparue dans le salon encore plus que jamais, vêtue d'un jean noir et d'un pull rouge marqué dessus Gryffondor. La différence c'est qu'aujourd'hui elle sait plaqué les cheveux. Elle est encore plus belle. 

- Tu es très jolie. Dis-je avec timidité. 

- Merci. 

Après avoir dit au revoir à sa mère nous partîmes vers la surprise que je lui réserve. Je suis content de la revoir, elle m'avait manquée. De temps en temps je nous arrête pour l'embrasser ainsi pour lui montrer à qu'elle point son contact ma manqué. Je la sens toute timide encore plus que tout les jours. Mais bizarrement j'aime cela, j'adore même. Je trouve que ça fait tout son charme. 

Une fois arriver après de dix minutes de marches, au vue que ce n'est pas loin de chez nous, je l'observe attentivement pour voir sa réaction ayant peur qu'elle soit déçue. Mais bien au contraire elle me saute dans les bras tout en criant la j'ai la vrai Gaëtane en face de moi. Et c'est ainsi que nous passons une merveilleuse soirée en amoureux sinon nous pouvons le dire comme ça. Je la vois heureuse et c'est le plus important. Des fois il ne suffit pas de grand pour rendre quelqu'un heureux, il suffit juste de donner de l'amour, de l'attention à quelqu'un. Et je veux être cet amour pour elle. 

Avant notre départ je lui propose de faire un dernier stand pour lui gagné une peluche de forme de rose. Je n'ai que trois chance pour la gagner en tirant dans la cible. Mon stress augmente je ne veux pas la décevoir et je veux cette rose pour elle. Première tentative j'échoue, la deuxième pareil ma conscience me dit : "jamais deux sans trois" mais c'est alors que je réussi à toucher la cible et je lui donne sa rose en tant que cadeaux pour nos un mois. 

Par la suite nous prenons le chemin du retour le sourire aux lèvres. J'ai adoré notre soirée, c'était formidable de la voir comme ça. Arrivé devant chez elle je la prend dans mes bras et je lui murmure à l'oreille :

- J'ai adoré te voir comme ça ce soir. Je voudrais que tu le sois plus souvent.

Elle se décolle un peu de moi pour me regarder.

- J'ai passé un superbe moment grâce à toi. Je te remercie pour cette soirée et pour la rose. Me dit-elle en m'embrassant.

Surpris j'y répond quelques secondes plus tard tout en approfondissant notre baiser. Et c'est ainsi que notre soirée ce finit. 

Je ne me doutais pas quand rentrant chez moi cette joie aller disparaître en un claquement de doigt...