Chapitre 3

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Pdv Stefan

Voilà un mois que je suis dans ce nouveau lycée et sans le vouloir je suis devenu un populaires dont le nouvelle ami de Erik ainsi que la proie de toute les filles, sauf que je m'en fou, je n'ai pas le droit de penser à ça alors que mon père doit nous chercher et seul dieu c'est ce qu'il fera. Bref vaut mieux que j'arrête de penser à lui, cela fais ressortir trop de mauvais souvenir pour moi comme pour ma mère. D'ailleurs depuis qu'on est partis, elle semble plus heureuse mais elle garde toujours dans son regard une part de tristesse. Bon à l'école j'aborde ou plutôt je met le masque du mec qui souris ou encore le bad boy même si j'aime pas trop ce style mais ça me permet d'oublier pendant le journée au moins. La nuit je dort pas beaucoup je rêve des épreuves que j'ai vécu d'avant mais j'ai un autre rêve plus fous et merveilleux. Je me voie avec un fille, je ne saurais vous décrire son visage car je ne le connais pas moi-même, tout ce que je vois c'est le corps d'une femme, qui si puis-je dire une bombe atomique avec des formes commence je les aimes. Elle me dis qu'elle m'aimes comme je suis et qu'elle m'accepte avec mon passé, c'est une fille parfaite pour un mec comme moi qui ne la mérite pas enfin après tout cela n'est qu'un rêve.

Je suis au lycée et je me dirige vers le gymnase la ou j'ai sport mais au moment où j'allais rentré quelqu'un me rentre dedans et tombe parterre. Je baisse mon regard pour rencontrer le sien et la c'est comme si j'avais eu un beug ces yeux son magnifique enfaite pour faire plus simple elle est trop belle et j'en perd mes mots mais en la regardant mieux je me rappelle de mon premier jour au lycée, c'est elle que tout le monde n'arrête pas d'insulter ce que je ne qu'on soit pas du tout mais je suis obligé de me taire pour garder leurs amitiés qui me fait oublier mon calvaire. Je reprends vite mes esprits, en constatant qu'elle pleure.

- Ça va ? Je t'ai pas fait mal ? Si oui je suis vraiment désolé. Lui dis-je en déballant plein de phrases, sa c'est quand je suis stressé ou même intimider par une telle beauté que j'en perds mes mots.

-Non et puis si c'était le cas tu t'en foutrais vue avec qui tu traîne, maintenant pardon j'aimerais allée pleure tranquille et je m'en fou que tu le dis à toute la classe.

Sur ces mots elle parti en le bousculant tandis que lui en resté bouche bé par ces paroles qui ne manquerais pas d'oublier.

Ok,si je m'attendais à ça, je me demande ce qu'elle doit ressentir tout les jours un seul mots me vient en tête. La douleur. Je la ressent aussi mais pas de la même manière. Quand je l'ai vue la première fois en classe le jour de mon arrivée, j'ai vue ce que personne avait vue, des larmes, de tristesse , cela m'a peiné comment peut-on s'en prendre à quelqu'un juste pour son physique et qui par ailleurs n'est pas si gros que ça au contraire je trouve qu'elle a de belle formes comme celle de mon rêve.

Je me retourne et je vois dans quel direction elle est parti, dans la cour. Soudain l'envie de la prendre dans mes bras, de la réconforter me pousse à faire demi-tour et d'aller la rejoindre.

J'ai mis au moins dix minutes à la cherchée en faisant le tour de la cour, après ce laps de temps, je l'ai trouvé carrément tout au fond de celle-ci les genoux repliés vers sa poitrine ainsi que sa tête baissée entre ses genoux et celle-ci. Je m'avance alors tout doucement pour ne pas lui faire leur, je sais qu'elle doit se dire que je suis un con car je reste avec ces populaires mais comme on dit les apparences sont trompeuses. Arriver à sa hauteur je m'assois à côté d'elle, tout en gardant de la distance, elle semble remarquée ma présence et relève la tête. Je peux voir qu'elle pleure toujours et qu'elle a les joues toute rouge, ce qui sur le moment je trouve ça mignon. Elle tourne la tête dans la direction et bloc en me voyant et nous restons plusieurs minutes comme si le monde n'existé plus. Soudain contre tout attente elle prend la parole,aussi froide que possible:

- Qu'est-ce que tu me veux encore ? Te moquer encore de moi, c'est ça et si tu es là parce que tu as de la pitié pour moi alors va t'en, je n'en veux pas.

- Je ne veux pas me moquer de toi, je ne suis pas comment tu peux les pensé et surtout j'ai pas pitié pour toi mais de la compassion.

- Comme si j'allais te crois, tu te joues de moi et je commence en avoir mare. Lui dit-elle en se levant mais fut rattraper par la main de Stefan qui a encerclé son poignet.

- S'il te plaît, je veux pas être méchant avec toi. Je suis pas comme ça, comprend le.

Elle hoche la tête et pour la première fois depuis notre échange elle ne pleurait plus et se rassoit un peu plus près de moi.

-Pourquoi t'es gentil avec moi ? Me demanda t-elle en me fuyant du regard.

Très bon question, pour être franc je ne sais pas elle m'a attiré comme un aimant, en plus de ça elle m'intrigue et surtout je veux la voir sourire, la rendre heureuse et ça sa seras ma nouvelle mission que j'ai hâte de commencer d'ailleurs.

Une Bousculade InattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant