Chapitre 14

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Pdv de Gaëtane

J'ai arrêté de pleurée depuis 5 minutes. J'essaye de reprendre ma respiration et de rassembler mes esprits pour pouvoir le rejoindre. C'est alors que j'entends la porte de sa chambre se fermée et qu'apparaît par la suite sa mère. Une mère forte qui a pris chère trop chère pour protéger son fils.

- Je suis désolée d'être partie. Dis-je en m'excusant.

- C'est normal mais sache qui s'inquiète. Je vous laisse tout les deux le temps d'aller chercher un café.

- D'accord merci.

Sur ces mots je me lève et toque a la porte, avant d'entrer.

- Je suis désolée d'être partie. J'avais besoin de digèrer la nouvelle mais je te jugerais pas et je serais la si tu veux en parler. Lui dis-je en venant lui reprendre la main.

- Je m'en doutais je te fais confiance pour ça. Dit-il en me donnant un sourire triste.

C'est alors que je prends la décision pour la première fois de poser mes lèvres sur les siennes. Il répondit a mon baiser en prenant les rênes pour accentuer en enfoncent sa langue dans ma bouche. On s'écarta l'un de l'autre à bout de souffle par ce baiser qui était le meilleur pour moi en tout cas.

- Qu'avez-vous fait de ma princesse timide ? Dit-il d'un ton taquin.

- Je sais pas mais j'espère que vous aimez ça. Lui répondis-je en rentrant dans son jeux.

Il me souleva pour que je puisse m'asseoir sur le matelas à côté de lui. Puis il me pris le menton pour que nos regards se croise afin de me dire :

- J'aime la princesse timide et audacieuse.

Je m'empourpra violement. Il s'avança vers moi, passa sa main dans mes cheveux puis il me rapprocha un peu plus vers lui afin d'apposer ses lèvres sur les miennes. Nous échangèrent un baiser passionnée.

-Tu vas mieux ? Je suis désolée de t'avoir fait courir, j'aurais du rester pour affronter les sentiments que j'ai pour toi.

-Hé ! C'est pas grave tu pouvais pas savoir sur mon passée je ne le crie pas sur tous les toits.

- Comment tu vas faire pour ton père ?

Pdv de Stefan

- Comment tu vas faire pour ton père ? Me demande t-elle.

Suite a cette questions qui peut paraître anodin, je me renferme. Parler de mon père, rien que dis penser me fait monter une rage, une haine , un dégout qui me pousse à me mettre en dehors de moi. Si un jour je le revois je le tue, rien à faire de la justice car cette même justice à mis du temps à nous venir en aide ma mère et moi, on a souffert trop longtemps et il a fallu que ce fils de **** m'envoie à l'hosto pour avoir à peine une injonction d'éloignement. Chose qui ne lui fera pas éloigner de nous et maintenant que tu es là, une peur m'habite. Celle qu'il te fasse du mal.

- Je préfère que l'on aborde pas le sujet, s'il te plaît. Lui dis-je en baissant les yeux.

C'est alors que je vois sa petite main faire pression sur mon menton pour que ainsi je puisse la regarder dans les yeux.

- Je ne voulais pas jeter un froid. Je m'inquiète pour toi tout simplement. Me dit-elle non sans rougir.

Ce qu'elle me dis me touche et me prouve qu'elle tient à moi plus qu'elle ne le veut montrer. En quelques heures tout a changé, je suis en couple avec une fille qui n'aime pas son corps et qui plus est je me retrouve à l'hôpital. Il faut dire que mon rendez-vous surprise  a tourner au cauchemar. Mais bizarrement, je m'en fou car elle est là avec moi et pour moi.

Trois heures après je suis sortie de l'hôpital qui même si c'était pas le même à Paris, me rappelle quand-même les épreuves que j'ai dus endurer ainsi que ma mère.

Actuellement je suis assis sur la banquette arrière, la tête posée sur l'épaule de Gaëtane. Ma mère la ramène chez moi mais je n'ai pas envie qu'elle parte. Nous n'avons pas eu trop le temps de parler de "nous" et comment cela évoluer.

Arriver devant chez elle, on se regarde. Je vois dans ses yeux qu'elle non plus ne veux pas me quitter. C'est a ce moment que je vois la vraie Gaëtane devant moi, non dernière son téléphone.

- Repose toi, d'accord ? Et quand tu veux tu m'appelle, ok ? Me dit-elle.

- Promis et encore merci.

- C'est normal. Me rassure t-elle.

Elle ouvra alors la portière et avant de sortir elle s'adressa à ma mère :

- Votre secret est bien garder avec moi. Lui dit-elle avec un sourire que se fallait rassurant, puis elle sortie et rentra chez elle.

Ma mère reprit alors la route et cinq minutes plus tard, on arriva chez nous.

- Je l'adore. Elle est très gentille pour une fille qui subit de l'harcèlement. Me dit ma mère en me prenant dans les bras.

- Je sais et c'est pour ça que je la défendrais contre qui quiconque la blessera.

- Je suis fier de toi mon fils et en rien tu lui ressemble compris ?

Je hochant ma tête en lui affirmant que j'avais compris puis je lui fis un bisous sur la joue avant de partir me coucher, exténué par cette journée.

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Salut tout le monde encore désolé pour le retard. J'étais pris par l'école et tout le tra la la. Je reviens avec un petit chapitre mais qui sait peut-être dans la semaine il y en aura un autre 😉.

Une Bousculade InattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant