Une Bousculade Inattendu

Chapitre 17

Pdv de Gaëtane

Depuis que nous avons commencés à parler samedi, nous n' avons pas arrêtés. Nous voilà maintenant au moment cruciale qui ma stresser tout le Week-end et dont je n'ai pas parler à Stefan mais qui doit s'en douter.
Je suis actuellement dans le bus, mon stress augmente au fur et à mesure que le bus se rapproche du lycée et de lui. Mon dieu! Que va t-il faire en me voyant ? Va t-il m'embrasser ? Va t-il me faire la bise ? Ou alors va t-il tout simplement m'ignorer pour préserver notre début de relation. Je suis trop perdue tellement perdu que je ne voie pas que je suis déjà arriver devant l'arrêt du lycée. Je prends une grande inspiration et descend du bus, je regarde vite fait autour moi pourvoir s'il est là, je constate alors déçue qu'il n'est pas encore arrivait. Je décide de continuer mon chemin vers mon premier cours mais c'est alors que je sens une main large faire pression sur mon poignet, qui me fait par la suite me retourner pour rencontrer des yeux noir qui exprime la joie de me revoir car bien évidement ces yeux appartenait à Stefan.

- Salut comment tu vas ? Me demande t-il en prenant ma main.

- Sa...salut ça va et toi ? répondis-je en bégayant. Pourquoi il faut toujours que ça m'arrive quand ce n'est pas le bon moment. J'en ai marre de me mettre la honte a moi toute seule, déjà que je suis grosse, il faut maintenant que je commence à bégayer.

- Bien depuis que je te voie. Me dit-il en faisant en clin d'il. On y va ?

Je hoche la tête et nous nous dirigeons ensemble à notre cours. Je sens à notre passage des regards sur nous, ainsi je baisse la tête comme je fais à chaque fois pour me cacher fuir tous ces regards remplis de mépris. J'entends même des gens parler autour de nous : "Ah mais qu'est-ce-qui font ensemble ?", " Oh purée ! Comment elle la fait celle-là ? ", "Il fait pitié de sortir avec la baleine du lycée". Les derniers mots me font tellement mal au cur, que je sens que je suis prête à éclater en sanglots. Je décide de lâcher la main de Stefan et de partir en courant je ne veux pas qui me voie comme ça. Je serais un boulets pour lui, la preuve qui vient de se dérouler sous mes yeux je ne pourrais pas tenir tous les jours à entendre des insultes qui lui feront mettre à dos tout le lycée.

Je l'entends m'appeler au loin mais je ne m'arrête pas pour autant, pour l'instant je veux être seule, voir personnes et je ne veux surtout pas recevoir de la pitié sa part juste parce que je suis une petite grosse qui n'est pas aussi petite vue que je suis une baleine qui se fait attaquer par des pêcheur sans âme qui ont que ça à faire dans leur vie. Je parvins à entrée dans les toilettes afin de m'y enfermer dans l'une des cabines ainsi je pourrais pleurer sans que personne ne me voit et en profite pour ce moquer de moi. Soudain j'entends quelqu'un rentrée dans les toilettes et vu les chaussures ce n'est pas une fille mais un garçons. Il regarde toute les portes de toilettes pour voir qui s'ils sont fermés puis vient la mienne qui constate que celle-ci est fermée. Il se recule puis dit :

- Je sais que tu es là Gaëtane.

Bien évidement c'est Stefan qui est là, je pensais l'avoir semer.

-Tu veux bien sortir pour qu'on discute, s'il te plaît. Je sais pourquoi tu es partie mais ne l'es écoute pas. Je sors avec toi parce que tu me plais je te l'ais déjà et non parce que tu fais pitié et même si les gens pense que je fais pitié de sortir avec toi c'est faux totalement faux. Si tu veux que ça marche il faut que tu me crois et que tu pense plus aux autres mais rien qu'à nous.

Ce qui me dis me touche mais je n'arrive pas à lui parler je me suis renfermer sur moi-même, je décide alors de le faire par message.

-"Je peux pas sortir, j'ai trop honte dans l'état que je suis. Je ne veux pas que tu me vois comme ça !

Lui me répond verbalement et non par message .

- Je ne vais pas te juger je ne suis pas comme les autres et tu le sais. Tout ce que j'aimerais c'est que tu sorte de cette cabine pour que je puisse te réconforter, te serrer dans les mes bras et pour te montrer que je suis là et que je serais là quand tu en auras besoin.

Ces mots me touche. Je prends la décision de sortir et de montrer pour la première fois à quelqu'un ce que je ressens au plus profond de moi. J'ouvre la porte et je vois qu'il a déjà c'est bras ouvert pour que je me réfugie. Je cours et je sens ses bras ce refermée autour de moi. Je me sens apaiser et en sécurité avec lui, j'aime être en sa présence.

Pdv de Stefan :

C'est pas possible, ils peuvent pas se taire tous ces abruties. Elle était bien, je veux dire mieux que tous les autres fois où je l'ai vue au lycée mais non ils étaient obligés d'ouvrir leur bouches de cons. Je la rejoint aux toilettes j'entends ces pleures et cela me tue le cur. Pourquoi faire du mal a quelqu'un qui ne rentre pas dans les normes ?

Je la serre fort dans mes bras pour lui montré que je suis là pour elle. Je ne veux pas qu'elle pense que je suis là pour la juger, au contraire je crois que je suis capable de la comprendre. Mais cela va être compliquer, de lui montrer qu'elle est belle, qu'elle m'attire. Il faut que je lui redonne espoir et confiance en elle, en son corps. Maintenant je sais que dès que quelque chose ne vas pas, elle se renferme sur elle-même, voir elle ne veut pas parler comme si elle avait peur de s'exprimer.

-Ca va mieux ?

Je sens sa tête bouger de haut en bas pour dire "oui".

-Je veux que tu me regarde Gaëtane.

Cette fois ci elle dit "non" de la tête, j'aurais dû m'en douter

- S'il te plaît, je veux pas que tu es honte d'être dans cet état devant moi.

Je m'éloigne d'elle pour ensuite lui prendre la tête entre mes mains afin qu'elle me regarde droit dans les yeux mais elle la tête regard au sol. Elle a les traits du visages fatigués, ces joues sont rouges même quand elle pleure elle est belle. Je lui efface les traces de ces souffrance sur ces joues.

- Tu vas mieux ?

- On fait avec. Dit-elle en haussant les épaules signe de lassitude.

- Je veux plus te voir pleure surtout pour eux. Il faut que tu essaye de ne pas faire attention à ce que disent les autres sur toi, sur nous.

- Plus facile à dire qu'à faire.

- Je sais mais dis toi que maintenant je suis là et puis on est dans la même classe.

-Je...je peux te promettre que je vais essaye mais ça risque d'être compliqué, depuis que je suis en primaire je suis juger, que je prends en compte toutes les remarques des autres, que je les crois parce que ce qui disent c'est vrai. Je suis une baleine, j'ai un corps qui n'attire personne et le pire c'est que je l'ai comprend.

-Je t'interdis de dire ça ! Tu n'as pas, pour ce que je peux voir, un corps qui n'attire pas au contraire à moi tu me plais et pas qu'un peu. Et moi on en parle de mon corps abîmer par des cicatrices laisser par cette personne dont je ne peux prononcé son nom, à m'en rendre malade. Dis-je en haussant la voix qui est remplis de colère par les souvenir et de ce qui c'est passer ce matin.

Gaëtane écarquille les yeux de stupeur mélangé à de la peur.

-Je suis désolée. Je me pleins alors que tu as vécu pire que moi.

- Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Je voulais dire que je pouvais comprendre que tu n'accepte pas ton corps tout comme moi.

-Je vois. Me répond-elle perplexe.

Pour mettre fin à cette conversation, transformer en micro compromis je lui donne un baiser tendre sur le front avant de lui demander d'aller en cours. Je la sens ce crisper dans mes bras mais son courage la pousse à dire "oui", ainsi nous commençons à partir vers notre premier cours dont nous sommes d'ailleurs en retard...