Chapitre 2

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Pdv Gaëtane.

Voilà un mois que le nouveau est arrivé et comme je l'avais prédit, c'est devenu le nouveau beau gosse populaire que tout le monde adore et qui veut sortir avec. Pour moi comment dire rien n'a changer je me fais tout le temps insultée mais bon je tiens le coup. Aujourd'hui, j'ai sport qui dis sport dis escalade et pour une grosse, pour moi ce n'est pas une partie de plaisir.

Je me lève et me mets un jogging assez serrer au niveaux des cuisses pour les réduire puis j'enfile un gros pouls pour pas qu'on voit mon corps horrible. Le seul point positif de cette journée c'est que nous finissons à midi et après avec Adela nous allons faire du shopping enfin surtout elle car moi j'ai tout ce qui me faut et que a chaque fois il dise que sait du XL alors que sa colle, il prennent les grosses pour des idiotes.

Bref, je suis arrivée au lycée avant Adela donc je l'attend sur un banc dans la cour à l'écart des autres tête baissée pour éviter les regards des autres mais surtout ceux des populaires. Par chance Adela arrive après cinq minutes d'attente.

-Salut alors ça va ?

-Salut comme d'habitude mais on fait avec et toi ? Je lui réponds avec une sourire crispé.

-Bien, il t'ont pas embêtes pendant que j'étais pas la. Dit-elle en désignant les populaires dont maintenant fait partit le nouveau. D'ailleurs comment il s'appelle enfin on s'en fou.

-Non t'inquiète pas, bon on va en sport même si je sais comment sa va ce passé.

-Ah non! Je veux pas du négatif qui sort de ta bouche, dis toi que on va faire les shopping entre amis après ? Me dit-elle avec excitation.

Adela est toujours comme ça et il y a qu'elle pour me donner un peu d'espoir dans ce lycée à la con. Pardon pour l'expression mais c'est la vérité pour moi, tout le monde dis que " les années du lycée son les meilleures " mais pas pour moi.

-Qu'est ce que tu veux que je te dise tu sais que c'est la vérité mais heureusement que je t'es là toi. Elle me sourit en faisant la moue car elle sait que j'ai raison.

Je me lève et nous décidons d'allés au gymnase, pendant le trajet où l'on passe devant tout le monde j'ai encore le droit au même insulte, cela me fait mal, j'ai les larmes au yeux mais je ne pleure pas mais cela me touche alors je baisse la tête.
Arrivés dans le gymnase, nous allons dans les vestiaires pour posé nos sac mais au moment de sortir de celui-ci, deviner qui arrive mon pire cauchemar. Juliana et sa clique. Je baisse directement la tête, je sais je suis lâche mais je n'y peut rien venez-vous mettre à ma place deux secondes et vous comprendrez pourquoi. A cause d'elles j'ai perdus toute confiance en moi, je suis détruite.

- Alors toujours là, la baleine ?

- Et toi toujours là le pot peinture. Lui dit Adela avec un sourire sarcastique.

Juliana lui revoie le même et reprend:

-Alors la baleine prête à te ridiculisée ? Pas vraie les filles, en plus qui voudrait d'une mocheté pareil.

-Je te permet pas de lui parlé comme ça tu te prend pour le reine d'Angleterre ou quoi ?

-En tout cas je suis peut-être pas la reine d'Angleterre mais au moins je suis pas la reine des grosses.

La c'est trop j'y arrive plus, soit je sort et je rate le cour de sport, soit je pleure devant elle et c'est le karma.

-Adela, je  vais au toilettes ne m'attend pas pour le cours.

-Dis plutôt que tu vas aller pleurée comme un gros phoque.

-Mais jamais on t'a appris à te la fermée.

-Non j'adore l'ouvrir.

-Ca tout le monde le sais, mais tu sais ta bouche c'est comme une porte au bout d'un moment elle se ferme et je crois que c'est le bon moment.

Au pétard, je me retiens de rire tellement qu'elle lui a cloué le bec. Juliana commence même à devenir rouge de colère. Pour une fois que c'est quelqu'un d'autre qu'est rouge et pas moi.

Manque de peau Juliana à vue que j'avais le sourire au lèvres et la je sens que sa sent pas bon mais alors pas du tout bon pour moi.

-Qu'est-ce que t'a à te moquer de moi ? Tu t'es vue. Me dit-elle en me plaquant contre le mur et je peux vous dire que la toute suite que je vais avoir un bleu tellement que cet conne ma fait mal au dos et a ses mains qui me comprime les épaules.

- Alors on rigole moins là ? Elle me regarde noir, j'ai peur, trop peur.

- Arrête lâche là tu lui fais mal. Dit Adela en joignant le geste à la parole.

Dès que Juliana me lâche je part en courant hors des vestiaires mais au moment où je vais pour passé la porte d'entrée du gymnase je percute quelque chose ou devrais-je dire quelqu'un...

Une Bousculade InattenduOù les histoires vivent. Découvrez maintenant