Toi et moi ? (Kiribaku)

Toi Et Moi

Je suis sur le point de crier, de le frapper ! Mais pourquoi il dit rien il attend quoi ? Le déluge ? RÉPOND MERDE !

Kirichima finit par tourner la tête légèrement accompagné de son regard. Il s'arrête doucement sur mes yeux. Un long silence s'installe mais il n'est pas stressant ni provoquateur. Ce silence est magique, nos regards croisés et profonds. Le bruit des clients qui se trouvait autour de nous s'efface petit à petit, oubliant le reste juste nos regards qui se croisent. Toi et Moi. Nous ne pensons à rien juste on se regarde longuement, ce qui m'a semblé une éternité intensément court. Je voulais que ce moment dure encore et encore, sans fin. Il ouvra doucement la bouche et dit.

-Il est pas bon, trop cuit et s'effrite trop.

Il a toujours été fine bouche. En tout cas depuis que je le connais mais ne refusait jamais aucun repas. Il remerciait et saluait le réalisateur des plats suculant comme répugnant. Certainement pour le remercier d'avoir passé du temps pour préparer le repas, même si certaines foi la personne faisait le minimum à la limite de l'irrespect. Comment pouvait t'il malgré ça ne pas manger un croissant même si il n'aimait pas et surtout après le sport qu'il venait de pratiquer.

-Goûte le tu verras bien par toi même qu'il est pas bon.

Je le prend avec précaution et je demande.

-Tu me laisse en manger un peux?
-Tu est bète ou quoi ! Bien sûr vue que je t'ai dit de le manger. Et qu'est-ce qui te prend d'être polie avec les gens.

Je le dévisage et fit mine de n'avoir rien entendu. Je pris un bon morceau pour m'imprégner suffisamment du goût. Il avait raison sur toute la ligne il était répugnant. Trop cuit et trop sec sans parler de l'effritement de la pâte qui s'éparpille de partout dans la bouche et coupe le pallai. Comment vous dire que je fut obligé de l'avaler le plus vite possible. Je repousse l'assiette en grimaçant. L'observateur equissa un sourire.

-Ça te fait rire ! C'est vraiment répugnant.
-Je te l'avais dit.

Nous nous étions pas quitté du regard. Une fois de plus le silence s'installe entre nous laissant nos regards se dévorer l'un de l'autre. Comment détourner le regard face à ça ? Ces yeux s'emblai si curieux, cette couleur rouge intense qui ne céssait de m'impressionner. Je l'avais pourtant regardé des centaines de fois mais chaque fois que je pose mon regard sur ces yeux c'est comme la première fois. Je ne veux pas le quitter des yeux et je me perd complètement. J'en oublie la préséance de tout, j'arrête de penser, réfléchir, parler. Je ne sens plus les plés légèrement douloureuse sur mon palais. Tout se qui m'importe ces son regard, ces yeux. Je suis envoûté par ce regard intense qui n'en finit pas. Je ne peux pas me détourner de ces si beaux yeux. Je plonge dans ces yeux, je me nois. Je veux que se moment dure plus qu'un instant, je veux qu'il dure une éternité. Je ne peux plus m'en détacher, je suis complètement ébahi devant une telle beauté.

-Je peux savoir comment tu ma retrouvé ?
-Tu n'étais pas en cour alors je suis partis à ta recherche. J'ai commencé dans ta chambre mais tu n'y étais pas, puis je suis allé dans l'infirmerie mais tu n'y étais pas non plus. J'ai suivis mon périple en passant à la cantine et à la cafétéria mais tu n'y étais pas également alors persuader que tu trouvais à la salle de sport je m'y rendis mais à mon grand étonnement tu n'y étais toujours pas mais j'ai vue tes alters de muscu qui traînais. Il faut vraiment que je t'aprenne à ranger tout ça. Puis j'en n'ai déduit que tu chercherais à manger donc je me suis dit il viendra ici car il le connaît bien se café.
-Bien jouer Sherlock Holmes.
-Élémentaire mon cher Walter.

On se mit à rire à basse voix tout en continuant notre jeu de regard. Impossible de ce décrocher de l'un et de l'autre. Je me rappel que je suis sensé le ramener au lycée pour le cour de littérature et prévenir l'infirmière, qui doit être fou de rage, qu'il a retrouvé son amie porté au par avant disparu. Mais je ne veux pas quitter cette table, ce moment, cette ambiance, ces yeux.