Toi et moi ? (Kiribaku)

Nouveau départ (version longue)

Désolé de pas avoir publié plus tôt mais c'est un peu compliqué niveau moral, mais ça on s'en fou. J'espère que vous vous allez bien et si c'est pas le cas courage je sais que vous êtes une personne formidable. Trêve de bavardage bonne lecture^_^

Voilà trois jours que je n'ai pas revu Eijiro. Je dois me faire une raison il est partie définitivement. Pour l'instant je finis de ranger ces cartons.

Après le travaille je range mes affaires et sors du magasin. Eijiro est appuyé contre le mur. Il regarde le ciel. Il vient certainement pas pour moi. Je me dirige discrètement au café qu'on n'avait découvert tous deux. Je fais un petit détour par mon vélo pour vérifier qu'il était bien accroché. Je ne pouvais pas m'empêcher de me demander "pourquoi il était là ?"
Je marche quelque rue plus loing et rentre dans le resto. Je regarde ma table habituel. Un homme avec une capuche se trouve là. Je m'approche et il me dit:
-Tu en n'as mis du temps. Viens t'asseoir j'ai déjà commandé.

Je m'assoie devant lui. Je l'avais reconnue par mis tous, c'est Kirishima.

-Pourquoi tu met une capuche ?
-Je préfère pas que tu vois mon visage.
-Tu veux me dire quoi ? Tu compte me dire que je mens encore ?
-Arrête de poser des questions. On a tous le temps plus tard.

Un silence s'installe. Il est d'un ennuie mortel. Je m'approche et soulève légèrement sa capuche. Je croise instantanément son regard. Le temps s'arrête. Plus rien n'as d'importance que ce regard si beau. Je donnerai tous pour cette instant. Ces yeux rouges. Qu'est-ce que je l'aime. Le serveur arrive. Je me redresse comme de rien n'était. Le plat servie et les boissons répartie Kirishima sauta dessus. Je ne fais que touiller en le regardant se goinfrer de sushi.

-Tu mange pas ?
-Crève.
-Tu change pas.
-Pourquoi je le ferais ? Je suis le seul à vivre ma propre vie.

Il se contente de sourire et reprend son activité de dévorer des sushis sans fin. Au moment où il va finir il prend le dernier et me le tend. J'entrouve là bouche. Il insert délicatement le sushi. On croise nos regard. La tension augmente. Il se lève soudain et se rend  au contoir. Il tendit sa carte bancaire mais le barman refusa.

-Unitile Bakugo à déjà payé.

Il se tourne et me regarde surpris.

-Je viens souvent donc je paye en avance.

Il se dirigea vers la porte de sortie et se retourna au dernier moment.

-Tu viens ?

Je me précipite de le rejoindre. On marche jusqu'à chez lui sans parler. Arrivé il s'arrête.

-C'était sympa. J'éspère que ton cœur supporte le choc. Bon allez salut.

Il ferma sa porte. Je reste devant quelque minute.

Il vient de me faire comprendre que c'est définitivement finie là ? J'avais trop d'espoir. Bien sur qu'il ne m'aime plus.

Je rentre chez moi et m'enferme dans ma chambre. Je sens les larmes monter et s'écouler le long des mes joues. J'ai passé la nuit à me moucher et me répéter que j'ai fait tous foirer.

Je suis une grosse merde ! Qui veux de moi ! Il était le seul à pouvoir m'aimer comme je voulais que l'on m'aime. J'ai eu de la chance de toucher son corps et ces lèvres. Je ne peux pas croire qu'il puisse me choisir pour ça vie. De toutes façons il a tourné la page pour toujours. Je l'est perdue.

La souffrance trop grande je décide de me poser sur le rebord de ma fenêtre après être allé chercher un chocolat chaud et un pled pour ne pas atrapper froid. Je regarde les étoiles dans le ciel.

Qu'est-ce que c'est beau. Tien une étoile filante. Je fais le vœux que Kirishima soit heureux. Mais qu'est-ce que je fabrique. Je suis tombé bien bas à faire des trucs pareils. La peine trop forte je sens les larmes couler à nouveau sur mon visages. Ma tristesse ma rattrapé. Je dépose ma tasse vide sur mon bureau et je jette mon pled sur la chaise. Je me chausse et cour au milieux de la rue sans but à atteindre. Mon seul objectif est de fuir ma peine.  Le souffle coupé je m'assoie sur le banc. Je relève la tête et je comprend où je me trouve. Je suis au parc. Une abitude, mes jambes doivent connaître le chemin par cœur et mon amené ici.

Qu'est-ce que j'ai pue venir avec Eijiro s'assoir sur ce banc à regarder ces vilaines carpes. Je dois arrêter de penser à lui ! Il faut que je tourne la page !

J'entends des pleurs non loing d'ici. Il me semblait familier. Je me lève pour voir d'où ça proviens. J'apperçoie une personne sur le pont à regarder les étoiles dans le ciel. Cette silhouette me dit quelque chose mais je n'arrive pas à distinguer dans cette pénombre. Je m'avance prudemment pour connaître son identité. L'individu se retourne et se petrifie quand elle croise mon regard. Le doute n'existe plus. C'est Kirishima. Il a les yeux gonflé et le nez qui coule. Une larme s'écoule encore sur son visage d'ange. Je m'approche et essuie ça larme avec tendresse. Il ne dit pas un mot et s'en va.

-Avant de disparaître pourquoi tu pleur ?
-J'ai faillit te tuer.

Sur ces mots il disparaît dans la pénombre. Je voulais tellement lui dire que c'était rien. Je me précipite pour me rendre chez lui. Je cour, je cour encore et encore. Je tourne à gauche, à droite, j'ai même tribuché mais je me suis rattrapé à temps. Arrivé j'entre en douce dans sa chambre. Je le vois en pleur sur le lit. Je m'approche doucement vers lui. Je m'assoie et le prend dans les bras. Les larmes monte et s'écoule à leur tour sur mes joues. Dans nos sanglots Unis brisant le son des grillons. Je reprend ma respiration avant de lui dire:

-Tu n'y es pour rien si mon cœur a souffert. Tu dois te soucier de toi. Relève la tête et souris.
-Merci Bakugo.

Il pause sa tête sur mon épaule. Je passe ma main dans ces cheveux. Il ferme les yeux mais les larmes ne cessent de couler.

Qu'il sent bon, ces cheveux si soyeux. J'aimerais que cette nuit ne s'arrête jamais. Ces lèvres sont à croquer, si seulement je pouvais y goûter une dernière fois. Qu'est-ce que c'est bon de le tenir entre les mains.

Après avoir bien profité je le soulève avec toute la délicatesse possible.

-Bakugo, tu veux bien rester.
-Tu es sur.
-C'est vrai je t'embête avec mes histoires. Rentre chez toi.
-Non, non. Je veux rester, je disais ça pour toi.
-J'ai froid.

Je m'enfile sous les draps et l'entour de mes bras. Je le sers contre moi pour le réchauffer. Nos deux corps l'un contre, l'autre. Nos souffle se mélangeant. Cette instant était un bonheur déchirant mon cœur.

Je voulais vous remercier pour les 1k, merci beaucoup<3 et à bientôt.