Toi et moi ? (Kiribaku)

Direction Corée(version longue)

(Ellipse de 1 mois)

Après 1 mois de travail acharné dans ce fichu magasin à la noix, je peux prendre enfin ces billets d'avion direction Corée du Sud.
Le jour du départ Kirishima est surexisté. On charge nos bagages dans le coffre et arrêt aéroport. Ma mère nous emmene.

-Alors les jeunes près à partir ?
-Avance au lieu de taper la discussion.
-Tu vas baisser d'un ton !
-Oui mais au moin démarre ! On va être en retard !
-Oui ba j'y vais deux minutes je m'attache !
-Tu t'attache maintenant ? Je croyais que la vie n'en vallait pas la peine.
-Je... Heuu... Quand je vous vois je me dis que c'est peut être pas si mal la vie ! T'en a d'autre des questions débile de se genre ou je démarre !
-Quel question, démarre ! J'attends que ça !

Kirishima meurt de rire depuis le début. Il commence à me taper sur le système. Si je l'aimais pas il serait déjà trois pied sous terre.

-Tu trouve ça drôle !
-plutôt ouais. Surtout qu'on n'a toujours pas avancé d'un millimètre.
-J'ai compris je met les gazs.
-Maman roule plus doucement !
-Faudrait savoir, tu veux que je roule ou non !
-Oui mais pas si vite ! J'aimerai rester en un seul morceau !

Kirishima est plié en quatre tous le long du trajet tandis que ma mère continue à conduir n'importe comment. On arrive enfin à ce fichue aéroport.

-Bon je viendrai vous chercher à la fin de votre week-end. Sur ce, passez un bon voyage en Corée.

On la salut et  on se dirige au comptoir pour s'identifier. On passe les portiques de sécurité et tous leurs dispositifs. Pour autant ça ne semble absolument pas déranger Kirishima qui admire les avions décoller en attendant le notre. Son regard rayonnait de fascination et d'émerveillement. Une joie immense  traverse tous mon corps. J'ai réalisé mon souhait, voir Kirishima dans une joie extrême. Je me colle dans son dos et posé ma tête sur son épaule gauche.

-C'est presque aussi beau que d'admirer ton corps.
-Pff. T'es irrécupérable.
-Oui mais tu peux pas te passer de moi.

Je n'ai même pas pue dire un mot que Kirishima s'écrit:

-Notre vol est porte A ! On se dépêche ! Allez allez !
-Du calme.

On rentre dans l'avion et on s'assoie à nos place attribué.

-Bakugo tu peux échanger avec moi pour que je regarde par le ublo ?
-Pff, dépêche.
-Merciiiii.

Après cette échange stratégique entre moi et Kirishima le calme s'installe. Mais contrairement à la salle d'embarquement il est impassiant de décoller.

-On décolle quand ?
-À 20h30.
-C'est dans 10 minutes ! C'est trop long.
-Au lieu de critiquer on devrai se mettre d'accord pour les endroits à visiter.
-Hoooo mais c'est barbant ça. Tu vas encore vouloir faire tes musées bizarre. J'aime pas les musées, c'est nul et ennuyant.

À ce stade unitile de débattre, il va être insupportable. Je m'approche délicatement vers lui et dépose mes lèvres sur les siennes. Il me sourit et prend ma main. Je me redresse comme si rien ne c'était produit.

-Encore cinq minutes ! Mais ça devient pénible.
-Tu devrais envoyer un message à ta mère. La connaissant elle va s'inquiéter.
-Ta raison ça va m'occuper.

On finie par avoir les consignes de sécurité. Qu'est ce que ça m'ennuie. Après ces gestes incompréhensibles on finie enfin par décoller. Eijiro est collé à l'ublo à observer le sol s'éloigner de nous. Après la montée intense de l'avion Kirishima se retourne.

-J'ai les oreilles bouché. C'est pas dutout satisfesant.
-Si tu aurais collé ta tête à ton fauteuil tu n'aurais rien ressenti.
-Ça règle pas mon problème.
-Tiens un chewing-gum. Mache le, tu verras ça ira mieux.

Le vol se poursuit sans encombre, Eijiro photographie, depuis l'ublo, le sol et je l'observe paisiblement. Au milieu du vol un homme se lève et dégaine un pistolet.

-Tous le monde les mains en l'air.

Les gens obéissent dans des cris de peur. J'entre dans une colère noir. Il ne se trouve qu'à quelques mètres, une petite explosion devrait suffir. Mais je crois que ça ne vas pas dutout me satisfaire.

-Écoutez moi bien. Si vous faites se que je vous dit il y aura aucun blaissé.

Je me lève et produit une explosion suffisamment puissante pour effrayer les passages. Il fut projeté à l'autre bout de l'avion et son arme atterie à mes pieds. Kirishima la ramasse et la casse en deux grâce à son alter.

-Tu vas me le payer ! Tu oses gâcher notre voyage ! Tu vas voir qui a peur finalement !

Il se pétrifie et recule de peur. Une pauvre mauviette complètement débile. Eijiro se lève et me pousse. Il se place au dessus de lui. Il durcit son poing et le frappe violament. La victime s'évanouie. Il arrache une ceinture et l'entour autour de ces poignets. Il poursuit en attrapant le foulard qu'il portait pour lui bayonner la bouche afin d'éviter d'entendre sa voix à son réveil.

-Comme ça il ne gâchera plus mes vacances de rêve.

Les passagers sous le choc et l'incompréhension nous fixe. On se rassois comme si de rien était. Un petit garçon s'approche.

-Merci monsieur le super héros.
-De rien.
-Chérie vient.

Dit sa mère en dévisageant le contacte de nos deux mains.

-Pourquoi maman tu les remercies pas ?
-Faire un bonne acte ne fais pas de lui une bonne personne. Il sont possèdé par le diable.

Kirishima sert ma main. Il est tous aussi énervé que moi mais il préfère ignorer. Je préfère l'imiter. Le garçon revient nous voir.

-C'est vrai que tu abrite le diable ?
-Bien sur que non.
-Les gens ne comprennent pas que ce n'est que de l'amour entre deux personnes et qu'il n'y a rien avoir avec le diable.

Déclare Kirishima. Il poursuit en tournant la tête vers lui.

-Tu dois me faire une promesse. Protège les gens qui s'aime et qui ne peuvent pas se protéger par eux même.
-Je tiens cette promesse.
-Qu'est ce que vous avez fait à mon fils !
-Rien madame on ne fais que dialoguer avec lui.
-Menteur ! Vous voulez lui transmettre votre maladie ! Gardez votre peste gay !
-Ne commencé pas.
-Hôtesse de l'air !
-Oui que puis-je pour vous ?
-Ces personnes en veulent à ma vie !
-Bon allez sa suffit madame allez vous rassoir. On s'occupe de vous dans quelque minute.

Elle se retourne et s'incline pour s'excuser.

-Nous somme désolé du désagrément. Certaine personne se croient tous permis et possèder la vérité absolue. Mais sachez que ici vous êtes considéré comme tout autre client et veillons à votre confort. Sans oublier que la compagnie vous remercie infiniment d'avoir intervenu. Pour vous récompensée on vous offre la carte.

Je la tend à Kirishima pour qu'il se décide. Il prend deux boissons et de quoi grignoter et partager avec moi. Après avoir dévoré on arrive enfin Kirishima descend atristé que ce soit déjà finie. A notre arrivé la police nous attendait. Elle nous félicite et coffre cette abrutis.

Nous voilà à Séoul.

Personnellement j'ai beaucoup aimé se chapitre et j'espère que vous aussi.
Sur ce merci pour tous et à bientôt ^_^