Livaïxreader (histoire d'amour)

Se faire Pardonner 🍋

Après ce qu'il s'était passé dans la voiture j'étais énervé contre Livaï certes mais j'étais un grande partie excité. Je serais mes cuisses l'une contre l'autre pour atténuer mon envie.
Livaï était passé à l'avant pour conduire et avait insisté pour que je m'assoie à côté de lui. Je m'étais du coup assise sur le siège avant. Ce qui fut une erreur car Livaï ne cessait pas de me caresser la cuisse et ça durant tout le trajet. J'essayais juste de ne pas perdre le tête et il n'arrangeait pas les choses. Une fois arrivée à la maison Livaï se gara et sortie de la voiture. Il fut galant et partit m'ouvrir la portière et me tendant la main. J'étais toujours un peu énervé contre lui mais je pris quand même sa main. Ce fut à ce moment que Livaï me tira contre ce torse et m'embrassa tendrement emmêlant sa main dans la mienne tandis que l'autre se posa sur ma hanche. Une fois nos lèvres séparées, Livaï ferma la portière et l'emmena devant la porte de la maison rapidement. J'ouvris la porte et je n'eu même pas le temps d'enlever mes chaussures que Livaï me plaqua contre le mur en claquant la porte. Il s'empressa de m'embrasser érotiquement et glissa dans mon cou.

Livaï: J'ai tellement envie de toi Mathilde.

Sa voix grave et suave le donnait des frissons tout comme ses mains baladeuses le long de mon corps. Ses touchés me faisait vibrer de plaisir. Sa jambe se plaça entre les miennes ce qui me fit soupirer de plaisir. Livaï me remarqua et eu un léger rictus moqueur. Sa main glissa sous ma robe pour se poser délicatement sur mon postérieur.

Moi: Livaï pas ici...

Livaï ne s'arrêta quelques secondes et me regarda dans les yeux. Son regard en disait déjà long sur ce qui allait suivre. Ses envies étaient complètement partagées je devais l'avouer, j'avais tout autant envie de lui et il devait le savoir.

Livaï ferma la porte à clé. Il se reprocha de moi, prit mes cuisses entre ses mains chaudes même bouillantes puis me porta pour que mon bassin se retrouve contre le siens. Mes mains glissèrent sous sa chemise blanche et je l'embrassa sauvagement à mon tour dans le cou. Les soufflements de plaisir que Livaï faisait m'excitait et me rendait folle. Il me porta ainsi jusqu'à la chambre.

Arrivée à la chambre, il me déposa délicatement sur le lit. Il enleva ma robe et la jeta à travers la pièce. Il se pressa d'embrasser mon cou en y laissant quelques suçons au passage tout en détachant mon soutif. Quand il fut détaché il fit de même et le balança en l'air. Ses joues rougissaient légèrement à sa vue qui devait sûrement être plaisante. Je le vis se mordre la lèvre inférieure en me regardant.
C'était à mon tour, je pris les commandes et le retourna sur le lit pour me retrouver à califourchon sur ses hanches. J'agrippa le col de sa chemise et l'embrassa intensément. Je décida sur un coup de tête de faire comme dans les films et d'éclater les boutons de sa chemise. Après avoir réussi mon coup, Livaï rigola légèrement en voyant l'état de sa chemise, pris mes joues entre ses mains et m'embrassa le sourire aux lèvres.

Nous finîmes de nous déshabiller et commençâmes alors à passer aux choses sérieuses. Livaï posa sa main sur mon intimité déjà trempé et y inséra un doigt. Il se mouva délicatement puis en inséra un deuxième rapidement. Son souffles chaud dans mon cou me fit frissonner de plaisir. Ses mouvements s'accélèrent doucement et son autre main enveloppa un de mes seins.
Au bout de quelques minutes, Livaï parsema mon corps de baiser pour arriver à mon intimité. Une fois la tête entre mes jambes, il me regarda intensément avant d'attaquer.

Livaï: Cette fois ci je ne m'arrêterai pas.

A ses mots ma main se glissa dans ses cheveux et il commença à lécher mon clitoris avec entrain. En même temps ses deux doigts continuaient de se mouver en moi et son autre main accrochait ma cuisse sauvagement.
Je gémissait de plaisir à chacun de ses gestes. Au bout de quelques minutes, j'étais déjà à bout, je froissa le drap entre mes mains en sentant l'orgasme arrivé. Je gémis de plaisir quand il fut atteint et cria le nom de Livaï plusieurs fois. Mon souffle était saccadé et je respirais assez fort. On avait à peine commencé que j'étais déjà comblé de bonheur.
Je sus à ce moment là que j'allais passer une nuit formidable.

Après avoir atteint l'orgasme Livaï releva la tête le sourire au lèvre et posa son front contre le miens. Je sentais son membre déjà bien levé se poser contre ma féminité.
J'embrassa tendrement mon amant et pris une capote dans la table de nuit. Je lui tendis le capote le regard plein d'envie.
Livaï enfila la capote. Il se mis au dessus de moi et posa ses mains de part et d'autre de ma tête.

Livaï: Tu es prête?

Moi: Oui tu peux y aller. *sexy*

Livaï ne me fit pas répété et me pénétra délicatement. Il me regardait pour voir si je n'avais pas mal et si j'allais bien. Une fois entièrement en moi je lui fis un signe de la tête pour me permettre de se mouver.
Livaï commença alors les va et viens délicat en m'embrassant tendrement. Mes mains de déposèrent sur son dos en dessinant ses muscles de mes doigts.
En bout de quelques minutes Livaï commença à accélérer les mouvements de bassin et me donnait des coup plus violent. Mes mains commencèrent à lui griffer le dos et mon soufflement était déjà saccadé tout comme le siens. Je le sentais au plus profond de moi et je me sentait me resserrer autour de lui. Livaï gémis des petits son rauque assez régulièrement même si je gémissait d'avantage à ses mouvements. Je ne pouvait qu'y prendre du plaisir.

Nous étions tout deux à bout de souffle et à bout de force. Tout deux étions sur le point de jouir. Au moment fatidique je mordis le cou de Livaï pour estomper mon cri de plaisir. Livaï jouie dans la capote et me regarda essoufflé de notre performance. Il me sourit tendrement avant de déposer un doux baiser sur mes lèvres. Il se retira, partit jeter la capote à la poubelle et me rejoignit dans le lit en m'enlevant des ses bras.

Livaï: Me suis-je fais pardonner?

Moi: Mmmh Je pense que oui.

A mes mots un sourire ce forma sur les lèvres de Livaï.
Puis Nous nous endormîmes sur ses mots.

(Suite au prochain chapitre)