La journée m'a paru comme prévu interminable. En plus de cela Livaï m'avait fait les yeux doux toute la journée tandis que moi, je ne faisais que détourner mon regard gêné. Franchement il abusait de ma patience.Il est 17h00, c'est la fin des cours. Après cette longue journée épuisante mentalement et très frustrante, je pris le chemin pour rentré chez moi à pieds. Lorsque soudainement je reçu un appel. Je décrocha. C'était le Carrefour pour lesquels j'avais eu un entretiens qui me demanda de passer réglé les papiers pour me prendre dès Lundi prochain.
Je passa donc au Carrefour puis signa les papiers de mon nouveau job. J'étais vraiment contente j'allais enfin pouvoir aider Livaï financièrement et reprendre ma vie en main comme une grande. L'entretien dura un petit moment car un caissier m'expliqua comme cela marchais et on me fit une visite des locaux ainsi que des rayons pour renseigner les clients en cas de besoin. Bref tous ça pour dire que ça a duré plus longtemps que prévu et que je n'avais pas vu le temps passer.
Après mon entretien je regarda l'heure et il était 19h45. J'ai reçu une dizaine d'appel de Livaï car oui j'avais complètement oublié de le prévenir et je ne pensais pas que cela aller durer aussi longtemps. Moi qui était temps pressé de rentrée après ce qu'il s'est passé ce matin je pense que je vais plutôt avoir le droit à un sale quart d'heure. J'appela donc Livaï sur le chemin du retour et lui expliqua la situation. Il me répondais froidement et m'ordonna de rentrer rapidement.
Après un quart d'heure de marche je suis enfin arrivée chez moi. Je rentra discrètement pour ne pas faire trop de bruit dans l'espoir peut-être de passé inaperçu. Je savais très bien que ça n'allait pas être le cas mais bon comme on dit qui ne tente rien n'a rien. Je me dirigea en direction du salon. Livaï était assis sur le canapé les coudes sur ses genoux et sa tête plongée dans se mains. Il ne m'a pas encore remarqué.
Moi: Coucou! *souri de manière gêné*
Livaï leva la tête d'un coup et me regarda avec un regard voir. Je ne savais quoi faire face à ce regard qui inondaient le miens j'avais comme l'impression de me noyer et d'étouffer sous le poids de son regard. Je ne l'avais jamais vu comme ça. Il était vraiment énervé. Ça n'est pas la première fois que ça lui arrive de s'inquiéter pour moi suite à un retard de ma pars. Mais là ce n'est pas pareil. Il n'a pas bu cette fois si il est juste noir de colère. Je baissa la tête ne sachant pas comment réagir fasse à cette situation et le regarder dans les yeux était tout bonnement impossible pour moi actuellement. En voyant cela Livaï se leva et se rapprocha de moi dans un pas rapide et déterminé. J'avais un peu peur et recula contre le mur. Livaï plaqua ses mains de part et d'autres de ma tête. Il ne m'a toujours pas adressé un mot. Il prit mon mentons à l'aide de sa main droite pour relever ma tête brusquement. J'avais peur. Son regard me dominait et me fit frissonner de peur. Mes mains tremblaient un peu et Livaï le remarqua.
Livaï: As-tu peurs?
Je n'arrivais pas à parler. Les mots ne voulaient pas sortir de ma bouche. Livaï devait sûrement voir mes lèvres bouger légèrement sans que je puisse en sortir un song. Il répéta la question plus calmement en lâchant ma mâchoire et un reculant d'un pas. Je n'arrivais toujours pas à parler. Je savais qu'il ne me voulait aucun mal et qu'il était juste en colère mais je n'arrivais pas à m'exprimer. Livaï écarquilla les yeux et les baissa. Il se dirigea vers la sorti. Je voulu le rattraper pour l'empêcher de ma partir mais mon corps ne me répondais plus. Il passa le seuil de la porte et la claqua en partant sur se mot : « Désolé » d'un ton enroué comme si il se sentait coupable.
Mon cops glissa le long du mur pour finir accroupi à pleurer toutes les larmes de mon corps m'en voulant de n'avoir rien fais pour l'empêcher de s'en aller.Cela faisait maintenant 30min que j'étais assise par terre et qu'il était parti. Il n'est toujours pas revenu. J'avais l'espoir qu'il soit juste parti prendre l'air mais il n'es toujours pas là. Je me décida enfin de l'appeler mais après 3 sonneries je tomba sur sa messagerie. Il m'a raccroché au nez. Il m'en voulais vraiment. Je le rappela une deuxième fois et cette fois si je tomba direct sur sa messagerie. J'en déduis qu'il avait donc éteint son téléphone. J'étais paniqué à l'idée qu'il me quitte et ne revienne jamais. cela me donnais la nausée.
Après de nombreuses tentatives d'appels envers mon bien aimé je décida de sortir à sa recherche espérant tomber sur lui. J'arpentais les rues à sa recherche et alla dans tous les barres du coins.
Le temps défilais rapidement. Il était déjà 23h30 et je ne l'avais toujours pas trouvé. je commençais à perdre espoir. Je traînais des pieds dans la rue cherchant désespérément Livaï.
Puis soudainement une lame se posa dans mon cou délicatement. L'homme qui tenait cette arme se tenait derrière moi et me chuchota à l'oreille:???: Ne dis pas un mot ou je te butte compris?
J'acquiesça de la tête. Que le voulais cette personne? Comme si je n'avais pas assez de problème à régler actuellement. Je commença à paniquer à l'idée de mourir maintenant. J'étais morte de trouille. Je me sentais nauséeuse face à cette situation.
???: Tu vas m'écouter attentivement et faire tout ce que je te dis de faire sinon c'est la fin pour toi ma jolie.
J'avais peur. J'étais tétanisée. Je me souvins alors du tueur annoncé au info qui rodais dans le quartier en se moment. C'était sûrement lui. Je ne pouvais pas mourir maintenant. Je ne m'était pas encore excusé au près de Livaï. J'étais encore jeune et j'avais toute ma vie devant moi. Cette homme m'emmena dans une petite ruelle sombre et m'ordonna de me déshabiller. J'avais peur vraiment peur. Je tremblais. Je commença à enlever mon haut doucement ne pouvant pas fuir à cette situation. Les larmes coulaient sur mes joues et mes yeux étaient vitreux.
???: Plus vite ! Déshabille toi ou je m'en chargerai personnellement!
Mes larmes ne s'arrêtaient pas de coulé. J'enleva mon haut n'étant donc qu'en soutif. L'agresseur s'impatientait. Il me prit d'un coup par la taille, me retourna et me plaqua violemment contre le mur. Le choque me fit tourné la tête quelque seconde puis je repris mes esprits et me débatta de toute mes forces. Il baissa d'un coup sec mon pantalon ainsi que ma culotte. J'étais désemparé, je me débattais sans pouvoir m'en sortir j'étais bien trop faible face à cette homme. J'étais pratiquement nue devant lui et je me dégoûtais pour ça je me demandais ce qu'en penserai Livaï. Je suis certaine qu'il serait dégoûté. Je pleurais de rage et de tristesse. Je ne pouvais pas m'en sortir. Cette homme allait me violer puis me laisser pour morte comme si je n'avais pas existé. Je commençais à chuchoter:
Moi:...Livaï...Livaï...*voix basse* LIVAÏ !!! *criant de toute mes forces*
Suite à ce cris mon agresseur posa sa main sur ma bouche pour étouffé mes cries. Les larmes ruisselaient encore et toujours en long de mes joues. Je me débattait sans cesse pour m'extirper de son emprise. L'homme baisse son pantalon légèrement pour pouvoir y échapper son membre qu'il plaqua comme mes fesses. Je me débattais d'avantage. C'était la fin. Il allait me violer. Je ne pouvais plus m'en sortir.
Soudainement j'entendis un bruit sourd et l'homme lâcha son emprise de moi. Je me retourna d'un coup et vis Livaï. Il était là devant moi comme il l'a toujours été à chaque moment fatidique. Il avait assommé l'agresseur à coup de poing. Il le frappa durant de longue minute. Ses yeux était rempli de rage. Ses mains étaient pleines de sang. Il se retourna ensuite vers moi et me pris dans ses bras en me voyant en pleur. Il me chuchota au moins une dizaine de fois qu'il était désolé avec les larmes au yeux.
Étant paralysé par la peur Livaï m'aida à me rhabiller avant d'appeler la police.(Suite au prochain chapitre)
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Livaïxreader (histoire d'amour)
FanfictionC'est le matin, le jour de la rentré que Mathilde une élève de terminal fus une drôle de rencontre.. La rencontre d'un jeune homme brun de petite taille mais plutôt mignon qui l'a sauva d'un accident sur le chemin. Il était super mignon. Elle n'eu...