L'existence de Dieu

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Quand le Cavalier a levé sa hâche, j'ai su que c'était la fin, la fin de mon existence. Plus rien ne pouvais me sauver.

Voilà donc le résultat de toute cette vie, le but final de la gloire, la richesse, la célébrité, le pouvoir.
Qu'est ce que ça m'avait apporté ? Douleur et désolation.

J'avais gâché plusieur vies, et je venais de détruire la mienne. L'espoir de ma famille que j'étais, à cause de mon orgueil, mon avidité.

En une fraction de secondes j'ai visionné le film de vie, c'était un film d'horreur.
Au moment où sa hâche allait me transpercer, j'ai entendu un gros STOP !!

Quand j'ai ouvert les yeux, Caleb. Tout blanc, il brillait de milles lumières, et sa voix était si douce. C'est lui qui avait stoppé la hâche à quelques milimètres de moi.

Le cavalier (furax) : Non, pas toi ici.

Caleb : Si, son créateur m'a envoyé de venir la chercher.

Le cavalier : Non pas cette fois. Elle est mauvaise. Elle ne mérite pas cette chance. C'est une meurtrière.

Caleb : C'est vrai. Mais son créateur a porté tous ses meurtres sur lui à la croix.

Le cavalier : C'est une menteuse, manipulatrice.

Caleb : Il sait, mais il a porté ça aussi à la croix pour elle.

Le cavalier : Elle est mesquine. C'est une destructrice, elle doit finir ici.

Caleb : Tu peux l'accuser de tout ce que tu veux, mais son créateur te dis que son amour pour elle n'a pas tari. Il l'aime, et il l'aimera toujours.

Le cavalier était vraiment en colère. Son apparence avait changé, son poids a doublé instantanément. Je vivais mon procès en direct. Je savais, pertinemment que c'était perdu pour moi.

Le cavalier : Tu ne peux pas me la prendre.

Caleb : Bien-sûr que si, et tu sais, que même pas toi ne peux m'en empêcher.

Le cavalier : Hum !

Caleb m'a tendu la main et il m'a dit.

Caleb : Ce n'est pas encore le moment. Tu n'as pas encore accompli ce pourquoi tu as été créée. Viens !

Je me suis levé, je tremblais comme une feuille. Il m'a prit la main et il a ouvert une porte sur la rue d'à côté.

Dans cette porte, je me suis vu sur un lit recouverte d'un drap blanc.

Caleb : Il te reste encore une chose à faire. Va et racontes ce que tu as vu. Dieu est bon, il ne t'abandonnera pas.

Je suis rentré dans cette porte et puis... Je me suis brutalement reveillée sur mon lit d'hôpital. La porte de la chambre dans laquelle j'étais était presque refermée quand j'ai crié faiblement ATTENDEZ !

Le docteur après avoir sursauté de frayeur, il s'est retourné, ayant pris conscience ce que je vivais, il s'est mis à crier "Elle est revenue" et mes parents qui étaient à la porte en larmes sont entrés se jeter sur moi en cascade.

Ma mère : Merci mon bébé tu es revenue. Qu'est ce que j'allais devenir sans toi ?

Mon père me regardait juste sans parler.

Docteur : C'est un miracle ! Un vrai miracle. Et dire que j'avais déjà constaté son décès.

J'étais là couchée, le seul mot qui a pu sortir de ma bouche était Caleb !

𝕃𝔼_ℂ𝕃𝕀ℂ_𝕄☠︎︎ℝ𝕋𝔼𝕃                      Où les histoires vivent. Découvrez maintenant