PDV Jin-seok KimDepuis que je suis "connu", que ma tête sont sur presque tout les affiches en ville, j'ai pris l'habitude de sortir déguiser. Bon, pas que j'ai porté une perruque ou autre chose. Je me souvent une casquette et un masque noir et je m'habille en noir. Comme c'est le weekend aujourd'hui, j'ai décidé d'aller me promener dans mon ancien quartier, le soir.
Ça fait maintenant quelques minutes que je marche dans les rues qui ont bercées mon enfance. Ça ravive des souvenirs. Ça me rend nostalgique. En prenant la première à gauche, je tombe sur deux lycéennes. Elles doivent rentrer de l'école. Je suis juste derrière elles. Les mains dans les poches, je les regarde discuter avec entrain et s'amuser. Ça me fait ramène à l'époque où nous rentrions de l'école moi, Sao Ban-Him et Moon Seo-Ha. Une époque d'insouciance, une époque où tout ce qui nous préoccuper c'était d'avoir notre Bac et de vivre nos meilleures années de lycée.
Quand je replace mon regard droit devant moi, je ne vois plus les deux jeunes filles. J'étais un peu distrait et pensif donc je n'ai pas vu quand est-ce qu'elles ont disparus. Je regarde simplement à gauche et à droite, mais je ne les vois. Alors je me dis qu'elles ont dû entrer dans l'une de parcelles, je sais pas. Soudain, alors que je continuais simplement ma route, je reçois quelque chose sur la tête.
_ Qui êtes-vous ?
_ Pourquoi vous nous suivez ?Un peu sonné, et ne comprenant pas ce qu'elles racontent. Oui, parce que ce sont bien les deux jeunes filles de tout à l'heure. Je regarde ce qu'elles m'ont balancer à la tête et je vois que c'était le cartable de l'une d'elle. Encore plus confus, en me frottant le crâne, je dis :
_ C'est comme ça qu'on vous a appris à parler aux aînés ? Pourquoi vous m'avez attaqué ?
Je n'avais pas vu mais elles portaient toutes deux de pantalon de sport au dessus de leur jupe. L'une d'elle prend une pose d'attaque et l'autre lève son sac en l'air et me menace avec.
Dans quoi je me suis encore fourrer moi ?
_ Pourquoi vous étiez en train de nous suivre ? Dit l'une.
_ Vous avez pas arrêté de nous suivre aux pas depuis tout à l'heure. Vous nous prenez pour des proies faciles ? Ajoute l'autre.
_ Vous êtes un pervers ! Renchérit la première sans sac.
_ Nous faisons du taykoundo, attention hein ! Déclare l'autre avec son sac prête à me le jeter à tout moment.Là je suis plus aussi perdu. Donc ces deux gamines pensent que je suis un pervers qui leur suivais pour leur agresser. Alors, je fais quelque chose que je n'aurai pas dû faire. Je me mets à rire.
_ Ah ah ! Donc vous dîtes... Ah ah ah ! Que je suis un agresseur ? Ah ah ah ! Quelle bonne blague.
Je regrette tout de suite mon geste car elles se mettent à faire du bruit, ce qui fait allumer les lumières du voisinage. Rire était pas une bonne idée. Une dame assez âgée et son maison sont mari sortent de leur parcelles, puis un cycliste qui était loin là bas. Ils posent des questions à ces deux filles et elles répondent toute chamboulée :
_ Nous étions là, nous revenons de l'école et nous avons remarqué que ce monsieur nous suivez depuis la grande route.
_ Et là, il s'est mis à rire comme un psychopathe. Il fait trop peur !
Je rêve ou quoi ? Donc là, on m'accuse d'être un psychopathe maintenant ? Mais c'est du délire. Je ricane sans grande joie parce que la situation commence à m'énerver.
_ Vous me traitez d'agresseur mais c'est vous qui m'avez agresser en premier ! Dis-je dépité.
Le mari de la dame m'attrape le poignet et dit :
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Cette femme, mon étoile [En réecriture]
FantasyPlus connu pour sa célébrité que pour son talent d'écrivain, Kim Seok-jin n'en peut plus et part s'exiler dans un village, dans un chalet. Alors qu'il pense que les rêves étranges qu'il fait depuis plusieurs mois vont s'arrêter, il fait une rencontr...