Retour à la réalité

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Doucement mes membres commencent à piquer, des milliers de picotements douloureux me passe partout dans le corps. Mon ciel bleu reviens doucement dans ma tête, j'attends un peu et aucun nuages en vue, bonne nouvelle alors. Je fronce un peu les sourcils et le son reviens petit à petit dans mes oreilles. Il y a de l'agitation dans la pièce, je peux entendre Abelforth et Albus. J'ouvre doucement les yeux, ma vue est un peu brouillé, je regarde les deux frères qui se sont tue. Je m'étire doucement tout mon corps avant de me lever. Je trouve qu'ils n'ont pas vraiment changer, c'est une bonne chose non ?

-Aastronomia comment allez vous ? Demande Albus.
-Bien Professeur, bien mieux.
-Tu peux aller prendre une douche, dit Abelforth.
-Tu as une douche toi ? Dit Albus.

La bataille entre frère est repartie de plus belle, à croire que ça amuse fortement Albus d'embêter son petit frère à tout bout de champs. Je sourit un peu et prend une douche bien chose. Je me regarde dans le miroir, les traits de la cicatrices sont redevenus, à peut près normal, du moins la couleur. Quand à la forme elle à l'air moins expansé, plus effacer sur les côtés. Je me rhabille au plus vite avant de rejoindre les deux frères. Le regard grave de Albus se pose sur moi, je recule d'un pas, ses yeux bleus sont plonger dans les miens. J'allais ouvrir la bouche quand il me coupe.

-Une attaque est en train de se faire.
-Je veux y aller...
-Non tu viens de te réveiller.
-Je veux venir.

Je lui tient tête, il faut qu'il me laisse y aller je ne laisserais pas mes amis, en aucun cas. Il attrape mon bras et me fait transplaner dans une rue passante. Il fait nuit sombre, la marque des ténèbres est déjà inscrite dans le ciel. Un frison me parcours, Albus pose son regard sur moi. Je le regarde, mon médaillon me chauffe.

-Il est là...

Il compris directement, il sort sa baguette avant de me donner la mienne. Je la prend tout en le remerciant du regard, je me met à courir dans les rues à la recherche de mes amis. Je tombe sur Remus, au bruit de mes pas, il se retourne vers moi. Je lui saute dans les bras et le serre aussi fort que je le peux.

-Remus...
-Mon amour... Tu m'as manquer.
-Je suis rester combien de temps ?
-Une semaine, que fais tu là ?
-Je viens vous aider.

Il allait me répondre quand un cri déchirent le ciel, je lâche mon amoureux pour regarder en direction du crie. Sirius ! Je cours avant que Remus commence lui aussi à courir, il reste à mes côtés. Je cherche dans toute les rues où peux bien se trouver Sirius. La main de Remus me prend la main et m'entraîne dans une autre ruelle. Au dessus de Sirius se trouve un détraqueur, il a vraiment le chic pour les attirer. Je regarde Remus qui me fait un signe de tête, ma main serre un peu plus la sienne, je n'avais pas envie de lui lâcher. Par chance mon cœur, malgré la peur est encore remplis de bonheur, j'avais donc le choix de bon souvenir. Je prend une grande inspiration, tout deux, nous tendons notre baguette.

-Spero Patronum !

A l'unisson, nos voix se sont élevés dans la nuit. Un filet argenté sort de ma baguette pour y former une forme que je n'avais encore jamais vue. Bien que habituellement c'est un chien avec une lune entre les yeux y sort, cette fois ci, il avait changer. Il faut que je reste concentrer, le détraqueur s'en va, de peur de nos patronus. Je baisse ma baguette, je regarde Remus qui à toujours le sien, le reflet argenté lui éclaire le visage avec des ton argent. Ca lui fait ressortir ses yeux ainsi que ses cicatrices, ça lui donne un petit côté méchant de garçon doux, j'aime ça. Il fini lui aussi par baissé sa baguette et me regarde. Je reprend ma respiration de la course que nous venions de faire, mon regard se pose alors sur Sirius qui est en train de se relever. Je me précipite sur lui, lâchent la main de Remus.

-Sirius tout vas bien ? Lui demandais-je.
-Par Merlin, Aastronomia tu es revenue !
-Doucement Sirius, doucement tu viens de prendre un baisé du détraqueur.

Le Patronus - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant