Le Patronus - Tome 2

Une énergie

Il relève la tête et un large sourire viens s'étirer sur son visage, j'entre avant d'y sauter dans les bras à peine il est debout. Je ferme les yeux et je respire son odeur.

-Je suis désoler pour la beuglante, s'excuse t-il.
-Non, ne t'inquiète pas.
-Me dit pas que ça ta fait rire ?

Je me détache de ses bras et me pince les lèvres. Il se met à rire et je le suis dans son rire. On passe un bon moment ensemble, comme si rien ne c'était passé avant. Quelqu'un frappe à la porte, Remus va ouvrir.

-Il faut que vous veniez, une attaque se fait dans le Londres moldu.

Je me lève d'un coup en entendent les paroles de Albus. Je regarde un peu paniquer Remus qui été décider à y aller.

-Tu restes ici, me dit-il.
-Non je viens avec vous, répliquais-je.
-La dernière fois tu a faillis y passé et tu es encore trop faible.
-Je peux me battre.
-Remus à raison Aastronomia, reste se reposer, reprend des forces doucement.

Je regarde Albus, une faille dans mes yeux, je ne sais plus quoi dire. Je regarde Remus, les larmes me montent aux yeux.

-Si Albus veux bien, va au QG...

Quelques larmes coulent sur mes joues, je prend la main de mon compagnon. Il pose son doux regard sur moi.

-Aastronomia...
-J'ai peur pour toi...
-Tout va bien se passé, je te le promet.

Il pose un bisou sur mon front avant de poser le sien contre le mien. Mes yeux plongent dans les siens, les larmes ne cessent de couler. Il lâche ma main pour prendre mon visage entre ses mains.

-Je te fais la promesse de revenir entier et en bonne santé. Tout va bien se passé, mais s'il te plaît reste ici ou au Q.G, d'accord ?
-Je te le promet.

Il pose ses lèvres sur les miennes, je l'embrasse comme si c'était la dernière fois que je pouvais les toucher. Il me lâche tout doucement, comme si tout se passais au ralenti, il me sourit tendrement avant de transplaner. Je regarde le professeur Dumbledore avant de lui tenir le bras et qu'il me fasse transplaner au Q.G. Il n'y avais personne, tout le monde été déjà la bas, enfin je crois. Kreattur arrive vers moi et commence à pester comme à son habitude. Je me pose dans un des fauteuils du salon, j'attrape un livre et le lit. Enfin, essaye, je n'arrive pas à faire partir tout ça de mes pensées. Mes yeux regardent constamment la porte ouverte qui est le seul point de passage du corridor. Puis ils font l'allée retour sur la pendule qui défiles les heures. Mes oreilles sont sur le qui vive, au moindre bruits je suis à deux doigts de courir vers la porte d'entrée. Je fini par fermer ce livre qui ne fait que trôner sur mes genoux, je regarde vers la fenêtre. La nuit règne, un frisson me parcours la colonne, il se passe quelque chose de pas bon. Quelques crac sonore se font entendre, je cours vers le corridor, prend en charge Sirius qui reviens blessé mais en plein dans un fou rire. Je l'aide à se mettre allonger sur le fauteuil et regarde son ventre où il est blesser.

-Sirius arrête de rire.
-Non c'est trop drôle.
-Alors expliques moi.

Tandis que il me raconte la blague qu'il a faite avant de tuer un mangemort, je le soigne, au moins ça fait comme les enfants, il ne bouge quasi pas et ne hurle pas à chaque fois que j'approche un coton. Je ne peux m'empêcher de regarde vers la porte de temps en temps.

-Sirius ? Tu as vu Remus ?
-Non, on s'est perdu de vu à un moment.
-Peter est venue avec vous ?
-Non, il est retourner près de sa mère.

Je regarde Sirius d'un air grave, je me redresse doucement. Je lui ai promis de rester ici, je suis persuadé au fond de moi qu'il s'est passé quelque chose. Je reste avec Sirius pendant encore des heures et des heures. Tout le monde commence à revenir petit à petit. Je regarde Frank qui viens d'arrivé.