Alice et Frank

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Alastor et quelques membres du ministère arrivent le plus vite possible, on fini par encerclé le bâtiment. On ouvre la porte et pénètre l'édifice, j'avais donc bien vue, les deux frères Lestrange et Bellatrix. Alors que les sorts commence à fuser, je bombarde moi aussi de mon côté un des frères Lestrange qui me vise personnellement. Bien que l'on soit en supériorité en nombre, ils sont quand même fort. Un sort viens siffler un peu trop près de mon oreille, je me retourne, Bellatrix se fait la malle. Je balais rapidement la pièce du regard pour enfin lui courir après. Je pousse la lourde porte métallique qui venais de se refermer. Elle a déjà disparue de mon champs de vision, je tourne la tête à droite, à gauche. Je donne un coup de pied dans un caillou avant de prendre la direction vers la droite. Je balais tout du regard, je garde une course cadencer. Un peu plus loin, des éclaires de couleurs retiennent mon attention, je foncé à toute vitesse vers cet endroit. La pluie commence à battre violemment le sol. Elle tourne la tête vers moi alors que l'Aurore est à terre.

-Tien, tien, tien, la fille de la prophétie.
-Rends toi et tout ce passera bien, lui dit-je.
Jamais de la vie, rit-elle Dit moi où est mon maître.
-Ton maître est mort par un enfant.

Elle serre les dents, ce que je lui ai dit ne lui à pas plut je crois. Elle tend rapidement sa baguette vers moi, je l'esquive de justesse.

-Parles autrement de lui ! Dit-elle avec rage.
-Jamais je ne m'abaisserais à ses idéaux. Je préfère mourir.
-Oh mais ça ne tarderas pas.

Le visage déformer par la rage et ses yeux noirs qui envoient des éclaires elle joue légèrement avec sa baguette. Toute les deux, sous la pluie, les cheveux qui goutte et les vêtements qui collent au corps, on se regarde pour savoir laquelle de nous deux va attaquer. Comme dans les vieux films de western. Elle fini par lancer le premier sort, je me protège et essaye d'attaquer le moins possible pour l'instant. Plus elle lance des sorts, plus la véracité de ses coups de baguette deviennent intense. Un sort me percute et je glisse au sol, mes mains frappe avec force le sol. Je la regarde, ne la quitte pas des yeux. A tâtons, je cherche ma baguette, ce que je trouve sous mes doigts ce ne sont que des flaques d'eau. Alors que je tourne la tête pour chercher ma baguette, un sort siffle une nouvelle fois près de mon oreille. Elle avance dangereusement, je m'aide de mes pieds pour glisser sur le sol et maintenir la distance.

-Alors on as peur ? Tu fuis ?

Je serre les dents, j'aperçois enfin ma baguette, je tend la main pour la prendre mais elle me bloque le bras avec un sort.

-Non !

Elle se met à rire comme elle à l'habitude de faire, je me débat pour sortir de son emprise mais rien n'y fait. Elle ramasse ma baguette pour la faire tournée entre ses doigts.

-Rends moi ça !
-Pourquoi faire ? Si vraiment tu as des pouvoirs plus puissant que nous qui sort de tes... mains... Montres le moi que je puisse prouver au maître.
-Ton maître est mort !
-Non ! Vous le cachez j'en suis sure, il va revenir.

Je me débat encore et tend la main pour essayer d'attirer ma baguette comme Thor l'aurait fait avec son marteau. Ma baguette ne bouge pas, je grimace au cas où elle voudrait revenir d'elle même. Elle avance dangereusement vers moi, pose son pied sur mon biceps ce qui m'arrache un cri de douleur. Elle se penche un peu plus vers moi et chuchote.

-Cette fois tu ne gagneras pas.

Elle sors alors d'une de ses poches un petit poignard, je deviens blanche. Je peine à garder les yeux ouvert, entre la pluie qui tombe sur mon visage et la douleur de son pied sur mon bras je n'arrive même plus à me concentré. Elle le passe au même endroit que la dernière fois, sur mon œil, sans appuyer avant de le diriger vers mon cou. Elle commence à mettre une légère pression quand elle passe sur ma jugulaire. Je ferme les yeux et essaye de respirer le moins possible de peur qu'elle ne coupe la peau. Je n'arrive même pas à pleurer, à émettre un cri pour que l'on vienne m'aider. J'arrive à dégager une de mes mains d'un sort tandis qu'elle se met au dessus de moi, les genoux sur le sol. Je peux sentir son souffle contre mon visage, je l'entend ricaner. Ma main reste discrètement à tâter le sol. Je tombe sur une forme irrégulière et dur. Je l'empoigne fermement avant de lui frapper la tête violemment avec. Elle tombe de sur moi, je me lève rapidement, manquent de glisser sur quelques feuilles mortes. Je ramasse ma baguette qu'elle à fait tomber et je la pointe vers elle. Alors que quelqu'un arrive vers nous, je tourne la tête et remarque les Aurors qui s'occupe d'elle. Un peu paniquer je les regardes faire quelques instant avant de me précipiter dans le bâtiment où se trouve mes amis. Je me laisse glisser à genoux près d'eux et secoue un peu mon amie.

Le Patronus - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant