Le stade

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Je croise les bras et regarde la forme de chien se transformer en humain devant nous. Sirius apparaît tout sourire, malheureusement il le perd rapidement en voyant mon visage pas heureux du tout.

-Tu viens faire quoi Black ?
-Oh non fais pas cette tête...
-Si je fait cette tête ! Tu nous as fait peur bordel !
-Désoler...
-Désoler ? C'est tout ce que tu as à dire ?

Je soupire et secoue la tête avant d'aller dans les escaliers. Je peux encore entendre une bride de leurs conversation.

-J'ai couper quelque chose ? Dit Sirius.
-J'ai réussit à la faire rire, dit Remus.

Je m'enferme dans le bureau de Remus pour commencé à préparer mes prochains cours ainsi que développer mes photographies. Je cache cette de Severus qui sont très bien réalisé ceci dit. Je prépare tout ce qu'il faut pour aller à la prochaine rencontre sportif de la ville en lien avec Paris voir la France. La porte du bureau s'ouvre, je regarde Remus dans le miroir.

-Il est repartie...
-Mh...
-Ma petite étoile...
-Remus je dois te dire ce qu'il s'est passé hier.

Il prend un air grave et tire doucement la chaise à côté de moi pour s'y installé.

-C'est Severus ?

Je tourne la tête vers lui et hausse la tête. Les images me reviennent en tête, sa main se pose sur mon bras.

-Il m'a embrassé...

Il me regarde et ne me dit rien, je pose ma main sur la sienne. A tout moment il peut partir en crise de jalousie.

-Tu...tu n'as pas continuer.
-Non rassures toi... Mais il m'a montrer plus que ça...
-Quoi donc ?

Je prend ma baguette et me concentre sur le moment où je l'ai vue dans le train. Ce premier jour à Poudlard, où il avais poser ses doux yeux sur moi. La sensation monte jusqu'à mon cœur.

-Expecto patronum.

Le filet argenter sors de ma baguette et ma louve sors se promener dans les airs avant de toucher le sol de la pièce. Je pose mon regard sur Remus, l'air stresser, de peur qu'il pète un plomb. Étonnement, il reste calme, prend lui aussi sa baguette et fait apparaître son loup. Les deux bêtes argenter se regarde avant de se tourner autour et se poser tête contre tête.

-Je déteste mon patronus, dit-il.
-Moi je l'adore parce que finalement grâce à l'amour que je te porte j'ai le même que toi.
-Mais il a le même que toi maintenant.
-Ce qui m'importe c'est toi et non lui.

Il me regarde avant de porter son regard sur nos deux loups. Je tend la main à ma louve qui est venue me voir, je lui caresse le haut de la tête avant qu'elle disparaître. Il me regarde à nouveau, je croise son regard.

-Merci d'être rester calme.
-Merci de me l'avoir dit, dit-il.

Il me pose un bisou sur le front avant de se lever.

-Au faite, Albus m'a donner des nouvelles de James, Lily et Harry. Tout le monde vas bien.

Il me sourit avant d'agiter un peu la tête. Il sors du bureau et me laisse seuleici, le silence est un peu trop importante dans la maison. Plus je grandi plus j'apprécie le silence mais pas aussi calme. Je commence à rédiger ma lettre pour mon patron, ma plume tape contre le papier, le griffe. Je commence à m'imaginer une musique sur le rythme de la plume. La musique continue et finalement c'est comme si il envahissait la pièce, du moins ma tête. Au bout de quelques heures je descend avec mes affaires et regarde Remus dans le canapé, un livre à la main en train de remuer le pied.

-Tout va bien ?
-Oh non, dit-il, c'est déjà fini ?
-De ?
-La musique.

Je fronce les sourcils et le regarde, il me sourit. Oh non j'y crois pas, j'ai pas réussit à me contrôler à nouveau. Je pose mes mains à mon front, il se lève et prend doucement mes mains pour les retirer.

-Hey, moi j'aime bien ta musique, sourit-il.
-Alors pour toi je peux la laisser vagabondé ?
-Avec grand plaisir Miss Octopus.

Je retrousse un peu le nez face à cette réflexion se qui le fait rire un peu.

-Je sais que tu fais des efforts pour quand tu es dans le monde moldu et que tu en fais aussi ic car tu as peur du surplus que tu as eu. Mais ici tu peux le laisser vagabonder, jamais je ne te jugerais et tu le sais.

Je passe mes bras autour de son cou et pose mes yeux dans les siens.

-Merci, je t'aime, tu es parfait.
-Je suis loin d'être parfait, rit-il nerveusement.
-Si, si.

Je l'embrasse avant de poser mon matériel sur la table. Il viens vers moi et regarde un peu l'appareil photo.

-Tu l'as toujours celui qu'on t'a offert à ce que je vois.
-Toujours c'est comme un porte bonheur pour moi, lui dit-je.
-Il fait de belle photo encore ?
-Oh que oui.
-Je vais vérifié ça.

Il prend l'appareil photo et commence à me prendre en photo.

-Naaaan , riait-je.

Il ne dit rien et continue à prendre des photos.

-Aller prend une pose, dit-il.

Je fini par me prendre à son petit jeu, je prend des poses et rit. Il a le don de me remonter le moral dans ce monde de chaos totale. Je tourne la tête vers l'horloge.

-Ho merde, je dois y aller je suis en retard.

Je me dépêche et pose un bisou sur la joue de Remus avant de partir à toute vitesse rejoindre un collègue de France. On discute ensemble et on regarde le match tout en faisant notre travail. L'Ambiance est électrique dans le stade, les supporters sont fébrile face au match très bien jouer par les deux équipes. Je remarque des formes noir dans le ciel, je fronce les sourcils.

-Tout vas bien Tina ?
-Tu as vue les nuages ?

Il lève alors la tête eu ciel et hausse les épaules.

-Non je ne vois rien.

Je regarde encore le ciel, la peur grandi en moi d'un coup. Je glisse la main dans la poche de ma veste et agrippe ma baguette.

-Tina, tu es toute blanche tu es sûr que ça va ? -Tu devrais t'asseoir.
-Eddy, sors du stade et cours au plus loin.
-Hein ? Qu'est ce que tu racontes ?
-Eddy pars c'est un ordre.
-Mais Tina tu débloques.

Je le pousse et prend ma baguette alors que les formes noirs arrive sur le terrain et crée un mouvement en panique. Par chance, je ne suis pas la seule sorcière dans le stade. Les formes noirs commencent à détruire le grand bâtiment de fer.

-Tina !
-Eddy vas y je gère.
-Non je ne te laisse pas.
-Eddy sors !

Je jette quelques sorts avec ma baguette alors que quelques mangemorts arrivent sur la pelouse et au milieu des moldus. Mon collège me regarde, choqué que j'utilise une baguette magique. Je l'attrape par le col.

-Eddy attends moi près de cette adresse. 10 square Grimmaurd.
-O...O...Oui...

Je lui sourit un peu et lance un protégo au bon moment. Je le pousse une dernière fois avant de me battre encore contre le camps de Voldemort.

Le Patronus - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant