Le Patronus - Tome 2

L'apres

Les mains dans les poches, je marche dans les rues pourtant si joyeuse de la ville anglaise. Je remonte doucement la capuche sur mes cheveux pour ne pas me mélanger à la masse de personnes.

-Bonne journée très chère moldu, le garçon l'a vaincu.

Rien qu'à entendre tout ça me donne l'envie de vomir. A croire que tout ses gens ne voient que la partir émerger de l'iceberg. Savent-il que Lily, James, Fabian, Gideon et tant d'autre on périe pour eux. Que Harry n'est pas mort mais qu'il va grandir avec des personnes affreuses, qui déteste qui nous sommes ? Que Sirius s'est fait arrêter alors qu'il est innocent ? Je ne pense pas que tout ça leur ai venue jusqu'à leurs oreilles. Et se montrer comme ça, dans des tenues traditionnel aux yeux de tout le monde. Je relève un peu la tête vers le ciel, une ombre inhabituelle à retenue mon attention.

-Oh non c'est pas possible, soupirais-je tout bas.

Les hiboux de tout le pays en plein jour, c'est la débandade. Je me frotte le visage et continue de marcher dans but dans les rues bondés. Je me pause un à bar et passe ma commande. La télé allumer relates les faits, une explosion dans une maison, causant 2 morts. Des hiboux dans le ciel en plein jour, une catastrophe de l'écologie. Et bien sûr tout ses sorciers dans la rue, un rite de secte. Je rit intérieurement, c'est fou comment ils ont toujours cette façon de détourner les choses.

-Flash info, un dangereux meurtrier à été arrêter il y a quelques minutes dans une rue passante de Londres. D'après nos information, l'homme âgé de 22 ans à tuer dans cette même rue 12 personnes dont une encore porter disparue. Il n'a pas montrer de signe de résistance du à un moment de folie. Il sera mis en examen pour savoir si l'explosion de la maison qui à causer la mort de deux personnes serais causer également par lui.

Les yeux rivés sur l'écran, je n'en crois pas mes oreilles. Sirius ? Un dangereux psychopathe ? Jamais de la vie... Même les moldus se mettent a penser que c'est un dangereux criminel. Je fini par baissé les yeux vers mon verre, je le fait un peu tourner comme si une idée aller arriver dans mon cerveau et que toute la face du monde allais changer. Je sors de cette endroit quelques heures après, il y a encore plus de monde. Je décide de revenir chez Remus, je l'ignore totalement alors qu'il se lève à mon arriver. Je me dirige comme un robot à l'étage, enlève la veste de Sirius et me coucher la veste contre moi. Au bout de quelques minutes, une masse viens se poser près de moi, il se colle à mon dos et passe son bras par dessus mon corps.

-Il est innocent, dit-il, j'en suis sûr...
-Il aurait préféré mourir que de livré Lily et James.
-Je sais...

Il caresse mon bras, j'ai de la chance de l'avoir près de moi. Je reste des jours allonger sur le lit à ne plus vouloir en sortir. Remus reste fort pour moi, il reste la tête hors de l'eau pour que une fois j'arrive à rester à couler avec les poissons. Ce matin, alors qu'il dors encore, je fini par me lever et me traîner jusqu'à la salle de bain. Je regarde le déchet que je suis devenue, les yeux gonflé, la peau sèche, des traces rouges mais surtout les cernes noirs. Je passe sous la douche, une ou deux heures histoires de laver tout mes sentiments en même temps. J'enfile encore cette même veste qui ne me lâcherais plus et je sors. Le premier réflexe est de fumé à nouveau une cigarettes tout en prenant la direction du ministère. Je traîne des pieds comme si j'avais tout le malheur du monde sur mes épaules, les rues sont calmes, le temps est gris. La neige allait commencer à tombé en ce début de Novembre. Je pense déjà au Noël sans goût que j'allais passé cette année, au nouvel an fade et aux autres anniversaires ainsi que fêtes sans vraiment de valeurs sentimentales. Je croise le regard de l'homme qu m'attendais devant l'entré du personnel.

-Bonjour Arthur.
-Je t'attendais...

Je m'arrête à quelques mètres de lui, je n'aime pas vraiment le ton qu'il venais de prendre mais c'est surtout la fin de la phrase qui me fait tiquer le plus. Il fuit désormais mon regard, il se passe quelque chose d'anormale.