Le Patronus - Tome 2

Mirage

J'entre dans l'entrée de le manoir. Le sol est crasseux, il y a quelques feuilles qui jonchent le sol. En face de nous un grand escalier en marbre recouvert d'un tapis qui devais être rouge de base. Tout en haut il se sépare en deux pour aller dans les deux ailes. En bas la grande entrée se sépare en 3 parties, en face de nous, une porte qui devais mener aux caves. A droite et à gauche deux grandes portes double dont une ouverte qui donne sur un grand salon. Il reste encore des meubles qui sont étrangement en bonne état. La baguette toujours en l'air je tend l'oreille pour essayer de percevoir un bruit. Je lance un regard à Gideon qui est à mes côtés, je me retourne pour regarde Fabian et Benjy qui sont juste derrière nous. Peter lui reste cacher dernière tout le monde, tout tremblant, c'est vraiment pas un Gryffondor. Il n'y a aucun bruit, je trouve ça plutôt étrange, ma main se porte à mon médaillon qui n'as toujours pas réagit bizarrement, leurs chef n'est pas donc là. D'un geste nous arrivons à vite nous organisé, avec Benjy nous allons ratisser le haut tandis que Fabian et Gideon le bas et Peter les caves. Peter me regarde et fronce les sourcils, non mais j'y crois pas cet ingrat reviens et ne veux pas aller en mission comme tout le monde. Je bataille un peu avec lui pour y faire comprendre que il doit y aller. Fabian le prend par le col et le lance vers la porte de la cave, le pauvre Peter s'est recroqueviller sur lui même et s'est laisser faire. Les deux frères vont chacun vers une pièce, Benjy me prend la manche doucement pour monter le grand escalier. Alors que je monte les escaliers, mes yeux ne peuvent pas s'empêcher de se poser sur les sculptures en haut de l'escalier ainsi que les vitraux juste au dessus. On arrive tout en haut, le sol est encore fait de marbre, je regarde mon binôme, il décide de prendre le côté gauche, je commence donc à partir vers la droite. Je m'engouffre dans le long couloir mal éclairer, je serre un peu plus ma baguette pour lancer un lumos. Toutes les portes de chaque côté sont fermer, des tableaux déchirer habillent le papier peint moisie qui tombent en lambeau. Je pose un pied dans un grand couloir, le bois craque sous mes pied. Je tend l'oreille mais aucun bruit ne se fait entendre dans mon étage, je m'approche d'une porte pour essayer d'entendre quelque chose mais aucuns bruit ne sort. Avec ma baguette j'ouvre prudemment la première porte, aucune réaction, j'entre, personne. Je passe une à une les portes, chaque pièce de ce couloir est complètement vide. Il y a comme une lueur dans mon crane, une étincelle d'intelligence qui passe par là. Je cours dans le couloir, je fonce en bas pour courir devant le manoir. Gideon et Fabian me cours limite après sans vraiment comprendre ce qu'il se passe. J'attrape le plus frêle d'un des mangemorts par le sol, encore immobilisé il ne bouge évidement pas, de mon autre main je lui enfonce de rage ma baguette dans sa jugulaire.

-Où ils sont ?!

Il me regarde d'abord un peu étonner par ce qu'il lui arrive. Il baisse les yeux vers ma main qui tient ma baguette alors que je le maintient encore au dessus du sol. Il fini par planter ses yeux noirs dans les miens avant d'avoir un rictus et le garder. Je commence à avoir une rage qui monte en moi, je serre les dents et lui enfonce un peu plus fort la baguette.

-Aastronomia tu fou quoi ? Dit Gideon.
-Où ils sont ?! Réponds moi !
-Aastronomia arrête, continue Gideon.

Je le secoue un peu et il se met un peu à rire. Gideon pose sa main sur mon bras qui tient ma baguette, je lâche le partisan d'un seul coup. Je me frotte le visage avant de me retourner vers eux.

-C'est un leurre, ils ne sont pas là. C'est eux qui nous on eu au piège.

J'entends tiquer Fabian et des pas précipiter se font entendre, on se retourne vers Benjy qui arrive vers nous.

-Il se passe quoi ? Demande ce dernier.
-Ils nous ont tendu un piège, dit Fabian.
-Où est Peter ?

Je regarde Benjy avec de grand yeux, je secoue un peu la tête et fonce dans l'entrée. Des pas se font entendre, je me retourne vers mes compagnons.