Faille espace temps

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Je regarde le grand bâtiment se dresser peu à peu devant moi, je souffle un bon coup et passe enfin la porte de celui ci. La bâtiments ressemble à une grande pièce tout en marbre, très bien éclairer. De chaque côté de la grande allée qui mène à trois gobelins, se trouvent justement, une centaine de gobelins qui travaillent. A mon passage, certain relève leurs petits yeux vicieux vers moi. J'arrive enfin devant le gobelin au centre, il relève alors ses petits yeux noir vers moi, au dessus de ses lunettes sur son nez long et crochu. Ses longs doigts fins sont accrocher à une plume noir, il griffonne en même temps qu'il me regarde.

-Que puis-je pour vous ?

Sa voix aiguë et nasillarde me fait limite sursauter alors qu'il ferme lourdement l'énorme livre devant lui.

-Je viens voir mon compte, j'avais déposer un peu d'argent dessus.
-Votre nom je vous prie.
-Aastronomia, Iovi, Saturna Octopus.
-Votre baguette.

Je sort ma baguette et lui pose sur le comptoir. C'est fou comment les gobelins peuvent se sentir supérieur aux sorciers depuis la révolution. Un très longue histoire, tellement longue que le professeur Binns avais mis une année à nous le raconter. Il passe sous toute les coutures ma baguette tout en me lançant des coup d'œil sur mon visage en même temps.

-Bien, lance t-il froidement. Je recherche votre dossier.

Je reprend ma baguette et la range, il me tend ensuite un papier, je le prend doucement avant de regarde le peu de chiffre inscrit dessus.

-C'est possible de le prendre et de faire un échange avec de l'argent moldu ?

Il me regarde un peu de travers au dessus de ses lunettes. Il commence à sourire doucement, ses toutes petites dents irrégulières et pointue me fou une chaire de poule.

-Vous avez la clé de votre coffre ?
-Bien sûr.

Je fouille dans mon sac et sort la clé du coffre familial, il me la prend comme si j'y donner un gallion. Je le suis dans les grands couloirs de pierre avant de monter dans le petit chariot. Je ferme les yeux tout le long, les grands huit ce n'est pas pour moi. Je descend du chariot une fois arrivé, aussi blanche que la lumière qui sort de la lampe que tient le gobelin. Je titube un tout petit peu avant d'arriver à le suivre correctement. Au moment où j'arrive à voir correctement, il avais déjà enlever tout les verrou avec sa magie. Il me laisse passer devant d'un geste de la main et j'entre dans le grand coffre, il ne comporte qu'une petite table avec une bourse marron en son centre. Cette même bourse que j'ai déposer juste avant mon départ. Je la met dans mon sac et nous retournons de la même manière que avant dans la grande pièce. Le retour à été beaucoup plus doux que l'allée, sûrement que mon corps s'y ai habituer. Il m'échange l'argent moldu en argent sorcier et je décide de retourner chez Remus.

-Remus ?

Aucune réponse de sa part, je cherche un peu dans la maison, je trouve une note sur la table comme quoi il est partie chez ses parents. Je pose le sac d'argent sur la table et je vais me coucher, la nuit avais été longue sur le canapé à lire encore des livres. J'avais assez dormis quand j'étais blesser. Je m'endors assez rapidement. J'ouvre les yeux quand quelqu'un me caresse le front, je sourit doucement avant d'ouvrir les yeux.

-Haaaa !!!

Je porte ma main à ma poitrine, je souffle un bon coup pour regarder Severus qui se tient là.

-Tu fou quoi ici ?
-Rien.
-Rogue ! Qu'est ce que tu fou dans mon rêve ?
-Comment ça un rêve?

Je prend ma baguette et je lui pointe sous la gorge, je le fait reculer. Il lève les deux mains en l'air et ne bouge plus, bloquer par la porte fermer.

Le Patronus - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant