L'espionne de la terre brûlée. Tome 1 [TERMINÉ]

Chapitre 8:

Kate

Je me réveille une douleur à la tête insoutenable. Je sentais une respiration calme et chaude dans mon coup. J'ouvris les yeux, et me rendu compte que j'étais dans les bras de quelqu'un, le blond. Newt me tenait dans ses bras. Le soleil commencé à pointé son nez. Il faut partir, pour notre sécurité. Je me détacha et me leva. J'eus un tourni et mes jambes flanchèrent, mais quelqu'un me rattrapa.

- Faut pas que tu te lève aussi vite, après la chute que tu as fait hier. Sa voix été douce et du matin, un voix que je pourrais écouter toute la journée.

Il me posa sur un débris et s'accroupit à côté de moi regardant au loin les débris.

- Je suis désolée pour hier. Je voulais pas, je me sens bête, d'etre tombé comme ça. Désolée. Dis-je mal en point.

- Ta pas à t'excuser. On avait tous besoin de repos toi plus que les autres, et c'est normal après les nuit que l'on à passé. Dit-il.

- Merci. Dis-je dans un souffle avant de poser ma tête sur son épaule.

- Tu as bien dormi ? Me demandat-il.

- Mieux que depuis une semaine et que quand j'étais à WICKED. Dis-je.

- Je sais pas si tu le sais, mais tu as fait un cauchemar, enfin je crois. Dit-il pas sur de lui.

- Ha ouais ? J'ai dit quoi ? Dis-je en me redressant et tournant la tête vers lui.

- C'était flou, et sans te mentir j'ai un peut oublier avec la nuit mais je me rappelle que tu avais dit La tué pas. Je sais pas trop de quoi tu parlais.

- En étant franche avec toi, j'en sais rien non plus, parfois j'ai des bout de souvenirs comme cela. Mais Janson m'a dit de ne pas y prêté attention.

- Janson ? Demanda-t-il.

- Ouais le mec à qui a essayé de nous garder à WICKED. Dis-je un peut gêner.

- Ha oui je vois. Tien ton passe d'ailleurs. Dit-il en tenant une carte que je reconnus aussi tôt. Mon passe! Il l'a gardé! Je me suis dit que tu le voudrais peut être.

- Ho heu merci beaucoup, Newt. Dis-je en prenant mon passe.

- Je le suis permis de le lire. Dit-il gêné. Et j'aurais une question. Dit-il en passant sa main sur sa nuque.

- Oui vasi, je t'écoute.

- Il n'y à aucune information après famille. Je voudrais savoir si...

- Si je connais ma famille ? Dis-je en finissant sa phrase.

- Heu ouais, mais t'es pas du tout obligé de répondre. Dit-il.

- En faite je n'ai aucun souvenir de la famille. Je ne me rappelle pas de mon père, c'est comme si on m'avait effacer tout les souvenirs que j'avais avec lui. Et puis ma mère, je me rappelle seulement qu'un jour elle m'a enlacés tellement fort que j'ai failli m'étouffer, elle m'a accroché ce collier au coup. Et puis plus rien je sais pas si j'ai une sœur ou encore un frère, mais en tout cas on m'a interdit d'aborder se sujet.