Sex-friend

Chapitre 4

Lundi 13 janvier, 08h55.

Natsu

Je baille alors que la sonnerie retentit à travers le lycée, signalant la fin du premier cours.

Enfin... !

Le prof nous donne des instructions à l'oral pour les exercices à rendre au prochains cours mais les premiers sont déjà partie.

Les premier à sortir sont souvent soit les plus rapide, soit les dernier de la classe qui n'en ont strictement rien à foutre du cour et des exercices à faire. À se demander ce qu'ils font dans ce lycée s'ils s'en foutent autant...

Mais bon... J'imagine que ce sont encore les parents qui forcent leurs gosses à suivre des cursus qui ne leurs correspondent pas. Je pensais pas, au départ, que ça existait encore ce genre de comportement mais, visiblement, si. Il arrive parfois que les parents et les enfants aient un désaccord sur l'avenir de ces derniers. Ils veulent devenir des gens simple ou bien ne pas reprendre les rênes de l'entreprise familial, ou bien autre... Dans tous les cas, les géniteurs ont une autres vision de ce que « doit » être la vie future de leurs enfants, et utilise divers procédé pour obliger leur progéniture à leur obéir.

Je trouve ça répugnant.

Combien de rêve, qui était pourtant à porté de mains, ont été brisé par ces parents que je qualifierai presque d'égoïste ? Notre vie appartient-elle à nos parents, sous prétexte que c'est eux qui nous ont crée, nourri, hébergé, éduqué, pendant une partie de notre vie ? Doit-on sans cesse encaisser leur choix sans rien dire ? Sans jamais nous plaindre ? Sans jamais faire entendre notre opinion ?

Nous n'avons jamais demander à naître, comme nous n'avons jamais demander à être hébergé, nourri, éduqué... Ce n'est qu'une obligation que l'état à mis en place, même si elle nous arrange bien dans la mesure où nous ne sommes pas encore capable de gagner notre vie et de nous débrouiller par nous-même. Mais doit-on payer pour ce que nous n'avons pas décidé ?

Je me souviens que, l'année dernière, il y avait dans ma classe, une fille qui avaient des parents un peu « gourou » : ils faisaient comme s'ils lui laissaient des libertés telle qu'aller chez des amis ou sortir un peu la journée, mais en réalité, chaque fois qu'elle demandait la permission, ils refusaient en inventant une excuse. Au début, elle disait que c'était parce qu'elle était la seule fille et qu'ils avaient peur pour elle à cause de la société dans laquelle on vit, mais elle a rapidement changer de discourt lorsqu'ils se sont mit à lui dire d'arrêter de voir ses amis et de s'en trouver de nouveau, qu'ils aurait qui plus ai choisi eux, alors que ces proches n'avaient rien à se reprocher, et lorsqu'ils se sont mit à critiquer tous les métiers ou études qu'elle disait vouloir faire, lui disant également que, de toute façon, elle ne ferai jamais rien de sa vie.

Petit à petit, ses potes se sont éloigner d'elle parce qu'ils avaient réaliser qu'ils ne pourraient jamais la voir en dehors du lycée et que, par conséquent, les années qui allaient suivre, ils ne se verraient que trop peu. Les gens ne veulent pas s'attacher trop à quelqu'un qu'ils ne côtoieront plus dans un future proche, pour ne pas souffrir principalement. Ils ne prirent même plus la peine de proposer une sortie, quel qu'elle soit. Ses parents en profitaient pour lui rappeler constamment qu'elle n'avait pas d'ami, la faisant encore plus souffrir.

Elle avait un petit ami à cette époque, qui était tout juste majeur qui plus est et ses parents n'étaient pas au courant. Un fois, alors que plusieurs prof étaient absents, ils se sont retrouver chez lui et on eu envie de commencer leur vie intime – si vous voyez ce que je veux dire. Ses parents l'ont apprit en fouillant dans son smartphone et lui ont hurler dessus pendant plusieurs heures. Ils n'étaient pas en colère parce qu'elle avait perdu sa virginité, ils étaient en colère parce qu'elle ne leur avaient rien dit, parce qu'elle leur avait caché et que, soit disant, elle n'avait pas le droit d'avoir une vie privé. Ils ont menacer d'envoyer son copain devant le justice si elle n'arrêtait pas de le voir, elle lui a dit, il n'a pas cédé et est rester avec elle.