Amour et passion

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Bakugo me serre contre lui et envoie une explosion sur le sol qui nous envoie dans les airs.

t/p : « Non, Bakugo attend ! Mon frère ! »

Bakugo : « Ferme-là et laisse-moi te protéger ! »

Nous arrivons à mon appartement.

Bakugo : « Fais tes affaires on s'en va.»

t/p : « Comment ça on s'en va ? »

Bakugo : « On ne peut pas rester ici, je dois te mettre en sécurité.»

Avec hésitation je pars préparer un sac d'affaires.

Bakugo : « Si je te donne une adresse, tu peux nous téléporter là-bas ? »

t/p : « Ça dépend à combien de kilomètres ça se trouve.»

Bakugo : « C'est à environ 75 km d'ici.»

t/p : « Je n'ai jamais fais aussi loin ! »

Bakugo : « Essaye quand même.»

Bakugo me tend un papier avec une adresse écrite, je prends une grande respiration et lui attrape le bras.

t/p : « Ça risque d'être violent.»

Bakugo prend une grande respiration lui aussi et ferme les yeux.
Je me concentre et puise dans les quelques forces qu'il me reste.
2 secondes après nous nous retrouvons en pleine forêt.

t/p : « Euh..»

Bakugo désorienté, vomi et reprend ses esprits.

Bakugo : « Ok..hum c'est là.»

Je le regarde sans comprendre, il me prend la main et commence à marcher dans la forêt sombre, quelques minutes plus tard j'aperçois un châlet.

Bakugo : « On est arrivé.»

t/p : « C 'est quoi cet endroit ? »

Bakugo : « C'est à mes parents, je venais en vacances quand j'étais petit, personne ne te trouvera ici.»

Nous entrons et je découvre un endroit chaleureux.

t/p : « C'est génial ici.»

Bakugo pose mes affaires.

t/p : « Tu m'as jamais parlé de-»

Mes jambes flanchent et Bakugo me rattrape de justesse.
Il me porte et me pose sur le canapé.

Bakugo : « Je vais faire un feu.»

Il met du bois dans la cheminée et envoie une petite explosion un peu trop puissante.

Bakugo : « MERDE ! »

Il se retourne et son visage est couvert de suie.
je rigole et lui fait signe d'approcher.
Je prend un mouchoir et commence à lui essuyer le visage.

t/p : « Bakugo, merci.»

Bakugo : « Je te protège c'est tout.»

t/p : « Tu as été enlevé par ma faute.»

Bakugo : « C'était toi ou moi t/p. »

t/p : « Ça aurait dû être moi.»

Bakugo : « t/p Dabi t'as presque violé ! Rien que d'y penser je-.»

J'arrête d'enlever la suie de son visage et plante mon regard dans le sien.

t/p : « N'y pense pas alors.»

Bakugo : « t/p..»

Je prends son visage entre mes mains.

t/p : « Je vais bien, grâce à toi.»

Dompter l'indomptable (Bakugo x Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant