PDV: Lauren
Hmm!!! Ça fait du bien de sentir la brise fraîche du vent dans la nuit caresser mon visage. J'avais besoin de me retrouver un peu seule juste pour ce nuit, alors j'étais parti marcher et redécouvrir cette ville qui m'a vue naître mais aussi dans laquelle j'ai tout perdu. 'Fin presque tout perdu. Perdu dans mes pensées, mes pieds m'ont conduit à cette endroit que je chéri toujours malgré tout les malheureux qui m'ont frappé. Là je suis au sommet d'une colline qui surplombe tout South Beach et la vision que ce quartier donne en plein nuit est tout simplement magnifique et à coupé le souffle. Bien avant de devenir cette ville animé, Miami et recouvre pas une étendue d'espace vert y compris South Beach. Quand j'étais plus jeune, je venais souvent ici pour retrouver mes idées et ne pas être consumé pas la bête qui sommeille en moi. J'avais seulement besoin d'être ici dans ce silence profond, pour être apaisé. Je retrouve ce sentiment là même aujourd'hui après plus de cinq-cent ans à parcourir le monde. Mes pas m'avaient poussé jusqu'ici parce que revenir au manoir Jauregui après tout se temps était toujours difficile pour moi.
En effet, c'est hier que nous avions atterri pour ensuite nous rentre dans mon ancien lieu d'habitation avec ce qui me reste comme famille. Lorsque nous sommes arrivés, les personnes chargées de la propriété avaient déjà fini leur travail guider par ma petite soeur Taylor. Cette dernière avait décidé de prendre la route de chez nous deux semaines avant accompagner de mon frère Chris pour s'assurer qu'a notre retour à tous, elle soit prête à accueillir de nouveau un semblant de vie.
En arrivant, j'avais eu à cet instant des flashs back des événements qui avaient eu lieu dans cette maison pendant ce qui me semblai être 5min. Celà avait été une vrai torture pour moi d'y remettre les pieds, mais je devais le faire non pas pour moi mais pour le reste de ma famille. Lorsque j'étais entré, j'avais pû constater que rien n'avait changé malgré tout ce temps passer, tout était comme s'il ne s'était jamais rien passé. Comme si au niveau du grand salon n'avait pas eu des éclats de voir qui se sont soldés par une guerre, comme si j'avais pas vue ma mère perdre la vue juste à quelques mètres de moi, comme si à l'étage du haut dernière porte à droite n'avait pas était témoin de la disparition de ma...
Ne pouvant pas supporter plus, j'étais sortie et c'est ainsi que je me retrouve à faire une nuit dehors. Pas que celà ne m'est jamais arrivé, juste que commençant les autres; ils allaient s'inquiéter mais je sais aussi qu'ils savaient que J'avais seulement besoin d'être seule un moment. J'inspire un grand coup puis expire avant de finalement m'autoriser à rentrer et enlever l'inquiétude qui je suis sûr règne dans leurs esprits.
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Avant même que je n'ai le temps d'ouvrir la porte, celle-ci s'ouvre sur Normani et je sens déjà que je vais passer un mauvais quart d'heure.
Normani: Mais bon Jauregui!? Tu t'es crû où à la fin?! (Me cri-t-elle dessus, je la dépasse pour entré avec elle sur mes talons) Ho! Je te parle, nous nous sommes inquiétés pour toi!
Demi pris la parole tout en la coupant disant, que c'est plutôt elle qui s'était inquiété pour elle, qu'eux savaient que j'avais juste besoin de respirer quelques minutes. Après avoir reçu un regard noir de Mani, elle levant les mains en l'air en signe de résignation.
Normani: Tu aurais au moins pû dire que tu ne rentrerais pas de la nuit, t'es même partie sans ton téléphone. Qui sort sans son téléphone de nos jours bon sang!!!
Elle continuait toujours de me suivre partout où j'allais, d'abord dans la cuisine pour me prendre une bouteille d'eau, ensuite revenir au salon là où il y avait tout le monde. Pour donc cessé tout ce vacarme que me faisait Mani je pris la parole à mon tour pour lui répond et la calmer.
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I Love A Monster (Camren)
FanficHey les amours, j'suis pas super forte en matière de résumer, donc veuillez m'excuser. Mais si le titre a attiré votre attention, alors je vous invite tout simplement à la lire. Qui sait, peut-être vous ne serez pas déçu. C'est un peu cliché tou...