Ouverture De Rideaux {L.S} ✓ AUTOÉDITÉ

Chapitre 37

Hi! J'espère que vous allez bien?

Merci infiniment pour vos retours sur le précédent chapitre ça m'a touché plus que tout. Merci encore à toutes les personnes qui laissent ces commentaires qui me vont droit au coeur et qui sont tellement importants et touchants à mes yeux.

J'espère que ce chapitre vous plaira!

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CHAPITRE 37

Les masques du passé laissent place aux sourires du présent 

« - Tu oublieras vite ! C'est du passé !
- Oui mais, c'est douloureux.
- Eh oui, le passé c'est douloureux, mais à mon sens, on peut soit le fuir soit... tout en apprendre !" - Le Roi Lion

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(Home_One Direction)

Louis Tomlinson

Je crois que je n'arrive pas à réaliser ce qui est en train d'arriver. Harry est là. Harry est en train de monter les escaliers de ma maison avec moi. Il est là. Il est là depuis quelques minutes seulement. J'ai ouvert la porte et il était là, en face de moi, et m'a sorti la plus belle déclaration de toute ma vie. Ses mots tournent encore en boucle dans ma tête et j'en oublie presque toutes les larmes versées ces derniers jours sans nouvelles de lui. Les mauvaises pensées sont balayées par la joie immense de l'avoir maintenant près de moi. Je crois que mon coeur n'a jamais battu aussi vite qu'à cet instant. C'est puissant, tellement puissant.

L'amour que je ressens pour Harry est plus puissant que tout.

Et je ne peux m'empêcher de sourire en le regardant avancer devant moi jusqu'à ma chambre. Parce que, sans même se concerter, je sais très bien qu'il dort ici cette nuit et qu'il ne compte pas rentrer chez lui. Harry va passer mon anniversaire et Noël à mes côtés et ma mère et ma soeur sont déjà en train de rajouter des couverts de plus pour lui, à table. Pendant que je peux entendre les rires d'Ernest dans le salon, sûrement en train de s'amuser avec Arlo et Moli.

C'est fou comme tout peut changer en quelques secondes, en quelques minutes, en quelques mois... Ces six derniers jours, j'étais au plus bas, ayant l'impression d'être retourné à la case départ. Puis, il suffit finalement d'une seconde de plus pour que Harry se retrouve chez moi, à me lâcher tous ces mots rempli d'espoir.

Jamais je n'aurais pu imaginer vivre cette histoire avec lui au début de l'année. Il était l'acteur mondialement connu aux airs pourri gâté dont je me méfiais. J'étais à la limite de ne pas le supporter. De toute la troupe, j'étais le seul à ne pas être très sympa avec lui, à ne pas mâcher mes mots.

C'est tellement ironique lorsqu'on voit où on en est aujourd'hui. Quand, aujourd'hui, je veux tout faire pour le voir sourire, pour le voir épanouie. Quand, maintenant, je ne peux pas le lâcher des yeux en me répétant que c'est fou d'aimer autant.

On ne sait définitivement pas de quoi demain est fait. Et on juge bien trop vite. J'ai jugé Harry trop vite. Je l'ai jugé sur ce que je voyais de lui. Du moins, sur ce qu'il voulait bien montrer de lui avec son masque imperturbable. Mais ça a été plus fort que moi, plus fort que nous. On a apprit à se connaître, les masques ont commencés à se fissurer..

Et lorsque les masques sont définitivement tombés, je me suis promis de ne jamais oublier le visage d'Harry. Qu'il tente de porter à nouveau un masque ou non, je me suis promis de me souvenir de la lueur dans ses yeux lorsqu'il s'est confié à moi. Je me suis promis de reconnaitre son sourire lorsqu'il est sincère, lorsqu'il pétille.