Kimetsu No Yaiba x Reader [FR]

Akaza x Reader (Part.2)

Akaza x Reader part. 2

(Spoiler)

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PDV (TP)

Nous sommes le lendemain de ma rencontre avec Akaza, et je ne fais que d'y penser.

Moi qui avais prévu de fuguer, j'ai finalement décidée de rentrer chez moi, me sentant obligée d'aider ce cher Akaza. Depuis que je l'avais quittée je ne cessais de penser à lui. Est-ce qu'il va bien ?

J'ai peur que sa blessure ne s'infecte. J'aimerais le rejoindre maintenant mais je ne peux pas, je dois subir l'entrainement de mon père.

Je rejoignais la pièce, muette, et rencontra mon père, l'entrainement commençai ensuite et dura de longues heures qui furent interminables, mon envie de savoir si Akaza allait bien les rallongeaient deux fois plus.

La nuit tombée, je me précipitai dans cette petite cabane à quelques kilomètres de chez moi. Munie d'un sac rempli de matériels médicaux. Il fallait désinfecter la plaie d'une façon plus propre que la première fois ainsi que la nettoyer. J'avais aussi apportée de la nourriture que j'avais discrètement volée dans la cuisine de notre demeure.

Et s'il était parti ? S'il n'avait pas survécu ? Un sentiment désagréable fit son apparition, j'avais cette sensation interminable dû au stress. Un ressentis qui pouvait durer une éternité tant que l'on n'avait pas une réponse qui pourrait le faire redescendre. Et dans cette situation n'importe quelle personne souhaiterait faire disparaître cette sensation, par tous les moyens possible. Alors je fis la chose que je pus le mieux faire, accélérer, marcher plus vite, j'en fini même par courir...

Courir vers cette vieille cabane toute abîmée, le pauvre, je l'avais laissé toute une nuit dans de telles conditions... Il doit être frigorifié, mais je ne reproduirai pas cette même erreur de le laisser seule sans rien, j'ai cette fois-ci apportée des couvertures et des oreillers afin qu'il puisse se réchauffer. Quand hier je l'es laissé seul, je voulais lui rapporter ces couettes, mais mon père m'avait interpelée me demandant d'aller me coucher.

Cela m'étonnerai qu'il se rétablisse en une nuit, je pense qu'il lui faudra au moins plus d'une semaine et encore je suis gentille. Sa blessure est plutôt profonde et à l'air grave.

Je poussais donc la porte et cette fois-ci je ne pris pas le temps de m'assurer que les lieux était sans danger comme la première fois, je me précipitais vers Akaza qui se trouvait exactement à la même place que la veille.

Moi : A-Akaza...Tu dors ?

Il ne me répondit pas et je commençais à paniquer, est-il déjà trop tard ?

Moi : Akaza ! Réveilles-toi ! Je t'en supplie !

J'avançais ma main vers son cou afin de prendre son pouls, je n'eus le temps de presser ma main sur sa veine que mon poignet fut saisis par une main rayée d'épais trait d'un bleu nuit.

Je reconnu immédiatement la main d'Akaza et je levais le regard afin de rencontrer ses yeux jaune qui maintenant m'étaient devenus familiers.

Je lui sautais au cou avant de me rendre compte de cette soudaine proximité et de m'écarter. Il me regardait et je décernais immédiatement son léger sourire narquois qui me fit rougir, quelque chose qu'il avait l'air d'avoir aussi distingué puisque ce sourire s'agrandissait légèrement. J'ignorais instantanément ce qu'il venait de se passer.

Moi : Je te croyais mort, je veux dire, tu ne bougeais plus et...

Akaza : Ta réaction d'humaine était assez amusante à vrai dire.