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Pdv de  dom

La douleur, que de la douleur, c'était la seule chose que je ressentais à présent, j'avais été si stupide de croire que j'avais de la valeur à ses yeux. Il m'avait abandonné, je croyais être sa reine, mais non, il avait trouvé sa <<vraie reine>>, je n'avais donc été rien de plus qu'une simple distraction pour lui. J'étais couchée sur le sol de ma cellule, celle que l'on m'avait attribuée dans cette prison hautement gardée et sécurisée. Mes pieds étaient en suspension dans l'air je les faisaient bougés de temps à autre, tandis que les cheveux bruns étaient étalés au sol. j'étais vêtue d'un simple short blanc, assez léger et d'un demi t-shirt blanc au col long, ma tenue était assez froissée. Je n'étais pas en jaune comme les autre, mon cas était, particulier, et c'est pourquoi, j'avais aussi droit à des traitements de faveur comme des coup de fouets, des injections sensées me paralysée en m'infligeant de la douleur. En somme rien de vraiment extraordinaire, j'étais ici depuis un ans déjà et j'avais cru entendre que le joker s'était trouvé une <<reine>> et une <<vraie>>, il m'avait donc oublié, elle s'appelait HARLEEN QUINZEL, avant de changer son nom en << HARLEY QUINN >>. La reine de Gotham city, mais j'avais cru entendre que la reine s'était faite capturée et qu'elle se trouvait à présent dans cette prison. Je jouais toujours avec mes pieds qui étaient suspendu en l'air avant de m'endormir.

Les jours défilaient et rien ne changeait, les gardes étaient toujours aussi laid, pour passer le temps, je me plaisais à les taquiner. Lorsqu'un de leur supérieur, Gordon ne vienne et ne m'intime l'ordre de le suivre après que les gardes présent m'ai attachée comme une folle, il me conduisirent jusque un endroit où l'on m'a injecté quelque-chose, avant que je ne sois traînée jusqu'à l'extérieur.
C'est à ce moment que je me suis rendu compte qu'il y avait d'autres criminel recherchés qui étaient là, entre outre: deadshot, Diablo, Harley et d'autre dont j'ignorais l'identité. À mon arrivée, tous se sont retournés pour me faire face, j'ai pu apercevoir dans le regard de Harley quelque chose de malsein, elle ne semblait pas vraiment l'apprécier...pas étonnant, j'avais entretenu une << relation >>avec son cher joker avant elle. Je ne lui portais pas plus d'attention que ça, je me suis plutôt consentrer sur Amanda, celle qui d'après ce que j'ai pu constater, avait organisé cette réunion.

_ bien, vous serez sous les ordres du commandant Rick, c'est lui qui se chargera de tout vous expliquez en détail. Dit elle avant prête à s'en allé avant d'être interrompu par moi

_ c'est bien beau tout ça mais, j'ai rien pigé, et franchement, c'est quoi cette histoire, depuis quand ont bosse avec vous !? Nous sommes des méchants, nous tuons et nous semons le chaos. Alors franchement, votre histoire à la con... très peu pour moi ! Dis je avant de me retourner prête à partir, mais les gardes qui m'avait traînée jusqu'ici m'ont bloquée le passage mais je n'étais pas du même avis qu'eux, j'ai donnée un coup de pied dans les couilles d'un des gardes, lorsqu'il s'est abaissé pour émettre une plainte face à la douleur, j'ai enroulé son cou à l'aide de mon pied droit avant de lui faire perdre l'équilibre; je me trouvais à présent allongé au sol, sa tête entre mes cuisses, sur laquelle j'exerçais une pression qui le faisait rougir fortement, il avait mal, et je m'en foutais. Lorsque l'autre garde s'approcha pour me frappée, j'ai laissé le garde précédent pour donner un coup de pied sur le visage de ce dernier.

_ SALOPE! J'VAIS TE TUÉE ! Avait-il crié, il accompagna ses mots en sortant de son arme qu'il points sur moi.

Pauvre fou ! Pensais je. Il tira le premier coup mais j'évite la balle et balance l'arme assez Loin de lui avec mon pied droit, son arme perdu, il sorti un couteau et avant qu'il ne fasse quoi que ce soit, je lui ai arrachée son oreille droite à l'aide de les mes dents avant de jeté son oreille en sang au sol. Il a crié suite à la douleur dû à son membre arraché.. j'ai profitée de ce moment pour récupérer le couteau et me libérer avant de me jeter sur l'arme qui se trouvait au sol, une fois l'arme en ma possession je l'ai braquée sur le garde; prête à tirer. Mais, une voix m'en a empêchée :

LA REINE DU JOKEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant