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Pdv de dom

" J " me tirais de force jusqu'à sa chambre. Une fois à l'intérieur de cette dernière, il m'a jetée sur son lit sans douceur avant d'aller fermé la porte et de revenir vers moi. Il ne semblait pas très content, et c'était peu de le dire. Il était énervé, peut-être à cause de ce qui c'était passé il y a quelques instants. Lorsque je l'ai observé, je me suis rendu compte qu'il était vêtu d'une chemise pourpre qui laissait transparaître son torse et d'un pantalon noir assorti à des chaussures noir, au tour de son cou traînait des chaînes en or.
Il s'avança vers moi tandis que je reculais; jusqu'à ce que mon dos heurte la surface en bois du lit.
Lorsqu'il était dans cet état, il valait mieux ne pas trop le chercher.

_ c'était quoi ce spectacle de merde ! S'écria t-il.

Je devais lui répondre en évitant d'attiser sa colère.

_ je...je n'ai pas aimé la façon dont elle a agit et...

Je ne parvenait pas à former une phrase correcte sans bégayer, le Joker semblait s'impatienter.

_ je n'ai aucune explication à te donner, je ne te doit rien, ce n'est pas moi qui ai décidée de me retrouver ici ! M'exclamais-je Furieuse que je lui doive des comptes alors que tout était de sa faute à lui. Je me suis levée pour m'en aller mais J m'arrêta par le cou de manière violente et de me faire  tomber sur le lit de façon brusque, sa main droite toujours sur ma gorge alors qu'il s'est mit à califourchon sur moi. Il n'était plus énervé, non ! Il bouillonnait de colère.

_ je crois, que je t'ai laissé un peu trop de liberté, poupée !

Suite à ses mots, il augmente sa prise sur mon cou; m'étouffant presque.

_ tu crois que tu es libre !? Que, tu peux faire tout ce qui te chante !? Laisse moi rire ! Tu. M'appartiens. Et ce spectacle que j'ai vu tout à l'heure; tu ferais mieux de faire en sorte qu'il ne se reproduise plus ! Dit-il à mon oreille.

_ quoi !? Le questionnais je avec un petit sourire narquois. Tu as peur que je blesse ta reine !

_ non ! Dit-il d'un voix langoureuse, j'ai pas envie d'un bordel chez moi.

_ va te faire foutre ! Lui crachais je.

_ HA! HA! HA! Poupée, tu m'excites ! Lâcha t-il.

Avant que je puisse comprendre ce qui se passait, J s'est mit à m'embrasser dans le cou. Je voulais le repousser mais, il a pris mes main en otage au dessus de ma tête à l'aide de sa main gauche; tandis que sa main droite arrêtait mon cou. Il me faisait des baisés dans le cou, et malgré moi, cela me faisait frémir de plaisir, il a retiré sa main qui exerçait  à présent une légère pression sur mon cou pour la faire descendre jusqu'à mon short. Il faufila sa main à l'intérieur de mon short pour caresser mon intimité à travers mon caleçon. Face a cet acte, j'ai poussée un gémissement de plaisir. Mr J émettait une douce pression sur mon intimité qui me faisait gémir de plaisir. À cet instant, j'avais oublié que cet homme m'avait blessée; je pensais juste à sa main qui me procurait du plaisir. Mr J à légèrement déplacé mon caleçon et a enfoncé son doigt en moi d'un coup.

_ ahhhhh ! Ai-je criée.

C'était tellement bon, j'avais oubliée combien c'était plaisant. Mr J s'est mit à faire des va et vient en moi avant d'introduire deux autres doigts. Je me sentais toute chaude, j'aimais ce qu'il me faisait mais j'avais aussi honte d'aimer ça après ce qu'il m'avait dit avant. Avec son pousse, Mr J s'est mit à caresser mon clitoris. Je bougeais à présent au rythme de ses allés; à la recherche de plus de plaisir. Il avait laissé mon cou pour venir m'embrasser. Il  a entré sa langue dans ma bouche et s'est mis à jouer avec la mienne avant de pincer fort mon clitoris; me faisait atteindre l'orgasme dans un cri.

Mon dos était cambré, ma respiration haché et mes yeux humides. J'essayais de me remettre de ce orgasme alors que Mr J à enlever sa main de mon intimité pour se lécher les doigts avant de se redresser complètement et de s'éloigner du lit.

_ tu ferais mieux, de prendre une douche poupée ! Dit-il avant de s'en aller en claquant la porte.

J'étais encore couchée en repensant à ce que nous avions fait. À cette pensée, mon intimité s'est mise à palpiter. Je me dégoûtais parce que j'avais aimé ça et que j'en voulais encore. " Il avait fait exprès " pensais-je avant de me lever et d'aller la salle de bain. Une bonne douche me ferait certainement du bien.

                             

Après une bonne douche, je me suis rendue compte que je n'avais pas de vêtements. Je ne comptais pas aller en demandé au joker, surtout pas après l'humiliation qu'il m'avait fait subir; et je ne pouvais pas non plus aller voir Harley, elle devait probablement me garder rancune après ce qui s'était passé. Je ne voulais pas non plus donner la satisfaction à Mr J, en portant une de ses chemise. J'étais coincée. Je n'avais donc pas le choix. J'ai pris la serviette blanche qui se trouvait dans la douche et je l'ai attachée tout autour de mon corps. Elle m'arrivait au milieu des cuisse et sous ça, je n'avais rien. Mes vêtements de tout à l'heure étaient tachés de sang. Je ne pouvais donc plus les revêtir. J'ai donc décidée de resté dans la chambre de Mr J ;  mais, mon ventre ne semblait pas du même avis que moi. Au bout d'une heure, je me suis mise à avoir faim. J'essayais de calmer cet envie mais, plus j'essayais et plus elle devenait insoutenable. " Il ne devait sûrement y avoir personne en bas à cet heure " essayais je de me convaincre.
Je suis descendue en passant par l'autre côté, les escaliers à droite de la chambre de Mr J. Une fois dans la cuisine, je me suis dirigée vers les placard à la recherche de quelque chose à grignoter. Je voulais prendre des olives pour me faire les sandwichs vote fait avant que quelqu'un ne me voit. Mais, les olives se trouvait dans un placard assez haut, je sautais pour les atteindre mais, rien à faire. Lorsque j'ai eu une idée; je suis montée sur le comptoir et j'ai enfin pu prendre le bocal d'olive; lorsqu'une voix ma surprise.

_ tu peux m'expliquer, poupée ! Tonna la voix de joker. Il semblait irrité.

Suite à la surprise, j'ai lâché le bocal qui s'est brisé une fois en contacte avec le sol. Je me suis retournée pour voir Mr J. Il semblait en colère, comme tout à l'heure.

_ c'est quoi, cette tenue !? Gronda t'il. J'essayais d'éviter son regard et c'est à ce moment que je me suis rendue compte que je n'étais pas seule comme je le pensais au départ mais, que certains des hommes du joker se tenait à certaines place du salon. Ils devaient sûrement surveiller les lieux, je ne m'étais même pas rendu compte de leur présence et encore moi de celle du joker. Ses hommes avaient le visage baissés et ils avaient l'air gênés.
La seule chose que j'ai trouvée à faire à ce moment...c'est de rire, un rire nerveux. Le joker, lui par contre ne semblait pas être d'humeur joueuse.

_ tu ne vas pas me croire ! Commençais je en rien nerveusement. Après que je me sois lavée. Je me suis rendu compte...qu'en faite...j'avais pas de vêtements et encore moins de sous vêtements.

L'expression du joker sembla encore plus irrité lorsqu'il a compris que sous cette serviette, j'étais toute nue.

_ et...je pouvais pas te demander de l'aide, puisque, je te serais devenue redevable; alors...j'ai pensée que...

_ t'as pensée à te balader à poil ! C'est ça poupée !

_ pas tout à fait...je...j'ai ! Je n'arrêtais pas de bégayer alors que c'était de sa faute si je me trouvais dans cette situation. C'est aussi de ta faute, si tu ne m'avait pas demandée de me laver en sachant que je n'ai pas de vêtements, on n'en serait pas ! M'écrivais je avant de descendre du comptoir et d'essayer de m'en aller sans compter sur Mr J qui ne semblait pas d'accord.

_ écoute moi bien poupée ! Murmura t'il à mon oreille. La prochaine fois que tu te balades comme ça, j'te prends là ! Sur place ! Alors, tu ferais mieux de réfléchir à deux fois avant de te balader vêtue de cette façon. Dit joker avant de me laissée. Maintenant dégage ! Dit t'il.

Ne voulant pas l'énerver d'avantage, je suis retournée dans sa chambre par où j'étais d'abord passée. Mais j'avais pu entendre Mr J demandée à Johnny de m'acheter des vêtements. À cette pensée, j'ai sourie sans savoir pourquoi...


















To be continued...

LA REINE DU JOKEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant