chapitre 11

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🛑ce chapitre peut contenir des scènes sensible, dès que ce sera le cas, ce petit sigle:🛑 sera présent pour vous préserver.
Pour la part, il n'y  tien de choquant mais je ne connais pas votre degrés de sensibilité donc vaut mieux prévenir que guérir.
Je suis responsable de ce que j'écris mais pas de ce que vous décidez de lire. Sur ceux bonne lecture.
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*PDV Luna*

Cela fait maintenant plus d'un mois que nous avons déménagées avec ma sœur, tout ce passe bien pour le moment, on progresse bien et on s'entend mieux avec nos "colocataires".
Cependant, cette situation me stress beaucoup, de savoir que ma sœur va être exposée à tout ça, et puis le fait que notre vie est changée aussi vite.
Je suis de plus en plus apte à mes crises.
En effet, si il y a bien une chose dont je n'ai parler à personne hormis ma sœur et Nya par non choix, c'est que j'ai des tendance schizophrène qui me font souffrir énormément lorsque je ne prend pas mes médocs.
Le problème, et bien c'est que mes pilules, et ben... ils ne servent plus à grand chose, je ne ressent plus rien quand je les prends. Je suis obliger de constamment augmenter les doses, tellement que ça en devient absurde.

J'ai une solution mais Mad ne va pas être contente, je lui avait promis de ne pas recommencer....

Je suis assise sur mon lit, toujours habillée tandis que tout le monde dors dû à la nuit.
Je souffle et regarde du coter de ma sœur, qui dort profondément.

-Désolé....

J'enfile un sweat, met ma capuche, prend tout ce dont j'ai besoin et sors.
Je file du monastère très discrètement.
Je retourne à notre ancien appart, qui nous appartient toujours.
Je monte à l'étage, la où il y a mon ancienne chambre et m'avance devant un endroit très précis de mon mur.
Je le caresse du bout des doigts en réfléchissant.
Je souffle finalement et retire un bout de plache que j'avais pris soin de cacher.
Je sors de ma cachette un paquet de billet, un masque et mon coteau a cran. Je sors la lame de mon couteau pour voir son état et une fois fais, je la range dans ma poche.
Je sors de nouveau dehors et me dirige vers un endroit que je ne connais que trop.

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🛑 on va arriver à un moment ou l'on va parler de violence, drogue, sang et tout autre chose comme cela, certes, rien ne sera trop explicite mais je préviens quand même au cas ou🛑
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Je finis dans une ruelle mal famé. Je passe sans demander mon reste, il y a une odeur de fer dans l'air et les pavés parfois recouvert de quelques marques pourpres. Je souffle une nouvelle fois.
Toujours cachée sous ma capuche et derrière mon masque, je me fais reluquer par tout le monde dans la ruelle. En temps normal j'aurais fais une remarque mais la je sais que je dois fermer ma gueule et continuer.
J'arrive enfin devant la porte du soulagement.
Je tape à la porte de façons bien précise et particulière.
Un mastodonte m'ouvre la porte et me conduit dans le bureau de quelqu'un.

-??: Et bien et bien, cela faisais longtemps.

Je prend mon aire confiante, même si je ne le suis pas tant que ça et je lui répond avec un sourire dans ma voix.

-Luna: je t'es manqué Rafaël ?
-Rafaël: ahah, ton humour oui, et bien ma chère, qu'es ce qui t'emmène dans cet endroit ? Tu cherche à te faire des billets ?
-Luna: non, je viens t'acheter de la marchandise...

Je jette le paquet de billet sur son bureau.
Le dit Rafaël regarde ma liasse et me souris.

-Rafaël: tu as frapper à la bonne porte.

Il ouvre un des ses tiroirs et en sors des sachets. Dedans, de petites pillules blanches.

Je prends le sachet et m'apprête à partir avant que le mastodonte se place devant moi. Il me regarde de haut et je me retourne.
Rafael à perdu son sourire.

-Rafael: je t'aime bien Luna et j'ai appris pour tes récentes relation, ne fais juste rien qui m'obligerait de te retrouver.

Je hoche la tête et il claque des doigts. Le mastodonte me raccompagne dehors.

Je me remet à marcher dans le froid. La pluie commence à tomber. Super !
Je marche, je marche, je marche.
J'arrive enfin a la sortit du quartier quand je sent quelqu'un m'appeler.
J'attrape mon couteau dans ma poche sans pour autant le sortir.
Je me retourne, le regard inexpressif.
Il s'agit d'un mec qui a l'aire complètement défoncé.
Il déblatérer des choses incompréhensible en s'approchant de moi. Il sors un couteau et me plaque contre le mur. Je dois partir et vite.
J'attends un moment d'inattention de cet homme et, sans réfléchir, je sors mon couteau et appuis sur le cran.
La lame sors et pénétre dans son ventre. Du sang coule. L'homme est choqué et j'en profite pour le pousser violemment et partir en courant.
Je cours le reste du trajet et je ne prend même pas la peine de retourner dans notre ancien appart. Je entre directement au monastère.

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✅a partir de la, c'est safe✅
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Je fonce discrètement à l'intérieur. Cependant, quand j'ouvre la porte, je vois de la lumière. Merde...
Je lève la tête et vois tout le monde me regarder.
Je garde mes mains dans mes poches, et essaye de passer sans me faire interpeller mais....

-Mad: Luna ! Tu m'as fait peur ! Tu étais où encore ?

Ma sœur se jette sur moi.

-J'arrivais pas à dormir alors je suis parti faire un tour, c'est tout.
-Kai: avec un masque ?
-oui, j'aime bien, t'as un problème ?
-Kai: désolé de trouver ça légèrement étrange quand même.
-Cole: on se calme, tout le monde va bien, on peut aller se coucher et en reparler demain, de plus on a beaucoup à faire justement demain.
-Kai: tu étais ou ?
-Cole: Kai, arrête, à part la brusquer tu ne vas rien faire de plus.
-Kai: je m'en fous !

Il s'approche de moi.

-Kai: tu étais ou et tu faisais quoi ?
-rien.

Je lui répond d'une voix froide. Bizarrement, il ne me croit pas, que c'est étonnant.

-Kai: c'est quoi ça alors ?

Il sors mon couteau de ma poche. Comment il a fait ça ?!

-rend moi ça !
- Kai: tu nous explique ce que tu fais avec de un une arme interdite mais en plus recouverte de sang ? Et ta main ?!

Je regarde ma main. Je crois que je suis dans la merde. Je tourne la tête vers Mad qui elle a compris et semble refuser de le croire.
Ça me met les nerfs. Je récupère mon couteau et pousse Kai violemment.

-J'ai dis, FOUS MOI LA PAIX !

Il recule mais se replace devant moi.

-Kai: Non ! On est ici pour protéger les gens de cette ville, alors quoi que tu es fais, je veux des explication de à qui appartient ce sang !
-A toi dans deux minutes si tu ne me laisse pas tranquille.

Cette fois ci, je passe vraiment et pars m'enfermer dans notre chambre de fille.
Mes mains commence à trembler.
Je sors mon sachet de pillule et j'en prend une.
Je me sent instantanément mieux et m'allonge en fermant les yeux dans mon lit. Je suis réellement dans la merde...

Les deux sœur (ninjago)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant