Simplement te revoir (Dabi x Reader) [TERMINÉ]

Bonus 1 : Noce

C'était au mois de juillet, un jour d'été chaud qu'il nous faisait suer à chaque mouvement exécuté. Ce jour d'un température insoutenable était pourtant l'un de mes plus beau jour de ma vie.

La cérémonie était très calme, il n'y avait presque personne à part nos rencontres très proches et nos quelques voisins, je dirais une vingtaine d'invités.

La fête se déroulé en extérieur plus précisément dans le jardin de notre nouvelle maison. Nous avions installé un sol pour l'occasion afin que chacun puisse danser à se guise. La soirée était très agréable, je dansais en enlaçant ma moitié. La fête ne s'est pas éternisée, nos derniers invités nous ont quittés pour une heure du matin.

Mon amant... je veux dire... mon époux ! M'a fait comprendre en fin de soirée son envie de... de monter dans la chambre conjugale... depuis mon entrejambe me démange... sans ajouter les nombreux pic qu'il me lançait depuis le début de la fête, entre des mains baladeuses, des chuchotements suaves à mes oreilles, ou encore des baisers...

Lorsque nous saluons le dernier couple, nos regards se sont alors croisés, nos visage affichaient un rire complice.

Toya : j'en peux plus ! J'ai atteint ma limite ! Dit il le sourire au lèvre.

Il me porta dans ses bras, tel une princesse... je pensait que ce genre de situation n'arrivait que dans les films...

T/p : Wouh ! Et qu'est-ce que tu comptes me faire ?!

Toya : n'est ce pas évidement ?

T/p : hmm non ? Je ne vois pas ! Montrez moi mon cher époux...

Toya : avec plaisir ma chérie !

Tout en continuant à me porter à bout de bras il m'embrasse étonnamment très calmement. Sa langue s'immisce lentement dans ma bouche, rendant le baiser plus humide qu'il ne l'était. Ce moment me parut comme une éternité. Nous séparons nos deux têtes l'une de l'autre doucement.

Toya : il faudrait peut-être renvoyer les cuisiniers... me dit il droit dans les yeux.

T/p : quoi...

Nos regards se dirigent vers la cuisine, où nous trouvons nos deux cuisiniers la vaisselle à la main, nous regarder, le bouche grande ouverte avec une face qui tournait au rouge pivoine.

T/p : vous pouvez partir, nous rangerons demain.

Cuisiniers : oui madame ! S'écriaient t ils avant de quitter les lieux très rapidement.

Toya : nous pouvons enfin monter...

Il me pose et me prend la main tout en montant les escaliers. Je l'aurai pensé plus excité par la situation. Mais cela montre un aspect plus doux de sa personnalité.

Nous entrons dans la chambre, il ferme la porte derrière nous. Il s'arrête et semble me contempler.

T/p : qu'est-ce que tu fais ?

Toya : je te regarde, n'ai je pas le droit ? Laisse graver ce moment dans ma mémoire. C'est sûrement la dernière fois que je te vois porter cette robe...

Ce silence est plaisant, mais me fait me sentir de plus en plus stressé... Pourquoi ? Nous l'avons fait temps de fois ! T/p, calme toi ! Je peux sentir mon cœur battre de plus en plus fort dans ma poitrine.

Il se décide enfin à rompre ce silence, en s'avançant lentement près de moi.

Toya : tu es stressée ? Me dit il doucement à l'oreille.

Ne savant quoi répondre, j'attrape avec douceur son cou pour y déposer quelque baiser. Il me serre, et défait un par un les boutons de ma robe. De mon côté, je lui déboutonne la chemise, dévoilant son torse.

Nous finissons tout deux en sous-vêtements. La tension monte. La douceur de ces dernières minutes s'évanouit et laisse place à la fougue. Cette chaude soirée d'été se fait enfin sentir; à peine arriver sur le lit, nos baisers se font plus intense et en très peu de temps nous perlons déjà de sueur.

Ses doigts à l'intérieur de moi font des mouvement rotatifs. Quand à moi je caresse son membre déjà bien durci.

Toya : avons nous besoin de lubrifiant ? Mmh ! Visiblement non... tu es déjà bien assez mouillé.

Il tend tout de même sa main vers la table de nuit afin d'y prendre un préservatif.

T/p : attend !

Toya : hm ?

T/p : je pense que nous pouvons le faire sans ce soir...

Toya : tu es sûr ?

T/p : oui.

Il se rapproche de moi et colle son bassin au mien.

Toya : j'aimerais le faire doucement pour apprécier chaque moment.

T/p : tu es sentimental aujourd'hui, c'est étonnant !

Toya : c'est la première fois que je fais l'amour à mon épouse, dit il en insistant sur ce mot qui sonnait comme une mélodie à mes oreilles.

Il s'insère lentement en moi. Depuis toujours nous avons toujours couché avec passion, jamais il nous était arrivé de le faire en douceur. Cette sensation toute nouvelle me fit jouir immédiatement quand je le senti au fond.

Toya : tu... tu as joui ? Je viens seulement de la mettre, t'as quel âge? 15 ans ?! Se moque t il

T/p : c'est déjà assez gênant comme ça, arrête de rire.

Toya : tu sais que je vais quand même continuer, je n'ai pas encore fini.

Il se retire puis s'enfonce lentement mais sèchement. Ces coups sont lent mais très fort. Cette nouvelles façon de baiser et tellement plus intense, je le sens bouger en moi plus distinctement.

Je savais que cette cadence n'allais pas le satisfaire, cinq minutes plus tard ses vas et vient se font de plus en plus rapide.

T/p : ne te retiens pas, baise moi comme tu l'aimes.

À mes mots, il me claque les poignets arrière et soulève mon bassin. Des grognements se font entendre dans toute la chambre.

Il s'enfonça très profondément et jouit à l'intérieur. Je peux sentir sa semence me remplir.

J'ai chaud, cette chaleur est insupportable, nous sommes recouvert de sueur, nu, et essoufflé.

T/p : c'était bien dis je en tentant de reprendre de l'air.

Toya : ouais carrément...dit il satisfait

...

Toya : deuxième round ?

T/p : ouais !

C'est ainsi que s'est achevée notre nuit de noce.

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Voici le premier bonus, il n'en reste plus qu'un avant que l'histoire s'achève véritablement ! Je tiens à préciser que se fût le dernier lemon de cette fanfic !
Merci pour vos lectures