Bruised Heart

Troisième chapitre: Monstre.

L'homme me balança violemment dans les airs avec la seule force de sa main qui m'agrippais le poignet jusque-là, j'atterrit dix mètres plus loin glissant sur des bouts de verre qui me couper à différents endroits du corps et fini ma course sur le bord de la terrasse, encore quelques centimètres de plus et je tombais du dernier étage. Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits, j'avais mal à la tête, je passais une main sur mon front et y constatai la naissance d'une bosse, je me retourner pour voir le type qui m'avait jeté, il était à présent debout et marché dans ma direction. Péniblement, je me redressai sur mes jambes, et manquai de basculer dans le vide, le vent étais si fort que mes cheveux fouettés mon visage, il se rapprocher dangereusement de moi, ses lèvres esquissées un sourire malsain, j'étais à présent complètement apeuré, mes yeux me brûler, je sentais une larme perlé sur le coin de mon œil droit, il faut que je survive, je ne peut pas mourir, pas après tout c'que j'ai vécu, je me ressaisit et regarder tout autour de moi, trouver une solution, une échappatoire et là comme un miracle, j'aperçus cacher sur le coin de la terrasse, dans un angle en béton, quelque chose qui n'était pas visible de l'intérieur du bureau, une porte de secours. J'entrepris de courir très vite vers la sortie, mais quand je détournai la tête l'homme m'avait déjà rattrapé, il empoigna rapidement mes cheveux et me tira fortement en arrière, si bien que mon dos heurta son buste, un petit crie sortis de ma bouche lorsque mon mal de crâne devint instantanément plus intense. Il était grand, et me dépasser bien d'une tête malgré mes talons, "où croyais vous aller comme ça ? Vous pensier vraiment pouvoir échapper à quelqu'un comme moi ?" Je ne sue quoi répondre, je me préparer psychologiquement à la suite, "pauvre petite humaine complètement apeu..." Le silence, j'avais gardé les yeux fermés jusque-là, sa main avait légèrement relâcher ma chevelure brune, qu'est-ce qu'il lui prend ? Quand je relevai prudemment les yeux pour voir son visage, il fixé quelque chose dans le ciel, je suivis son regard, mais il n'y avait rien, c'est vrai, plus rien, plus de monstres, de navette ou de faisceau lumineux, j'étais contente que le chaos soit terminé, mais mon bonheur fut de courte durée quand l'autre se rappela à mon bon souvenir en prenant la parole "vous la Mortelle ! Vous venez avec moi", il lâcha mes cheveux et attrapa mon bras, il marché vers la sortie que j'avais vue plus tôt, il allait si vite qu'il me traîner presque, "venir où ? Où m'emmener vous ?" Il ne répondit pas essayant d'ouvrir la porte, qui apparemment, nécessité un code comme pour l'ascenseur, le gars fut légèrement agacé, mais en un seul coup de pied la porte s'effondra, j'avais la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés alors qu'il continué a me tirai jusqu'un escalier qui prolonger la sortie de secours, il n'est pas humain, comment a-t-il fait cela ? Nous dévalons les marches si vite que j'en perds une chaussure, je n'ose plus parler, trop effrayé par ce qu'il pourrait se passer si j'ouvrais la bouche. Après une descente interminable, il y a une autre porte, mais celle-ci n'a pas l'air d'avoir de sécurité, l'homme s'arrêta quelques instants, et une lueur verte l'enveloppa, je ferme les yeux éblouit par cette lumière et quand je les rouvres ce n'est plus le même gars, lui à des cheveux blond, et des vêtements différents, on pourrait croire monsieur tout le monde, "c'est pas vrai... Où est l'homme de tout à l'heure ?" Je m'adresse à cette nouvelle personne face à moi, et celle ci me lance un regard amusé en me disant "quelle naïveté" puis il ouvre la porte qui nous mène tout droit à l'extérieur. Le passage des créatures à laisser des traces, tout est détruit, il y a des gens qui pleure, qui crie et des corps partout, tout est dévasté, je suis anéantie, ça me rappelle trop de souvenirs douloureux, je voudrais aider toutes ces personnes, mais l'homme blond qui me tient toujours le bras, m'en empêche, il continue sa marche jusqu'à une voiture, qui est dans un bon état comparé aux autres, la portière côté conducteur est ouverte et les clés sont sur le contact, son propriétaire à sûrement du se cacher dans un bâtiment lors de l'attaque, mon ravisseur me jette sur le siège face au volant et ferme la porte, la seconde suivante il est sur le siège passager à ma droite, il pose sa main sur mon épaule et se rapproche de mon visage "maintenant vous aller attentivement m'écouter, vous allé me conduire hors de cette ville, dans un endroit isolé, si vous tenté quoi que ce soit, vous aller fortement le regretter" comme pour appuyer ses propos, je sent une vive brûlure parcourir tout mon être , ça fait si mal que mon corps se raidit, la lueur verte de tout à l'heure, irradie mon épaule droite là où son posé les doigts de la personne à côté de moi, cela dure à peine quelques secondes, quand enfin le mal cesse, qu'il n'y a plus de lueur, j'essaie de reprendre mon souffle péniblement et j'ai les yeux emplis de larmes, de douleur oui, mais de peine surtout, cette souffrance m'en a rappellé une autre. Avec toujours ce même sourire condescendant, il me regarde et dit "m'avait, vous bien compris ?" Je fis oui de la tête, "je vais donc vous laisser la vie sauve" il s'assit correctement sur son siège et me fit signe d'y aller, je démarrai la voiture et roulé vers la sortie de la ville, je resté silencieuse, je ne voulais même pas savoir ce qui s'était passé, ou comment avait-il fait tout ça, mais une chose est sûre, ce type est un monstre !