Quatorzième chapitre: La marque.

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Cela fait maintenant sept jours que je suis enfermé avec le dieu du chaos et je n'en peut plus. Je veux retrouver ma liberté. Mes journées sont rythmé par les interrogatoires du dieu Loki, auxquels biensur je suis obligé d'assister à cause de ce dernier. Nick fury essaye de découvrir où se trouve Mlle Foster et demande ma libération, l'agent Romanof et Thor le questionne également, mais malgré les différentes méthodes utilisées cela ne fonctionne pas. Plutôt que de craquer ou de se mettre en colère, le dieu Fourbe semble bien au contraire s'amuser grandement, il a le don d'énerver l'équipe, Thor es le premier à manquer de patience avec son frère, à mesure que les jours passe il perd de plus en plus l'espoir de retrouver Jane encore en vie, la fatigue ce lis d'ailleurs sur son visage alors que celui de Loki rayonne presque. Là seule chose que Loki à demander est qu'on lui rende son sceptre en échange de la jeune femme, malheureusement j'ai appris que personne ne l'a retrouvé après le chaos de New York, mais ça le dieu de la ruse ne le sait pas. Nous avons également la possibilité d'aller nous laver dans une petite salle de bain à l'extérieur de la cellule, bien entendu lorsque le dieu fait sa toilette il est toujours accompagné d'un des membre de l'équipe des Avengers, la plupart du temps c'est son frère qui s'en occupe. Je profite de cette absence journalière pour discuter avec mon père soit avec le cellulaire qu'on m'a fournit ou de vive voix quand il se trouve sur place, ces brève conversation me permette de retrouver un semblant de vie. Je me surprend également à entamer plusieurs fois la conversation avec mon geôlier, je le questionne sur Asgard et les autres monde qu'il a pu visité, sur sa vie passé, sa magie, il reste assez vague sur ses liens familiaux mais répond facilement à toutes mes autres demandes, les expressions qu'il affiche sont généralement froide mais lors de nos entretiens ses traits son ravis, sa bouche presque souriante et ses yeux brille d'un bel éclat à mesure qu'il parle de faune et de flore, de dragon, de pouvoir, tant et si bien que dans ses moments là j'ai la sensation de parler avec un homme amical et je suis complètement fasciné par toutes ses choses plus incroyable les unes que les autres. J'avais bien entendu tenté de lui parlé de la libération de l'astrophysiciene mais il ne fait pas preuve de la même patience avec moi qu'il a pour les autres, il se met tout de suite en colère puis se mur dans le silence.

Un autre lit de camp a était ajouté à la pièce afin qu'il n'y ait aucun dilemme quand à l'utilisation d'un unique couchage pour deux, je passe d'ailleurs beaucoup de mon temps à m'y allonger pour éviter tout contact physique avec mon compagnon de cellule qui apprécie faire quelque pas dans l'espace restreint que lui offre là pièce et toute mes nuits sont envahit par mes cauchemars habituelle, lorsque je me réveille en sursaut loki me fixe d'un oeil interrogateur mais ne dis rien, sûrement n'en a t'il rien à faire. Quand c'est lui qui dort, ce qui est plus rare, je ne peut m'empêcher de le regarder, et mon coeur palpite à chaque fois que mes yeux se pose sur ses lèvres, c'est à ce demander si je n'ai pas attrapé le syndrome de Stockholm. Il n'y a pas que cela qui est bizarre ces derniers temps je me sent de plus en plus étrange, comme ci mon corps était parcouru d'électricité, ce n'es pas douloureux bien au contraire, c'est plutôt comme un second souffle, une nouvelle force qui me fait sentir plus vivante, je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être que toute cette aventure me rend plus forte de jour en jour, ou la présence de cet être magique me pousse à lutter pour ma survie et me donne l'adrénaline nécessaire à cela, dans tous les cas j'ai bien besoin de ce petit plus en ce moment.

Un jour comme un autre commence, Loki à étais conduit par son frère hors de la cellule afin de faire sa toilette, je souffle énervé par la perspective de finir mes jours enfermé entre ses quatres murs, quelqu'un viens frapper à la porte me faisant sortir de mes pensées négatives.

Moi: "Oui?" (ton lasse)

La porte s'ouvre sur l'agent Barton, je ne l'ai pas revue depuis l'incident de la base. À part un bras en écharpe et un hématome sur la joue, il à l'air d'aller bien. Je suis vraiment contente de le voir. Il affiche un léger sourire.

Bruised HeartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant