vingt-cinquième chapitre: Révélation nocturne.

3.3K 174 22
                                    

Ci dessus Sarah Davis en photo.
(N.A: désolé pour L'attente mais j'ai eu peux de temps pour écrire. Je vous laisse profiter, j'espère avec plaisir, de ce nouveau chapitre qui comme promis dans ma dernière n.a parle du passé de Grace.)

La promenade nocturne aura au moin eu le goût de me dessaouler quelques peu, même si je ne suis pas encore complètement maître de mon corps, mon esprit est clair et n'es plus embrumé. Une fois arrivé au palais nous nous séparons de la petite troupe que constitue Thor et ses amis. Loki lui me raccompagne jusqu'à mes appartements sous les yeux inquisiteur de Daemir qui marche dans la même direction. Lorsque nous sommes devant ma porte je rentre la première et Loki fait mine de me suivre, mais Daemir l'arrête à l'entrebaillement de la porte en se postant entre nous deux.
Daemir: "C'est ici que vous laissait Miss Davis."
Loki sourit devant le visage inflexible du garde. J'interviens avant qu'un mot de trop ne sorte de la bouche du prince afin d'éviter toute altercation.
Moi: "C'est bon Daemir il peut entrer."
Il me regarde étonné.
Daemir: "Mais il est..."
Moi: "Il me faut lui parler."
Daemir: "Très bien, je reste devant la porte jusqu'à ce qu'il s'en aille."
Moi: "Ça ne sera pas nécessaire, allez plutôt vous reposer, d'accord?"
Daemir: "Je préfère rester ici par précaution."
Moi: "Non s'il vous plaît, cela me mettrais mal à l'aise de vous savoir faire le pied de grue alors que vous devez être fatigué. Et promis, si il fait quoique ce soit de répréhensible je vous préviendrez ne vous inquiétez pas."
Il semble longuement hésité mais fini par approuvé et part en direction de sa chambre non sans lancer des regards haineux à l'attention du dieu de la ruse qui lui n'a toujours pas quitté son sourire ravi.
Loki s'installe sur un des fauteuils posés près des rideaux de la terrasse, pendant que je m'assois sur le bord du lit.
Loki: "tu voulais donc me parler."
Moi: "Oui, enfin je ne suis plus très sûre à présent."
Loki: "Tu a toute mon attention, que voulais tu me dire a cette heure tardive de la nuit?"
Il sourit comme ci la raison qui m'a poussé à le laisser entrer dans ma chambre n'est que futile alors qu'elle ne l'est pas.
Moi: "Loki si tu n'es pas sérieux je ne dirais rien."
Loki: "Je suis toujours sérieux."
Moi: "Non tu ne l'est pas."
Il fait mine de s'offusquer et ça m'agace.
Moi: "Tu sais quoi, ce n'est pas important, tu peux t'en aller."
Je me lève pour aller prendre un habit pour dormir et en quelques secondes le dieu est dans mon dos. Je sent son souffle sur ma nuque alors que ses doigts viennent attraper mes hanches et me font pivoter pour me retrouver face à lui. Il me fixe l'air grave et mon regard se plonge dans le sien. Je respire avec difficulté comme à chaque fois qu'il se tient près de moi.
Loki: "Je veux vraiment savoir ce que tu voulais me dire."
Lorsque c'est lèvres bougent pour s'exprimer j'ai du mal à rester calme et ne pas les saisirent pour les embrasser.
Moi: "Si tu est trop près de moi je n'y arriverait pas."
Une lueur d'étonnement traverse ses irisse vertes. Puis il me sourit brièvement, avant de reculer de quelques pas pour me laisser m'exprimer. Je baisse la tête en soufflant et reprend peu à peu pied avant de lui faire de nouveaux face.
Moi: "Te rappelle tu m'avoir demandé de quoi était fait mes rêves?"
Loki: "oui."
Moi: "Et bien en faite je fais le même cauchemar depuis des années, j'y vois ma mère et elle ne cesse de me rappeler à quel point j'ai étais cruel avec elle."
Loki: "Qu'à tu fait pour te dire cruelle?"
Moi: "Je suis la cause se sa mort."
Ses yeux s'écarquilles d'étonnement devant mon propos. Je ne sais pas si c'est l'alcool qui coule encore dans mes veines ou simplement le faite que j'ai besoin d'en parler à quelqu'un qui me pousse à dévoiler mes souvenirs mais je commence le récit de mon passé devant l'oreille attentive de celui qui m'a marqué.

Huit ans et quelques mois plus tôt.
-Washington.

La jeune fille se fixe dans le miroir, elle se maquille d'un trait d'e-liner pour souligner ses yeux en amandes et faire ressortir ses prunelles grise. Après s'être fait un chignon en fouillis elle se déhanche sur une musique de Britney Spears qui passe à la radio. Quelqu'un vient frapper à la porte de la salle de bain.
Patty la Servante: "Mademoiselle vôtre mère vous demande de vous dépêcher vous allez être en retard pour vôtre cours de violon."
L'adolescente souffle, sa bonne humeur apparente c'est instantanément envolée.
Grace: "j'arrive." répondit-elle agacé.
Puis elle entend les pas de Patty s'éloigner.
Elle n'a pas envie d'aller à ce maudit cours, elle n'a d'ailleurs plus envie d'aller à aucun cours depuis qu'elle a découvert le secret de ses parents. Depuis ce jour où elle est entré dans le bureau de son père pour y chercher un des nombreux album photos et qu'elle les a vue là, caché entre deux dossiers les papiers administratif de son adoption. Elle se rappelle tout d'abord l'avoir nier, caché dans un coin de sa tête, elle ne pouvait pas et elle ne voulait pas tout simplement le croire. Comment aurait-il pu lui cacher se genre de chose? Il lui a fallu deux jours pour enfin éclaircir les choses avec ses parents. Au début ils étaient gênaient, mal à l'aise que leur fille unique sache la vérité dont ils ont tant voulu la préservé. Puis ils ont tenté de discuter, de la rassurer sur le faite que ça ne changeait rien, qu'ils l'aimaient plus que tout peu importe que le sang qui coule dans ses veines ne soit pas de leur union, mais Grace voulais connaître la vérité sur ses origines, c'est son père qui lui expliqua comment ils l'avaient trouvée sous le regard embués de larmes de sa mère. Apparemment elle avait était trouvé dans une tribu aborigènes D'Amazonie, c'est parents chercher un remède à une maladie étrange qui décimé la population d'autochtones, seule un bébé d'a peine un an résistait inexplicablement au virus. Une vielle femme expliqua au couple Davis qu'elle avait trouvé l'enfant près d'un temple maya, sûrement abandonné par des gens pauvre venant de la ville comme cela arrivé souvent à cette époque. Ils prirent sûr eux de l'emmener dans un de leur laboratoire pour trouver dans sont sang un remède ou au moins un vaccin contre cette maladie. Cela pris plusieurs mois au cours desquelles l'enfant grandit dans une pièce aménagée à cet effet. Sarah Davis venait la voir régulièrement, elle lui parlait, la nourrissait, la lavais, s'amusait avec elle, lui achetait des peluches, tout ce qu'une mère aurait fait. Malheureusement la tribu d'aborigènes c'est éteinte avant qu'il n'ai pu les sauver et malgré qu'il ne comprenait toujours pas la miraculeuse survit de la petite fille, Charles Davis décida qu'il était tant de mettre un terme à sa vie au labo pour qu'elle ai droit à une vie normal. Tout comme sa femme il c'était attaché à l'enfant et de plus se savais stérile, il fit donc le nécessaire pour adopté l'enfant pour la plus grande joie de Sarah qui l'a prénomma Grace comme sa défunte mère. La petite fille ne garda aucun souvenir de sa vie au laboratoire et grandit confortablement entouré par l'amour de ses parents adoptifs. Si à ses dix-sept ans la jeune fille ne l'avais découvert il en serait toujours ainsi.
Quand Charles fini son récit, Sarah essaye de prendre sa fille dans ses bras et lui demande de leur pardonner, mais l'adolescente la repousse violemment et part se cloîtré dans sa chambre. A partir de ce moment elle s'enferme dans un profond mutisme face à eux, ne leur adressant plus la parole, ne les regardants même pas dans les yeux où quand elle le fait ils peuvent y lire une haine sans nom. Même son comportement qui était des plus exemplaires c'est considérablement dégradé autant à l'école qu'à l'extérieur. Ses six derniers mois elle avait tant séché les cours qu'elle avait était expulsé de son école privé, obligeant ses parents à prendre un professeur particulier qu'elle faisait tourner en bourrique en se comportant de façon insolente. Elle c'était même mis à fréquenter des personnes peu recommandables qu'elle voyais en cachette lors de ses fugues nocturnes. Sa mère était désespèrait et elle s'en voulait de lui avoir caché la vérité, elle ne savais plus comment faire pour que sa fille redevienne ce qu'elle était, une fille aimante et adorable. Son père n'est jamais là, constamment en voyage à droite à gauche pour les profits de la société, sa seul présence téléphonique n'est pas suffisante pour recadrer l'adolescente.
Elle sort de sa salle de bain privative et se retrouve dans sa chambre. La pièce est grande et a part une cuisine rien ne manque. Les murs blanc ainsi que les deux grandes fenêtres et la baie vitrée agrandissent un peu plus l'espace, un lit king size avec une couette bordeaux est accolé au mur de la salle d'eau, une ouverture dans le mur laisse apparaître une immense penderie, un peu plus loin un écran plat fait face à deux fauteuils et une table basse en bois blanc. Une chaîne hi-fi, ainsi qu'un bureau, équipé d'un pc portable, du même bois que la petite table sont placés entre le lit et le petit salon improvisé. Avant la révélation Grace pensait être chanceuse d'être autant gâté par ses parents, maintenant elle avait la désagréable sensation d'avoir était acheté pendant toutes ses années.
Habituellement elle ne sort de la villa sécurisé que la nuit, mais aujourd'hui elle se sent trop énervé par la demandes de sa mère et elle ne veut pas rester dans les parages pour subir les remontrances de cette dernière. Elle s'enfuit par son balcon descendant par la petite balustrade et contournant les agents de sécurité pour rejoindre sa nouvelle bande d'amis. Elle les a rencontré alors qu'ils volaient dans une boutique de vêtements de luxe alors qu'elle y faisait son shopping, ce jour-là elle séché les cours pour la cinquième fois après trois semaines de la vérité. Elle décida de suivre le petit groupe en cachette jusqu'à un coin malfamé de la ville. Elle fut vite découverte par le chef de la bande, un certain Jeff, alors qu'elle se cachait derrière une voiture calciné. Il l'a ramena devant le reste de la troupe qui l'a regardai avec mépris. Ce jour-là son coeur c'est mis à battre si fort dans sa poitrine qu'elle pensait mourir d'une crise cardiaque. Jeff lui demanda ce qu'une petit bourgeoise faisait dans ce quartier. À la façon qu'il avait de prononcer le mot bourgeoise, elle avait compris qu'ils méprisait les gens riches. Elle ignore encore comment elle avait réussi, mais elle s'inventa une vie de petite fille pauvre dans les bas quartier, elle leur donna même l'adresse de la femme de ménage pour qu'il n'est pas de soupçons et son mensonge convaincu tout le groupe. Peu à peu ils acceptèrent que Grace reste dans leur gang, ils passaient le plus clair de leur temps à boire, fumer et voler, ils s'imaginaient tous une vie de luxe à Miami ou hollywood. Grace sort avec Jeff depuis maintenant deux mois, il a trois ans de plus qu'elle, il a un look de rebel avec ses cheveux blond en bataille et ses grands yeux marron. Elle l'aime ou tout du moins a l'impression que c'est de l'amour puisqu'il est son premier petit copain. Après avoir réussi avec brio sa énième fugue de la villa, Jeff et elle se promène sans le reste bande sur la moto de ce dernier, il roule vite et de façon dangereuse mais la jeune fille n'est pas effrayé, bien au contraire elle est excité par l'adrénaline. Lorsqu'il s'arrête devant chez lui, Grace n'est même plus étonné par la petite maison délabré qui lui fait face, elle a pris l'habitude de la pauvreté de par ses fréquentations et est déjà venue quelques fois chez lui.
Lorsqu'ils sont tout les deux dans sa chambre, Jeff commence à l'embrasser langoureusement tout en l'allongeant sur le lit, il se montre entreprenant quand il vient malaxer ses fesses et glisse l'autre main sous le pull de Grace qui le repousse.
Jeff: "Quoi?"
Il à l'air un peu agacé.
Grace: "Je sais pas si je suis vraiment prête."
Jeff: "Ça fait deux mois que j'attends que tu sois prête."
Elle ne dit rien.
Il souffle et se décale pour s'asseoir.
Grace: "Désolé."
Elle baisse les yeux.
Jeff: "C'est rien Babe, mais des fois tu ressemble à une de ces petite bourgeoise coincé."
Elle redresse la tête, elle ne veut surtout pas qu'il croit ça, elle déteste ses gens là, elle déteste ses parents, elle ne fait plus partie du même monde qu'eux, elle n'est pas coincé. Elle se redresse également mais pour se mettre à califourchon sur lui, puis l'embrasse férocement. Le jeune homme se détache de ses lèvres pour reprendre son souffle.
Jeff: "Oh doucement, (il rigole)"
Grace: "J'ai mentis je me sent prête."
Il l'a regarde étonné, mais ne pose pas plus de questions avant de l'allonger de nouveau pour l'embrasser, peut-être par peur qu'elle se ravise ou simplement qu'il la désire tellement qu'il ne veut pas perdre de temps en discution.
Ellipse d'une heure.
Alors que Jeff est partie prendre une douche l'adolescente se rhabille, elle savait que sa première fois ne serai pas fantastique c'est nouvelles amies l'avait prévenu, mais elle n'imaginais pas que ça puisse faire aussi mal, il faut dire que son amant n'avait pas était des plus doux. Lorsqu'il reviens il dépose un baiser sur sa bouche.
Jeff: "C'était fantastique babe, tu a aimé."
Elle remue la tête avec un léger sourire pour ne pas montrer qu'en vérité elle a détesté. Il lui prend la main pour l'attirer contre son torse.
Jeff: "Je t'aime babe."
Grace: "Je t'aime."
Jeff: "Bon on va rejoindre les autres?"
Grace: "D'accord!"
Les jeunes décident d'y aller à pieds vu que ce n'es qu'à cinq minutes de chez Jeff. Alors qu'ils marche en direction de leur repère une limousine que la jeune fille ne connais que trop bien s'arrête à leur hauteur.
A peine le chauffeur se gare t'il que Sarah Davis sort de la voiture pour courir vers sa fille.
Sarah: "Je t'ai cherché partout j'étais morte d'inquiétude. Qu'est-ce qui t'a pris de partir de la maison sans même nous prévenir?"
Grace détourne le regard et ne lui répond pas se contentant de diriger ses yeux vers Jeff qui observe Madame Davis l'air confus.
Jeff: "Vous êtes Sarah Davis?"
La femme brune observe le jeune homme l'air énervé de le voir si proche de sa fille sans même le connaître.
Sarah: "Oui et je suis venu chercher ma fille."
L'adolescente souffle et ses yeux sont remplis de colère alors qu'elle tire sur la main de son amant pour l'inciter à partir loin de sa mère, mais le jeune homme ne bouge pas d'un cil. Elle se tourne vers lui qui maintenant la fixe du regard et tout ce qu'elle y lis c'est le mépris évident qu'il lui porte. Il enlève brutalement la main de la sienne.
Jeff: "Tu m'a mentis? Je t'ai accueilli dans ma bande, je t'ai fait confiance et tu m'a mentis? Elle est belle l'histoire de la pauvre petite fille qui n'a pas de parents et qui vis chez sa tante"
Sarah: "Tu a dis que tu n'avais pas de parents?"
L'adolescente ne regarde même pas sa mère et préfère répondre à son copain.
Grace: "Non je... Je ne suis pas comme eux, je ne fais pas partie de leur monde."
Jeff: "Tu te fous de moi sérieux? Tu est une des fille les plus riche du monde et tu me sort cette conneries? Putain tu me dégoûte."
Des larmes viennent inonder les yeux de la jeune fille, alors que des spectateurs sont de plus en plus nombreux à s'agglutiner autour de la scène qui se joue.
Sarah: "Vous ne parlez pas à ma fille de cette façon, vous vous prenez pour qui pour la traiter de cette manière!"
La mère de l'adolescente est clairement énervé de l'attitude du jeune homme envers son enfant.
Jeff: "Je me prend pour qui? Vous êtes pas sur votre territoire, ici c'est le quartier et les petits bourgeois n'ont rien à foutre chez nous!"
Plusieurs voix s'élèvent dans la foule pour affirmer ses propos.
Jeff: "Et sachez une chose, (il mime des guillemets avec ses doigts) madame de la haute société. Venait pas me faire la morale sur la façon de traiter vôtre précieuse fille, car c'est bien chez moi qu'elle est venue pour ne pas être dans vôtre monde de coincé et c'est elle qui m'a presque sauté dessus pour que je l'a baise sur mon lit."
Grace pleure maintenant toutes les larmes de son corps.
La mère outré le gifle, les spectateurs semble énervés et lance des cailloux sur la limousine, le chauffeur appel madame Davis pour qu'elle remonte vite en voiture. Jeff reste calme mais sa voix est menaçante.
Jeff: "Je vous conseille de vous tirer d'ici rapidement et d'emmener vôtre traînée de fille avec vous avant que ça ne dérape."
La femme semble soudain se rendre compte du risque qu'elles encourent si elle persiste à rester dans ce coin de la ville. Elle attrape sa fille par la main et la pousse dans la voiture, l'adolescente est encore sous le choc, mais lorsque la limo démarre sous les bousculades de la foule qui empêche toute tentative de fuite, elle reprend soudain possession de ses esprits.
Grace: "Comment à tu pu me faire ça? Tu a tout foutu en l'air!"
La mère était absorbé par les agressions que subit leur voiture, mais lorsqu'elle entend sa fille lui reparler alors qu'elle ne l'avais plus fait depuis des mois elle ne peut s'empêcher de la regarder avec étonnement.
Sarah: "Ce type n'avais aucun respect pour toi!"
Grace: "Si il en avait, c'est toi qui l'a rendu méchant à venir avec ta voiture et tes habits de luxe! Tu comprend pas il m'aimais."
Sarah: "Si ta situation financière quelle quel soit le rend méchant c'est qu'il ne t'aimais pas vraiment."
Grace: "Tu dis n'importe quoi, tout ça parce-qu'il n'est pas comme papa et toi."
Sarah: "Nous en reparlerons une fois en sécurité à la maison."
Elle continue de pleurer, Sarah se tourne vers le chauffeur et lui demande d'appeler la police pour pouvoir sortir de cette situation dangereuse.
Grace: "Ce n'est pas chez moi, ce n'est pas ma maison!"
Sarah: "Biensur que c'est chez toi, tu est ma fille Gracie et je t'aime."
Grace: "Je suis peut-être ta fille mais tu n'est pas ma mère!"
Malgré le vacarne de l'extérieur un silence pesant à pris possession de l'habitacle de l'auto, Mais Sarah n'a pas le temps de rester choqué par ses paroles que des coups de feu retentissent et percent des trous dans les sièges en cuir beige, le premier réflexe de la mère et de sauter sur son enfant pour l'a protéger, la foule s'écartent vivement et des cris affolés résonne dans la rue, alors que le chauffeur se prend une balle dans la jambe son pied appuie sans le vouloir sur l'accélérateur ce qui élance la voiture à toute vitesse sur un poteau électrique vingt mètres plus loin. La jeune Grace se cogne violemment la tête et tombe dans l'inconscient.

(notes d'auteur: Alors est-ce ceux à quoi vous vous attendiez? Avez-vous trouvés ça plausible? Dites-moi tout je ne me vexerai pas :-).)

Bruised HeartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant