Hate or Love us (CORRECTION CHAP 34 A 50)

Chapitre 12🥀

— Tu veux parler de quoi ?

Demande-t-il.

— Hum, je ne sais pas.

Je réponds.

— Qu'est-ce que tu as fait pendant toutes ces dernières années ? Je veux dire comment étaient les cours et tu t'es fait des amis ?

— Alors par où commencer, lorsque je suis partie mon parcours scolaire s'est déroulé normalement, en termes d'amitié, la seule que je pouvais considérer comme une amie c'est Keyra.

— Pourquoi tu fais du management ? J'étais le premier surpris lorsque je t'avais vue dans l'amphi à la rentrée. Tu as toujours aimé dessiner, tu passais des heures à faire des dessins de tout ce que tu voyais.

Je réfléchis pendant quelques secondes et je lui réponds.

— Disons qu'il n'y a pas de raison particulière, je suis toujours à recherche de ce que je veux vraiment faire de ma vie.

— Pourquoi. . .

— Non, c'est moi de poser une question maintenant.

Dis-je en lui coupant la parole.

Il fait une mine déçue ce qui me fait sourire.

— Je te retourne la question de tout à l'heure.

Dis-je.

— Comme tu le sais, mon père est en entrepreneur qui cherche sans cesse à développer son activité économique. J'aime travailler avec mon père, alors je devais faire un travail qui soit en concordance avec celui de l'entreprise familiale.

Dit-il.

— Je suis contente que tu t'en souviennes.

Dis-je.

— Je dois t'avouer que je te suivais partout avant, on ne se lâchait presque pas. Ce que je pense est normal.

Je le regarde en silence.

— Ça te va si je fais un arrêt sur un air de repos, afin de faire le plein de la voiture.

Demande-t-il.

— Je veux bien, comme ça je vais acheter à manger.

Nous avons roulé sur plusieurs kilomètres avant d'arriver, je suis descendue prendre des sandwichs et des boissons.

— Lin regard, nous sommes arrivés, et je vois une grande maison en bois.

Je lève les yeux de mon téléphone

— C'est aussi un manoir ?

Je demande.

— Les constructions de mon père sont toujours de grande envergure.

Répond-il.

— Oui, j'en ai la confirmation.

Dis-je en descendant de la voiture.

— Je pense qu'il y a juste ma mère et Lidzi, mon père viendra que ce soir.

Dit-il.

À l'entrée, Lue pousse la porte coulissante.

— Maman, nous sommes là.

Dit-il.

— Oui, je suis sur le pavillon.

Dit-elle au loin.

Elle nous fait un signe de la main.

— Grand frère !

Dit Lidzi en venant vers nous.

— Tu as emmené Lin-ah super !

Ajoute-t-elle en me prenant la main.