Hate or Love us (CORRECTION CHAP 34 A 50)

Chapitre 29🥀

Lue se lève et me tend la main pour m'aider à me lever, laissant les deux canettes sur le sable beige. Sans lâcher ma main, nous marchons en direction nord-ouest de l'hôtel. Personne ne parle, seuls les bruits des vagues brisent le silence.

Nous marchons pendant environ cinq minutes et nous arrivons. Devant la porte, je scanne la carte pour ouvrir.

Lue ferme la porte, je me tourne vers lui, son regard est plein de désir, il plaque ses mains sur mes hanches et m'embrasse tout en me soulevant. Je croise mes jambes autour de sa taille, contrairement à tout à l'heure, son baiser est lent, chaud et humide.

Lue s'assoit sur le lit. Assise sur ses cuisses, nous continuons de nous embrasser, sans tarder, il ouvre les boutons de mon cardigan qui dévoile le haut de mon maillot de bain.

Il rompt le baiser et lève le regard, ses oreilles et ses joues sont toutes rouges, c'est la première fois que je le vois ainsi, l'expression de son visage est belle et indescriptible.

Je caresse sa joue délicatement, il attrape ma main pour la couvrir de baisers.

— Si tu veux, on peut s'arrêter là.

— Nous sommes bien partis, ce sera bizarre de s'arrêter là non ?

Ma réponse a fait l'effet d'un feu vert. Sa main glisse sous le haut de mon maillot, elle s'empare de mon sein droit.

Sa main est tellement grande qu'elle couvre entièrement mon sein.

Il s'accapare de nouveau de mes lèvres. Il saisit mon téton qui durcit automatiquement au contact de ses doigts brûlants. Je me perds dans l'intensité du baiser, je sens le haut partir en même temps que mon cardigan. Il m'allonge délicatement sur le lit, tel du verre fragile.

La tension monte, nos rythmes cardiaques s'accélèrent. Il retire mon short et détache les ficelles de ma culotte. Des frissons me parcourent le corps à l'idée d'être là-devant lui.

Il retire son sweat à capuche, ce qui laisse apparaître des abdos parfaitement sculptés, des gouttelettes de sueur y glissent lentement à en couper le souffle. Il fait passer une main dans ses cheveux pour dégager son visage.

Il est magnifique.

Totalement nus, les portes de l'enfer s'ouvrent et font place à nos désirs ostentatoires. Je ressens une décharge de plaisir dans mon bassin, lorsque son phallus s'enfonce progressivement en moi. Une sensation de douleur se présente à chaque mouvement que Lue fait.

J'ai mal, mais je ne veux pas arrêter.

Des gémissements de plaisir et des grognements façonnent ce moment d'extase.

— Ne te retiens surtout pas.

Dit-il d'une voix roque.

Je ressens une boule de plaisir dans mon bas-ventre qui est prête à jaillir telle une cascade.

Je pousse un long cri qui me fait vaciller, c'est si fort que mes jambes en tremblent.

En essayant de reprendre une respiration, Lue s'arrête aussi et s'allonge sur mon moi, la tête contre ma poitrine, je sens un liquide chaud glisser entre mes cuisses.

J'ai l'impression que je suis vidée de toute mon énergie. Nous nous endormons ainsi peau contre peau et connectés physiquement.

Le lendemain et le jour suivant, nous les avions passés à faire l'amour encore et encore.

J'ai passé ces derniers jours dans le bungalow, Lue sortait pendant nos pauses méridiennes pour apporter de la nourriture ou à boire.

— Eh oh Lin-ah, tu vas mieux ?