Hate or Love us (CORRECTION CHAP 34 A 50)

Chapitre 13🥀

 Cela fait maintenant deux jours que je suis arrivée avec Lue, ce matin, je me suis levée à 7h, après une bonne nuit de sommeil, mon lit est tellement confortable que j'ai l'impression d'être sur un nuage.

Vers 9h je suis descendue pour prendre le petit déjeuner, par la suite Mark est parti à son travail afin d'être à l'heure pour ce soir, car aujourd'hui c'est le réveillon de Noël.

— Lin-ah, nous partons.

Dit Na-eun.

— Je vous accompagne.

Dit Lue en se levant d'un bond du canapé.

— Je pensais que tu n'aimais pas ce genre de sortie.

Dit Na-eun en le regardant.

— Je vais m'ennuyer si je reste ici, de plus je peux vous conduire où vous le voudrez.

Dit-il.

— Dans ce cas, on y va.

Une fois dehors, Lue a decider de prendre une des voitures de son père pour avoir assez de place pour les courses à venir.

— Lue, emmène nous à Yongsan-gu.

Dit Na-eun en mettant sa ceinture de sécurité.

— Mais c'est très loin !

— Donc je vais appeler le chauffeur.

Dit-elle.

— Non non, je vais le faire, c'est bon.

— Hahaha grand frère, tu es un râleur.

La remarque de Lidzi me fait sourire.

Il démarre et nous nous mettons en route. Je suis née et j'ai grandi en Corée, cependant je n'avais jamais encore visité le fameux quartier Iteawon. Les immeubles sont tous colorés et unique en leur genre, les rues sont bondées de jeunes.

— Maman, il y a tellement de magasins par où commencer.

Dit Lidzi.

— J'ai tout prévu, on va commencer par le magasin Fleamadonna. Lue, essaye de te garer plus loin, tu ne trouveras pas de place de parking par ici.

Dit Na-eun.

Une fois arrivée, nous descendons de la voiture et suivons Na-eun dans le magasin.

— Bonjour, bienvenue.

- Bonjour, excusez-moi, avez-vous la dernière collection ?

Demande Na-eun.

— Évidemment madame, c'est juste au fond à droite dans la section nouveautés.

— Vous allez faire des essayages ?

Demande Lue.

— Oui, bien sûr.

Avec le bout de mon index, j'appuie le bras de Lue.

— Ça va ?

Je demande.

Il s'arrête subitement et passe son bras sur mes épaules.

— Mon rétroviseur m'a aidé à voir que tu t'amusais bien tout à l'heure.

Son visage est si proche du mien que je peux sentir sa respiration sur ma peau.

— Tu es beaucoup trop près.

Je tourne mon visage vers la droite et le repoussant avec ma main.

Sous ma paume, je ressens l'un de ses biceps. Je retire ma main le plus vite possible.