Chapitre 14

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Après une nuit réparatrice, Safira se sentait d'attaque les aventures promises par le cheikh Amonir lui tendait les bras. Elle se leva et découvrir un carton aux peids de son lit, elle l'ouvrit est lu la carte qui l'accompagné " j'espère qu'elle te plaira ma belle, je vais une réunion en ville mais je reviens à midi pour commencer notre excursion. Bisou Amonir". Safira rougit peu habitué à être couverte de tant d'attentions et de gestes de séduction. Elle soulèva la robe que renfermé le carton celle-ci était verte à petite bretelles accompagné d'un foulard blanc pour se couvrir la tête. Tout ça était magnifique, il avait du goût en plus d'être beau cet homme. Elle s'empressa d'aller revêtir sa robe impatiente de voir le rendu sur elle.

Une fois devant la glace, elle se trouva d’une beauté rare, elle se sentait comme une femme fatale bien que la robe lui atteigne les chevilles . Safira descendu les escaliers pour la première fois depuis son arrivée, la décoration du rez de chaussée avait complètement changé, les tableaux de sa famille jadis accrochés aux murs ont été remplacé par des toiles magnifiques de peintres très connus, les chaises du salon et de la salle à manger avait été changé par dès plus moderne, l'allure actuelle de la demeure était magnifique.

Elle se dirigea instinctivement vers la cabane situé à l'arrière du palais, Safira l'avait construite avec sa mère il y a des années s'était leur refuge secret. Elle retrouva la cabane intacte entouré de fleurs sauvages, elle était encore plus belle que dans ses souvenirs. Elle revoyait encore sa  mère lui renconté des histoires de contes de fées avec un sourire angélique et un voix berçante.

Safira grimpa dans l'arbre, elle soulèva la trappe bien caché dans le sol de la cabane. Elle y gardait son coffre cela relèverait du miracle s'il était encore là. Elle le retrouva à l'état où elles l'avaient laissé sa mère et elle. Elle le fouilla est retrouva le pendentif orné d'une émeraude que sa mère lui avait offert pour ses huit ans avant de mourir deux ans plus tard. Ne pouvant supporter plus longtemps cette douleur Safira éclata en sanglots en serrant l'objet dans sa main en se récoquevrillant sur le plancher.

La voiture du cheikh Amonir se gara dans l'enceinte de la cour, il sortit en disant à son chauffeur.

- Bientôt je repartirai donc ne t'éloigne pas trop d'ici.

- D'accord votre Altesse.

Amonir se dépêcha d'aller dans la chambre de Safira, mais il trouva la chambre vide. Il redescendit en se demandant où elle était passé.

- Jafar, où est passé mademoiselle Safira ? Demanda t'il au garde de la porte centrale de la demeure.

- Je l'ai vu se diriger vers l'arrière du palais votre Altesse. Fit savoir le garde.

Amonir prit les chemins des jardins, il se dirigea instinctivement vers la cabane et entendit un bruit sourd provenant de là.

- Safira, c'est toi? Interrogea-t-il.

C'est le cheikh se dit Safira en se dépêchant de remettre à sa place le coffre et de cacha son collier dans l'une des poches intérieures de sa robe.

- Je suis là !

Amonir se dirigea vers la cabane.

- Que fais tu perché là haut?

Safira sortit la tête de la cabane pour permettre au nouvel arrivant de la voire.

- Par Allah, Safira pourqoui tu pleures ?

Elle se rendit compte qu'elle n'avait pas essuyé les larmes sur ses joues.

- Pour rien ! Dit elle en cachant son visage avec son foulard.

- Si tu ne descend pas tout de suite me donné une explication plus sensée, je viendrai te chercher moi même.

Amonir marcha d'un pas de déterminer pour grimper sur l'échelle.

- Non, ne montes tu vas détruire cette cabane avec ton poids après tout les efforts que l'on s'est donné pour la construire. J'arrive !

Safira descendit de la cabane et se retrouva nez à nez avec le cheikh.

- Dis moi tout de suite pourqoui tu pleurais ?

- Hola que d'autorité! Je ne suis pas un de tes subalternes à ce que je sache pour que tu mitraille de questions en employant ce ton. Pourqoui vous les hommes de pouvoir vous êtes aussi étouffants. Laisse moi respiré un peu.

- Je ne veux que ton bien madame la rebelle.

Safira se rendit compte en le regardant dans les yeux qu'elle l'avait blessé avec ses propos.

- Que connais tu des hommes de pouvoirs j'aimerais bien le savoir. Lui demanda en l'exortant de répondre rapidement avec un regard suspicieux

- J'en connais un rayon, par exemple vous aimez tout contrôler, dicter la conduite des autres comme si leur vie était le royaume que vous dirigez et plus horripilant c'est votre difficulté à exprimer vos sentiments. Safira fini sa tirade à bout de souffle.

Amonir la regarda droit dans les yeux.

- Je me demande qui à tant biaisé votre jugement jeune dame. Dit il en lui attrapant le menton. Moi je suis impatient de te montrer mes sentiments tout au contraire.

Safira sentit la main d'Amonir l'attraper par la taille cette proximité entre elle et cet homme lui donna le tournis. Il se mit a lui caresser le visage mais elle ne ressentit pas les frissons que lui prodigués celles de Mohammed.

Amonir rapprocha son visage de celui de la jeune femme pour déposer un baisé sur les lèvres qu'il mourait d'envie de goûter. Mais elle se recula pour mettre de la distance entre eux, un peu déçu Amonir reprit un visage hermétique avec un sourire forcé pour faire passer ce moment troublant et particulièrement intime.

- Puisque tu ne veux pas me dire pourqoui tu pleures pas de soucis. En passant tu es resplendissante dans cette robe.

- Merci beaucoup pour la robe son Altesse. Elle essayait de mettre de la distance entre eux après ce qui venait de se passer.

- Ne soit pas si cérémonieuse, nous sommes amis maintenant et j'aimerais que tu me fasse confiance. supplia Amonir avec un sourire le regard pleine de sincèritè en lui tendant la main comme gage d'amitié.

Safira vu en lui l'intégralité et la droiture et décida de ne plus le fustigé en attrapant la main tendue.

- Maintenant il est l'heure d'aller t'acheter quelques vêtements pour la suite de ton séjour avant l'arrivée du médecin pour ta consultation. Tu lui diras comment tu te sens.

La Pupille du CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant