chapitre 18

785 110 6
                                    

Amonir se dépêcha pour expédier au plus vite cette visite pour continuer sa conversation avec Safira. Une fois dans le salon principal du château, il tomba nez à nez avec avec Ahmid ekbalar le premier conseiller et bras droit de son Altesse Farreck.

- Bonsoir monsieur Ekbalar que me vait l'honneur de votre visite en mon humble demeure. Ne me dit pas que la négociation avec le tribu du désert n'a pas fonctionné.

- Non Amonir ce qui m'amène ici n'a rien avoir avec les tribus du désert le cheikh à déjà résolu ce problème.

- Allons donc dans mon bureau pour mieux parler. Proposa Amonir en prenant soin de presser le pas.

Une fois dans le bureau la conversation débuta sérieusement.

- Cheikh Amonir si je suis là aujourd'hui c'est pour un problème d'ordre personnel et je solliciterai votre intervention.

Amonir fut intrigué par cette demande plus ou moins surprenante.

- Faites moi pars du problème, je suis toute ouïe, déclara-t-il en s'asseyant confortable sur son fauteuil.

- Voilà il y a quelques jours une jeune femme chère à nos cœurs à disparue. Elle a empreinté un cheval sauvage et c'est perdue dans le désert nous la cherchons depuis déjà une semaine, nous nous demandions si nous pouvions compter sur dans les recherches.

Amonir reçu l'information avec un goût de bile dans la gorge cette femme, il avait le pressentiment que s'était la même que celle qui venait de laisser dans la chambre.

- D'accord pas de soucis, mais j'aimerais savoir pour vous vous êtes déplacé en personne. Vous auriez pu délégué à un de vos hommes.

Ahmid sentait qu'il toquait à la bonne porte.

- Cette jeune fille n'est personne d'autre que la pupille du cheikh de son Altesse Mohammed Ali Farreck.

Amonir en perdit totalement son latin, cette femme s'était bien foutue de lui et dire que lui qui est flairé les menteurs s'était fait berné comme un bleu. Son sang ne fit qu'un tour dans ses veines et il sortit en trombe du bureau.

Safira était occupé à concocter des excuses qui tenait la route pour les présenter à Amonir. Mais la porte de la chambre s'ouvrit brusquement laissant passer Amonir.

- Amonir, je voulais te dire que...

- Tais toi rapidement petite menteuse, lui lança Amonir un regard noir de colère.

- Amonir qu'est-ce qui t'arrive ? S'indigna Safira vue la façon avec laquelle il s'adressait à elle.

- Je ne fais que te rafraîchir la mémoire que tu n'as jamais perdu. Tu n'es nul autre que Safira Khadir, la pupille du son Altesse souverain d'Amdarreck.

Amonir n'arrivait pas à la regarder dans les yeux car ne comprenais pas comment une femme a l'allure si juvénile pouvait mentir de façon si éhonté.

- Quand je pense que tu as passé le temps à te foutre de moi quand je faisais tous les efforts pour que tu te sentes à l'aise sans te mettre la pression.

- Amonir je te jure, je peux tout expliquer...

- Pour que tu continues à me servir des bobards, arrête je ne veux plus t'écouter.

Safira ne reconnaissait plus l'homme devant elle voilà les conséquences des mensonges stupides qu'elle avait raconté.

- Amonir, je comptais tout te dire je te promets j'avais l'intention de tout te dire.

- Je ne te crois pas, et je me demande jusqu'à quand tu aurais continuée en m'embobiner comme ça.

- Amonir je jure que s'était tout le contraire, dis moi qui t'as raconté tout ça ? Safira n'arrivait pas avoir une emprise sur la situation, tout lui échapper.

La Pupille du CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant