Aloïs 𝓝𝓮 𝓒𝓱𝓸𝓲𝓼𝓲𝓽 𝓟𝓪𝓼

𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 𝓓𝓲𝔁-𝓝𝓮𝓾𝓯 🌑

Lorsqu'il se réveilla le lendemain matin, Marceau fut surpris de constater qu'il pleuvait dehors mais garda le sourire. Il se rendit dans la cuisine, décida de boire deux cafés en regardant ses notifications sur son GSM puis, il alla fumer avant d'aller réveiller Aloïs, qui dormait toujours dans le satané lit de sa sœur.

- Hey, réveille-toi, on va aller marcher en forêt !

Aloïs ouvrit les yeux avec un sourire radieux puis lui tendit les bras pour qu'il vienne près de lui, ce qu'il fit sans hésitation en posant sa tête sur son torse.

- Je veux vraiment qu'on aille marcher, même si il pleut c'est pas grave, je trouve ça super romantique.

- Ok, mais d'abord, je veux un gros câlin.

Sa tête toujours sur la poitrine du garçon, il s'endormit sans s'en rendre compte, tout comme Aloïs qui se mit à ronfler pendant deux bonnes heures. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il décida de caresser encore une fois les cheveux de son beau-frère, qu'il trouvait chaque jour de plus en plus magnifique.

- Petit ange, réveilles-toi... Murmura le beau tatoué.

- Merde, il est quelle heure ? Sursauta le garçon.

- Onze heures...Un café et on part en forêt !

Ils descendirent, fumèrent en buvant le café sous la véranda alors qu'il pleuvait toujours, puis, allèrent s'habiller pour partir en forêt. Si Marceau en avait tellement envie, c'était pour se créer des souvenirs, des moments dont il se souviendrait plus tard en parcourant l'endroit lorsqu'Aloïs ne serait plus là.

Il prêta un pull au garçon qu'il ne laverait certainement pas par la suite et ils partirent ensuite. Arrivés dans la forêt et sous la pluie, les garçons s'embrassèrent avant de continuer leur marche. Son appareil photo sous le pull, le tatoué sexy ne tarda pas à faire des photos de la nature, mais aussi de son beau-frère sans que celui-ci, qui marchait devant lui ne s'en aperçoive.

Arrivé près d'un grand et gros arbre, Marceau décida de s'asseoir, tant pis pour les vêtements sales.

- Tu prends tout en photo mais moi aussi j'aimerais te photographier, Al'...

- Tu veux que je te passe l'appareil ? Je t'enverrai les photos...

- Je veux, oui.

Le frère d'Emy ne tarda pas à prendre le bellâtre en photo comme on immortalise une œuvre d'art, surtout lorsqu'Aloïs souriait ou s'extasiait devant un insecte ou une plante qu'il avait rarement l'occasion de voir. Ce mec était beau, mais aussi mignon et ça, c'était peut-être ce qui faisait tout, oui, c'était ce fameux "truc en plus".

Une bonne demie heure plus tard et puisqu'il n'y avait jamais personne ou presque dans ce lieu, Marceau eu une idée plutôt intéressante, voir carrément alléchante.

- Enlèves tes vêtements... Avec la pluie et dans ce décor magique, on peut faire des photos magnifiques !

- Quoi ? Tu n'es pas sérieux, hein ? Répondit le photographe en herbe, étonné.

- Allez, s'il te plaît... Il ne fait pas froid...

Si Aloïs finit par accepter, c'est uniquement pour faire plaisir à son amoureux. Il se mit totalement nu et se mit près d'un arbre. L'autre jeune homme s'éloigna un peu et prit plusieurs clichés, dont l'un où le beau tatoué prenait son pénis en main alors qu'il commençait à bander.

- À ton tour... Moi aussi je veux des photos de toi à poil et mouillé dans la nature...

Sans hésiter, Marceau se déshabilla et puisqu'il était excité, il se courba en écartant ses fesses avec ses mains afin qu'il le prenne en photo, tout en riant. Il se branla ensuite pour d'autres clichés puis, il s'avança vers son copain dont il prit le membre en bouche pour un cliché bien chaud.